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  • Nombre de pages593
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,7 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-7578-2509-9
  • EAN9782757825099
  • Date de parution05/01/2012
  • CollectionPoints. Policier
  • ÉditeurPoints
  • TraducteurAnna Gibson

Résumé

Le beau-père de sa fille a disparu. Sa belle-mère a été assassinée. Et tout semble lié à des sous-marins russes passés dans les eaux territoriales suédoises des années plus tôt, en pleine guerre froide. Au seuil de la retraite, alors que sa mémoire le trahit, Wallander mène sa dernière enquête et amorce sa propre plongée en profondeur.
Le beau-père de sa fille a disparu. Sa belle-mère a été assassinée. Et tout semble lié à des sous-marins russes passés dans les eaux territoriales suédoises des années plus tôt, en pleine guerre froide. Au seuil de la retraite, alors que sa mémoire le trahit, Wallander mène sa dernière enquête et amorce sa propre plongée en profondeur.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
Comment se sérarer de son héros avec élégance
Henning Mankell signe ici un très beau livre en réussissant à se séparer du commissaire Wallander sans le faire disparaître tout à fait. C'est le passage du temps, l'arrivée de la vieillesse et des ses nombreux inconvénients, qui s'en chargent. Tout cela est suggéré, sans apitoiement, et sert de toile de fonds à une enquête passionnante. Du grand art ...
Henning Mankell signe ici un très beau livre en réussissant à se séparer du commissaire Wallander sans le faire disparaître tout à fait. C'est le passage du temps, l'arrivée de la vieillesse et des ses nombreux inconvénients, qui s'en chargent. Tout cela est suggéré, sans apitoiement, et sert de toile de fonds à une enquête passionnante. Du grand art ...
  • Triste

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.6/5
sur 31 notes dont 5 avis lecteurs
Bof
Franchement déçue, on m'avait recommandé cet auteur mais j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. J'ai trouvé l'intrigue plutôt lente et le dénouement pas top. Bref je ne sais pas si je lirais un autre livre de cet auteur ! Dommage.
Franchement déçue, on m'avait recommandé cet auteur mais j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. J'ai trouvé l'intrigue plutôt lente et le dénouement pas top. Bref je ne sais pas si je lirais un autre livre de cet auteur ! Dommage.
  • Ennuyant
La der des ders
Un chien fidèle pour l'accompagner dans ses promenades, une maison à la campagne pour profiter du calme, une petite-fille pour égayer ses vieux jours, à 60 ans, Kurt Wallander pourrait enfin être serein, voire heureux. Mais le commissaire se sent vieux et fatigué, son diabète s'est aggravé et sa mémoire lui joue des tours. Tourmenté par sa santé défaillante, il fait tout de même bonne figure devant sa fille Linda et accepte volontiers de rencontrer les parents de son conjoint, Håkan von Enke, capitaine de frégate à la retraite et sa discrète épouse Louise qui fut professeure d'allemand. L'homme profite de l'effervescence de sa fête d'anniversaire pour s'isoler avec Wallander et lui raconter une sombre histoire de sous-marins espions dans les eaux suédoises datant de l'époque de la guerre froide. Peu au fait des intrigues politiques du passé comme du présent, Wallander l'écoute pourtant avec attention et se souvient de cette conversation quelques temps plus tard quand von Enke disparaît au cours de sa promenade matinale. Alors faisant fi de sa fatigue et de ses trous de mémoire, Wallander va profiter de ses vacances pour mener sa propre enquête sur cette disparition d'autant plus inquiétante qu'elle est suivie de peu par celle de Louise. Depuis le temps qu'on traque les criminels sur les routes de Scanie à la suite de Wallander, on lui a connu des chagrins, des échecs, des regrets, des deuils, des cuites mémorables, des engueulades mais aussi des joies simples, des amours, des réussites professionnelles, des enquêtes rondement menées. On s'est attaché à ce flic solitaire, acharné, triste et bourru et c'est tout naturellement qu'on le suit dans sa dernière enquête dans les méandres de la diplomatie suédoise. Alors certes, l'histoire d'espionnage, les enjeux géo-politiques, la disparition du vieux marin sont des éléments intéressants de l'enquête mais ce qui prime dans ce dernier opus de MANKELL, ce sont les états d'âme d'un Wallander vieillissant qui se pose des questions sur l'âge, le temps qui passe, celui qui lui reste à vivre et, bien sûr, la mort dont le spectre se rapproche. Ses inquiétantes pertes de mémoire, ses tentatives pour s'entendre avec sa fille, son attachement immédiat à Klara sa petite-fille le rendent si terriblement humain et vulnérable qu'on lui passe ses accès de colère et son obstination à négliger sa santé. On souhaiterait pour lui une retraite paisible et une longue vieillesse heureuse auprès des siens mais on sait bien que la maladie d'Alzheimer guette et on ne peut s'empêcher de frémir pour la suite... Henning MANKELL signe là les adieux de son flic fétiche, des adieux douloureux et poignants pour le lecteur qui a l'impression d'abandonner un ami à son triste sort. On aurait espérer quelque chose de plus joyeux mais cela n'aurait été ni du MANKELL, ni du Wallander.
