La CFDT (1968 - 1995). De l'autogestion au syndicalisme de proposition
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- Nombre de pages368
- FormatPDF
- ISBN978-2-7246-8273-1
- EAN9782724682731
- Date de parution23/11/2009
- Protection num.Digital Watermarking
- Taille3 Mo
- Infos supplémentairespdf
- ÉditeurSciences Po (Les Presses de)
Résumé
Alors que de nombreuses voix invitent à nouveau la CFDT à "changer radicalement sa pratique" vis-à-vis de la base, cet ouvrage permet de comprendre les ressorts réels des transformations qui ont affecté la Confédération française démocratique du travail depuis mai 1968. Comment la CFDT qui a compté jusqu'à 2 millions d'adhérents est-elle passée du socialisme autogestionnaire au réformisme apolitique en moins d'une génération ? A égale distance des thèses adverses de la "trahison historique" face au néolibéralisme et de l'"adaptation" nécessaire devant la crise, Nicolas Defaud montre, grâce à un travail à partir d'archives et à une sociohistoire inédite de l'appareil syndical, comment la confédération d'origine chrétienne est passée du mouvement ouvrier et du syndicalisme de transformation sociale au "syndicalisme de proposition" qu'elle a labellisé.
Retraçant à la fois les débats d'idées et les basculements sociologiques profonds qui touchent la population de ses militants, l'auteur propose un autre point de vue pour aborder l'évolution du syndicalisme à travers l'histoire de la CFDT, le syndicat qui voulait être le "bureau d'études de la classe ouvrière".
Retraçant à la fois les débats d'idées et les basculements sociologiques profonds qui touchent la population de ses militants, l'auteur propose un autre point de vue pour aborder l'évolution du syndicalisme à travers l'histoire de la CFDT, le syndicat qui voulait être le "bureau d'études de la classe ouvrière".
Alors que de nombreuses voix invitent à nouveau la CFDT à "changer radicalement sa pratique" vis-à-vis de la base, cet ouvrage permet de comprendre les ressorts réels des transformations qui ont affecté la Confédération française démocratique du travail depuis mai 1968. Comment la CFDT qui a compté jusqu'à 2 millions d'adhérents est-elle passée du socialisme autogestionnaire au réformisme apolitique en moins d'une génération ? A égale distance des thèses adverses de la "trahison historique" face au néolibéralisme et de l'"adaptation" nécessaire devant la crise, Nicolas Defaud montre, grâce à un travail à partir d'archives et à une sociohistoire inédite de l'appareil syndical, comment la confédération d'origine chrétienne est passée du mouvement ouvrier et du syndicalisme de transformation sociale au "syndicalisme de proposition" qu'elle a labellisé.
Retraçant à la fois les débats d'idées et les basculements sociologiques profonds qui touchent la population de ses militants, l'auteur propose un autre point de vue pour aborder l'évolution du syndicalisme à travers l'histoire de la CFDT, le syndicat qui voulait être le "bureau d'études de la classe ouvrière".
Retraçant à la fois les débats d'idées et les basculements sociologiques profonds qui touchent la population de ses militants, l'auteur propose un autre point de vue pour aborder l'évolution du syndicalisme à travers l'histoire de la CFDT, le syndicat qui voulait être le "bureau d'études de la classe ouvrière".





