Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cent dix-sept ans après sa mort, l'ombre immense de Dostoïevski domine plus que jamais le roman contemporain, dans ses recherches psychologiques et...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Cent dix-sept ans après sa mort, l'ombre immense de Dostoïevski domine plus que jamais le roman contemporain, dans ses recherches psychologiques et formelles les plus poussées. C'est le moment d'aller aux sources du génie de Dostoïevski, de chercher le secret de l'homme et de l'écrivain dans sa correspondance, publiée pour la première fois dans son intégralité en français.
" Dans ce tome 1 (1832 à 1864) les lettres de Dostoïevski vont de l'enfant à l'homme fait et à l'écrivain à la veille de donner au monde ses cinq grands romans dont le premier sera Crime et châtiment. Elles s'ouvrent dans l'espérance des aurores, un projet créateur ambitieux et la volonté énergique d'une carrière littéraire. Elles s'achèvent dans un paysage de mort où, au milieu des tombes qui l'entourent, un écrivain meurtri et harassé poursuit obstinément sa tâche de publiciste et de romancier. La courbe est saisissante dans la succession de ses élans, chutes et relèvements. Ces trois décennies pourraient être appelées " les années d'apprentissage de Dostoïevski". N'a-t-il pas lui-même proposé indirectement cet intitulé en exposant oralement à son frère Mikhàïl, à la fin de l'été 1859, un projet de deux romans comparables au Wilhelm Meister de Goethe ? Mais le titre serait en deçà du tumulte vécu. La vie, qu'il aimait tant, fut une marâtre pour Dostoïevski et son chemin fut celui des tourments. A lire cette correspondance, on se demande s'il est un autre écrivain qui soit entré dans la création par un tel portique de flammes et de souffrances ! "