Un chien fidèle pour l'accompagner dans ses promenades, une maison à la campagne pour profiter du calme, une petite-fille pour égayer ses vieux jours, à 60 ans, Kurt Wallander pourrait enfin être serein, voire heureux. Mais le commissaire se sent vieux et fatigué, son diabète s'est aggravé et sa mémoire lui joue des tours. Tourmenté par sa santé défaillante, il fait tout de même bonne figure devant sa fille Linda et accepte volontiers de rencontrer les parents de son conjoint, Håkan von Enke, capitaine de frégate à la retraite et sa discrète épouse Louise qui fut professeure d'allemand. L'homme profite de l'effervescence de sa fête d'anniversaire pour s'isoler avec Wallander et lui raconter une sombre histoire de sous-marins espions dans les eaux suédoises datant de l'époque de la guerre froide. Peu au fait des intrigues politiques du passé comme du présent, Wallander l'écoute pourtant avec attention et se souvient de cette conversation quelques temps plus tard quand von Enke disparaît au cours de sa promenade matinale. Alors faisant fi de sa fatigue et de ses trous de mémoire, Wallander va profiter de ses vacances pour mener sa propre enquête sur cette disparition d'autant plus inquiétante qu'elle est suivie de peu par celle de Louise. Depuis le temps qu'on traque les criminels sur les routes de Scanie à la suite de Wallander, on lui a connu des chagrins, des échecs, des regrets, des deuils, des cuites mémorables, des engueulades mais aussi des joies simples, des amours, des réussites professionnelles, des enquêtes rondement menées. On s'est attaché à ce flic solitaire, acharné, triste et bourru et c'est tout naturellement qu'on le suit dans sa dernière enquête dans les méandres de la diplomatie suédoise. Alors certes, l'histoire d'espionnage, les enjeux géo-politiques, la disparition du vieux marin sont des éléments intéressants de l'enquête mais ce qui prime dans ce dernier opus de MANKELL, ce sont les états d'âme d'un Wallander vieillissant qui se pose des questions sur l'âge, le temps qui passe, celui qui lui reste à vivre et, bien sûr, la mort dont le spectre se rapproche. Ses inquiétantes pertes de mémoire, ses tentatives pour s'entendre avec sa fille, son attachement immédiat à Klara sa petite-fille le rendent si terriblement humain et vulnérable qu'on lui passe ses accès de colère et son obstination à négliger sa santé. On souhaiterait pour lui une retraite paisible et une longue vieillesse heureuse auprès des siens mais on sait bien que la maladie d'Alzheimer guette et on ne peut s'empêcher de frémir pour la suite... Henning MANKELL signe là les adieux de son flic fétiche, des adieux douloureux et poignants pour le lecteur qui a l'impression d'abandonner un ami à son triste sort. On aurait espérer quelque chose de plus joyeux mais cela n'aurait été ni du MANKELL, ni du Wallander.
Adieu Wallander
Le bien connu commissaire Wallander s’est installé à la campagne, avec pour toute compagnie un chien. Un certain ralentissement dans le travail, l’annonce de la grossesse de sa fille, des problèmes de santé, serait-ce le début de la retraite et de la vieillesse ? Wallander s’interroge. Mais à peine l’avait-il rencontré que le beau-père de sa fille disparaît un matin, en allant faire sa promenade dans un quartier huppé de Stockholm. Quelqu’un en voulait-il à cet ancien officier de marine qui ressassait des histoires de sous-marins russes, ou bien a-t-il disparu volontairement ? L’affaire se complique assez vite. Une belle réflexion sur la vieillesse, c’était le roman précédent d’Henning Mankell, "Les chaussures italiennes". Mais "L’homme inquiet" revient aussi, et de manière fine et sensible, sur l’âge qui avance et sur l’amenuisement de ce que l’on a devant soi. Cette réflexion, les atermoiements de Wallander, ses regrets, sa crainte de l’avenir, sa santé qui chancelle, se trouvent au cœur d’une enquête, menée au rythme d’allées et venues de Wallander dans le sud de la Suède. Il mène ses recherches pendant son temps de vacances, à propos de cette brusque disparition d’un ancien officier de marine, intrigué par l’inquiétude que celui-ci avait manifestée avant de s’évanouir quelques jours plus tard dans la nature. L’enquête est intéressante, fait remonter dans l’histoire de la Suède et des relations internationales au temps de la guerre froide, mais il faut bien admettre que c’est surtout par les personnages qu’elle fait se croiser que l’intérêt est maintenu tout du long. Wallander se rend ici et là, interroge avec tact des personnes sur leurs souvenirs, exhume des livres et des documents, soulève des secrets de famille, et se révèle encore lui-même une dernière fois au cours de ses recherches. Voilà, il va falloir le quitter, mais après autant d’aventures partagées, qu’est-ce que cela va être difficile !
