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- FormatePub
- ISBN978-2-35087-230-8
- EAN9782350872308
- Date de parution21/03/2013
- Copier Coller02 page(s) autorisée(s)
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille2 Mo
- Infos supplémentairesepub
- ÉditeurHéloïse d'Ormesson
Résumé
Qu'un peuple débonnaire ait pu devenir ce peuple de chiens enragés, voilà un sujet inépuisable de perplexité et de stupéfaction. - Vladimir Jankélévitch
Février 1936. Les Jeux olympiques de Garmisch-Partenkirchen ont été une opération de communication réussie pour le régime nazi. Alors que le IIIe Reich entre dans sa phase triomphante, Andreas Kuppler, chroniqueur sportif réputé, traverse une crise existentielle.
En acceptant de prendre sa carte du NSDAP n'est-il pas devenu un pantin du pouvoir ? La dépression de Magdalena, son épouse, exacerbe son malaise. Au fil des années, la stérilité de leur union a pesé lourdement sur l'équilibre fragile du couple. Magdalena le vit d'autant plus mal que le gouvernement, exhorte les femmes allemandes à enfanter. Seul réconfort dans sa sinistre vie, l'avènement d'Hitler, garant de la prospérité du pays.
Mais la frilosité de son mari à l'égard du chancelier l'inquiète. Pendant ce temps, la traque aux ennemis du Reich s'intensifie. Une liste de journalistes, susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l'État, circule. Andreas, qui, lors de ces JO d'hiver, a osé fréquenter des journalistes américains (dont 1 sur 3 était juif) et écouter du jazz et du blues, est passé du côté des suspects, des antiallemands.
La Gestapo, qui veut le faire tomber, lance sur lui sa machine implacable. L'étau se resserre sur la famille Kuppler. Quand adhère-t-on à un système fasciste ? Comment s'instaure une dictature ? La Désobéissance d'Andreas Kuppler aborde avec une extrême subtilité cette terrible question. Sur les traces d'Andreas et de Magda, pris dans la tourmente de l'Histoire, on pense à Seul dans Berlin. À l'instar de Hans Fallada, Michel Goujon nous replonge dans cette époque où les silences nourrissaient la terreur, où la propagande profitait de la peur.
Un monde où le bien et le mal se confondaient sournoisement et rimaient tout à la fois avec amour, trahison et courage.
En acceptant de prendre sa carte du NSDAP n'est-il pas devenu un pantin du pouvoir ? La dépression de Magdalena, son épouse, exacerbe son malaise. Au fil des années, la stérilité de leur union a pesé lourdement sur l'équilibre fragile du couple. Magdalena le vit d'autant plus mal que le gouvernement, exhorte les femmes allemandes à enfanter. Seul réconfort dans sa sinistre vie, l'avènement d'Hitler, garant de la prospérité du pays.
Mais la frilosité de son mari à l'égard du chancelier l'inquiète. Pendant ce temps, la traque aux ennemis du Reich s'intensifie. Une liste de journalistes, susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l'État, circule. Andreas, qui, lors de ces JO d'hiver, a osé fréquenter des journalistes américains (dont 1 sur 3 était juif) et écouter du jazz et du blues, est passé du côté des suspects, des antiallemands.
La Gestapo, qui veut le faire tomber, lance sur lui sa machine implacable. L'étau se resserre sur la famille Kuppler. Quand adhère-t-on à un système fasciste ? Comment s'instaure une dictature ? La Désobéissance d'Andreas Kuppler aborde avec une extrême subtilité cette terrible question. Sur les traces d'Andreas et de Magda, pris dans la tourmente de l'Histoire, on pense à Seul dans Berlin. À l'instar de Hans Fallada, Michel Goujon nous replonge dans cette époque où les silences nourrissaient la terreur, où la propagande profitait de la peur.
Un monde où le bien et le mal se confondaient sournoisement et rimaient tout à la fois avec amour, trahison et courage.
Qu'un peuple débonnaire ait pu devenir ce peuple de chiens enragés, voilà un sujet inépuisable de perplexité et de stupéfaction. - Vladimir Jankélévitch
Février 1936. Les Jeux olympiques de Garmisch-Partenkirchen ont été une opération de communication réussie pour le régime nazi. Alors que le IIIe Reich entre dans sa phase triomphante, Andreas Kuppler, chroniqueur sportif réputé, traverse une crise existentielle.
En acceptant de prendre sa carte du NSDAP n'est-il pas devenu un pantin du pouvoir ? La dépression de Magdalena, son épouse, exacerbe son malaise. Au fil des années, la stérilité de leur union a pesé lourdement sur l'équilibre fragile du couple. Magdalena le vit d'autant plus mal que le gouvernement, exhorte les femmes allemandes à enfanter. Seul réconfort dans sa sinistre vie, l'avènement d'Hitler, garant de la prospérité du pays.
Mais la frilosité de son mari à l'égard du chancelier l'inquiète. Pendant ce temps, la traque aux ennemis du Reich s'intensifie. Une liste de journalistes, susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l'État, circule. Andreas, qui, lors de ces JO d'hiver, a osé fréquenter des journalistes américains (dont 1 sur 3 était juif) et écouter du jazz et du blues, est passé du côté des suspects, des antiallemands.
La Gestapo, qui veut le faire tomber, lance sur lui sa machine implacable. L'étau se resserre sur la famille Kuppler. Quand adhère-t-on à un système fasciste ? Comment s'instaure une dictature ? La Désobéissance d'Andreas Kuppler aborde avec une extrême subtilité cette terrible question. Sur les traces d'Andreas et de Magda, pris dans la tourmente de l'Histoire, on pense à Seul dans Berlin. À l'instar de Hans Fallada, Michel Goujon nous replonge dans cette époque où les silences nourrissaient la terreur, où la propagande profitait de la peur.
Un monde où le bien et le mal se confondaient sournoisement et rimaient tout à la fois avec amour, trahison et courage.
En acceptant de prendre sa carte du NSDAP n'est-il pas devenu un pantin du pouvoir ? La dépression de Magdalena, son épouse, exacerbe son malaise. Au fil des années, la stérilité de leur union a pesé lourdement sur l'équilibre fragile du couple. Magdalena le vit d'autant plus mal que le gouvernement, exhorte les femmes allemandes à enfanter. Seul réconfort dans sa sinistre vie, l'avènement d'Hitler, garant de la prospérité du pays.
Mais la frilosité de son mari à l'égard du chancelier l'inquiète. Pendant ce temps, la traque aux ennemis du Reich s'intensifie. Une liste de journalistes, susceptibles de porter atteinte à la sûreté de l'État, circule. Andreas, qui, lors de ces JO d'hiver, a osé fréquenter des journalistes américains (dont 1 sur 3 était juif) et écouter du jazz et du blues, est passé du côté des suspects, des antiallemands.
La Gestapo, qui veut le faire tomber, lance sur lui sa machine implacable. L'étau se resserre sur la famille Kuppler. Quand adhère-t-on à un système fasciste ? Comment s'instaure une dictature ? La Désobéissance d'Andreas Kuppler aborde avec une extrême subtilité cette terrible question. Sur les traces d'Andreas et de Magda, pris dans la tourmente de l'Histoire, on pense à Seul dans Berlin. À l'instar de Hans Fallada, Michel Goujon nous replonge dans cette époque où les silences nourrissaient la terreur, où la propagande profitait de la peur.
Un monde où le bien et le mal se confondaient sournoisement et rimaient tout à la fois avec amour, trahison et courage.
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