On les aura !. Carnet de guerre d'un poilu (août, septembre 1914)

Par : Barroux

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  • Nombre de pages93
  • PrésentationRelié
  • FormatAlbum
  • Poids0.472 kg
  • Dimensions18,7 cm × 25,8 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-02-104445-4
  • EAN9782021044454
  • Date de parution15/09/2011
  • ÉditeurSeuil

Résumé

Ce beau projet est né d'un heureux hasard, d'une rencontre fortuite, celle d'un cahier jeté sur un trottoir lors d'un déménagement et d'un illustrateur qui passe, se penche et l'emporte. Ce carnet contient un témoignage d'une richesse historique et humaine incroyable : le récit des premières semaines de mobilisation d'un homme durant l'été 1914. L'auteur de ce journal raconte les débuts de la guerre, le mois de juillet, quand tous sont encore persuadés qu'ils vont vaincre, jusqu'à son raptriement, en septembre, alors qu'il est blessé au bras.
Ce texte relate donc un quotidien champêtre et bien moins horrible que les traditionnels récits de vie dans les tranchées. Les puissantes illustrations au trait noir de Barroux, sous la forme du roman graphique, accompagnent la narration de ces évènements et émotions du passé : la séparation, les trajets en train vers des destinations inconnues, l'attente insoutenable du courrier d'un être cher, les nuits dans les granges mais aussi la peur, lancinante...
Ce beau projet est né d'un heureux hasard, d'une rencontre fortuite, celle d'un cahier jeté sur un trottoir lors d'un déménagement et d'un illustrateur qui passe, se penche et l'emporte. Ce carnet contient un témoignage d'une richesse historique et humaine incroyable : le récit des premières semaines de mobilisation d'un homme durant l'été 1914. L'auteur de ce journal raconte les débuts de la guerre, le mois de juillet, quand tous sont encore persuadés qu'ils vont vaincre, jusqu'à son raptriement, en septembre, alors qu'il est blessé au bras.
Ce texte relate donc un quotidien champêtre et bien moins horrible que les traditionnels récits de vie dans les tranchées. Les puissantes illustrations au trait noir de Barroux, sous la forme du roman graphique, accompagnent la narration de ces évènements et émotions du passé : la séparation, les trajets en train vers des destinations inconnues, l'attente insoutenable du courrier d'un être cher, les nuits dans les granges mais aussi la peur, lancinante...

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1 Coup de cœur
de nos libraires
"Adieu à tous. Non, au revoir".
Plaisir de retrouver Barroux, connu en jeunesse à ses débuts jusqu'à sa consécration et le retrouver dans un livre pour tous. Une drôle d'histoire pour une drôle de guerre. Un carnet trouvé d'abord dans un tas d'objets hétéroclites sorti d'une cave crasseuse. Au crayon noir, moustaches et départ en fanfare, des villages, des expressions au crayon... Les premiers jours d'une guerre, manœuvres et ressentis, sobre et précis, un dessin simple et pudique, illustrant le propos de larges bandes ou le détail est épargné ou important. Dans la direction de Verdun, le canon est encore lointain. Quelques collages se superposant au dessin, extraits de carnet auxquels on donne une autre teinte, une vie au début d'une guerre. Quand commence la guerre et déjà nostalgie du retour, pas encore de blessures mais des ampoules, une inquiétude qui se précise. Jour et nuit, états d'âme que le crayon noir souligne. La guerre qui prend de plus en plus de place dans les esprits, dans le dessin, de la veine et la nuit qui se rapprochent. Guerre encore mobile et courte comme celle de Peguy sauf que notre poilu disparu un jour disparaît dans la nature en ne relevant plus que quelques chansons jusqu'en 17. Du Barroux adulte et jeunesse excellent !
Plaisir de retrouver Barroux, connu en jeunesse à ses débuts jusqu'à sa consécration et le retrouver dans un livre pour tous. Une drôle d'histoire pour une drôle de guerre. Un carnet trouvé d'abord dans un tas d'objets hétéroclites sorti d'une cave crasseuse. Au crayon noir, moustaches et départ en fanfare, des villages, des expressions au crayon... Les premiers jours d'une guerre, manœuvres et ressentis, sobre et précis, un dessin simple et pudique, illustrant le propos de larges bandes ou le détail est épargné ou important. Dans la direction de Verdun, le canon est encore lointain. Quelques collages se superposant au dessin, extraits de carnet auxquels on donne une autre teinte, une vie au début d'une guerre. Quand commence la guerre et déjà nostalgie du retour, pas encore de blessures mais des ampoules, une inquiétude qui se précise. Jour et nuit, états d'âme que le crayon noir souligne. La guerre qui prend de plus en plus de place dans les esprits, dans le dessin, de la veine et la nuit qui se rapprochent. Guerre encore mobile et courte comme celle de Peguy sauf que notre poilu disparu un jour disparaît dans la nature en ne relevant plus que quelques chansons jusqu'en 17. Du Barroux adulte et jeunesse excellent !
  • Inattendu
  • XXe siècle
  • guerre
  • recit
  • carnet
  • soldat
  • Surprenant
  • bande dessinée
  • Meuse
  • saint-remy
  • Gremilly
  • Longwy
  • Beaumont
  • crayon noir

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 2 notes dont 1 avis lecteur
guerre mondiale, 1914-1918, bande dessinée
Quel heureux hasard que ce document nous soit parvenu, la vie de celui qui n'est pas encore un Poilu, depuis son ordre de mobilisation. On suit ainsi les étapes de son arrivée sur le front. Arrivée lente et douce. Puis c'est l'horreur des combats. Un dessin sobre, en beige et noir, comme griffonné. Mais tout de même, Monsieur Barroux, que ces nez sont gênants. L'image que je retiendrai : Celle du chaos des combats. Une image toute noire, ou presque.
Quel heureux hasard que ce document nous soit parvenu, la vie de celui qui n'est pas encore un Poilu, depuis son ordre de mobilisation. On suit ainsi les étapes de son arrivée sur le front. Arrivée lente et douce. Puis c'est l'horreur des combats. Un dessin sobre, en beige et noir, comme griffonné. Mais tout de même, Monsieur Barroux, que ces nez sont gênants. L'image que je retiendrai : Celle du chaos des combats. Une image toute noire, ou presque.
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