Le bien connu commissaire Wallander s’est installé à la campagne, avec pour toute compagnie un chien. Un certain ralentissement dans le travail, l’annonce de la grossesse de sa fille, des problèmes de santé, serait-ce le début de la retraite et de la vieillesse ? Wallander s’interroge. Mais à peine l’avait-il rencontré que le beau-père de sa fille disparaît un matin, en allant faire sa promenade dans un quartier huppé de Stockholm. Quelqu’un en voulait-il à cet ancien officier de marine qui ressassait des histoires de sous-marins russes, ou bien a-t-il disparu volontairement ? L’affaire se complique assez vite. Une belle réflexion sur la vieillesse, c’était le roman précédent d’Henning Mankell, "Les chaussures italiennes". Mais "L’homme inquiet" revient aussi, et de manière fine et sensible, sur l’âge qui avance et sur l’amenuisement de ce que l’on a devant soi. Cette réflexion, les atermoiements de Wallander, ses regrets, sa crainte de l’avenir, sa santé qui chancelle, se trouvent au cœur d’une enquête, menée au rythme d’allées et venues de Wallander dans le sud de la Suède. Il mène ses recherches pendant son temps de vacances, à propos de cette brusque disparition d’un ancien officier de marine, intrigué par l’inquiétude que celui-ci avait manifestée avant de s’évanouir quelques jours plus tard dans la nature. L’enquête est intéressante, fait remonter dans l’histoire de la Suède et des relations internationales au temps de la guerre froide, mais il faut bien admettre que c’est surtout par les personnages qu’elle fait se croiser que l’intérêt est maintenu tout du long. Wallander se rend ici et là, interroge avec tact des personnes sur leurs souvenirs, exhume des livres et des documents, soulève des secrets de famille, et se révèle encore lui-même une dernière fois au cours de ses recherches. Voilà, il va falloir le quitter, mais après autant d’aventures partagées, qu’est-ce que cela va être difficile !
Henning Mankell
Suédois d'origine, la vie d'Henning Mankell est faite de découvertes et de voyages. A 16 ans, il quitte son pays natal pour s'installer à Paris. Puis, quelques années plus tard, il part pour l'Afrique et tombe amoureux de ce continent au charme mystérieux. C'est cet amour du voyage qui lui donne le recul nécessaire pour critiquer, à travers ses œuvres, les dérives du monde actuel. Miroir de notre société selon lui, il choisit le genre policier pour donner vie à son personnage fétiche, Kurt Wallander. Profondément humain, cet inspecteur désabusé et mélancolique se fait observateur de la violence contemporaine. Avec Le Chinois ou L'œil du léopard, découvrez un style d'écriture unique. En véritable amoureux du genre descriptif et régionaliste, situé à mille lieux de la frénésie des romans américains, prenez plaisir à suivre l'équipe de policiers aux personnalités distinctes dans des enquêtes tragiques et sinistres. Poursuivez votre découverte de la littérature scandinave avec Betty d'Arnaldur Indridason, Millenium tome 1 de Stieg Larsson ou Cyanure de Camilla Läckberg. Pour vous aider dans votre choix, fiez-vous aux avis de notre communauté d'utilisateurs. A travers la livraison à 1 centime et les meilleurs prix sur tous nos livres, nous faisons notre possible pour partager avec vous notre passion de la lecture.
Les chaussures italiennes
4.4/5
3.9/5
Henning Mankell
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7,99 €
Meurtriers sans visage
4/5
3.8/5
Henning Mankell
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Les morts de la Saint-Jean
4.5/5
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Henning Mankell
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Les bottes suédoises
4/5
Henning Mankell
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Le guerrier solitaire
4/5
3.9/5
Henning Mankell
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8,99 €
Les chiens de Riga
4/5
4.1/5
Henning Mankell
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La cinquième femme
4/5
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Henning Mankell
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L'homme qui souriait
3/5
3.6/5
Henning Mankell
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Le Chinois
3.6/5
Henning Mankell
Poche
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Le chinois
3.6/5
Henning Mankell
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