Entreprises : la grande déformation

Par : Olivier Favereau

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages155
  • PrésentationBroché
  • Poids0.2 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-88918-294-7
  • EAN9782889182947
  • Date de parution17/06/2014
  • CollectionHumanités
  • ÉditeurParole et Silence

Résumé

L'entreprise, non seulement en tant que collectivité humaine mais en tant que moteur de nos économies, va mal, très mal même. C'est essentiellement le résultat de la phase de financiarisation débridée que le monde a connue, et connaît encore, depuis le tournant néo-libéral des années 1970-1980. Un postulat s'est alors imposé sans discussion, selon lequel les entreprises seraient la propriété de leurs actionnaires.
Pour cette raison, il faudrait que leurs intérêts passent en premier, faisant régresser vers l'arrière-scène, ceux des salariés. Mais cette raison est fausse. Une équipe de recherche multi-disciplinaire au Collège des Bernardins a entrepris depuis 2009 de démonter cette erreur, et d'en expliciter toutes les conséquences négatives, voire destructrices, sur le mode de fonctionnement des entreprises.
Il est montré à travers un panorama exceptionnellement large que toutes les dimensions de cette institution capitale en sont affectées : des plus humaines aux plus économiques. En révélant la multiplicité des aspects de cette " grande déformation ", l'ouvrage dessine, en filigrane, la carte des voies à emprunter pour inverser la tendance - et fonder l'entreprise du XXIe- siècle.
L'entreprise, non seulement en tant que collectivité humaine mais en tant que moteur de nos économies, va mal, très mal même. C'est essentiellement le résultat de la phase de financiarisation débridée que le monde a connue, et connaît encore, depuis le tournant néo-libéral des années 1970-1980. Un postulat s'est alors imposé sans discussion, selon lequel les entreprises seraient la propriété de leurs actionnaires.
Pour cette raison, il faudrait que leurs intérêts passent en premier, faisant régresser vers l'arrière-scène, ceux des salariés. Mais cette raison est fausse. Une équipe de recherche multi-disciplinaire au Collège des Bernardins a entrepris depuis 2009 de démonter cette erreur, et d'en expliciter toutes les conséquences négatives, voire destructrices, sur le mode de fonctionnement des entreprises.
Il est montré à travers un panorama exceptionnellement large que toutes les dimensions de cette institution capitale en sont affectées : des plus humaines aux plus économiques. En révélant la multiplicité des aspects de cette " grande déformation ", l'ouvrage dessine, en filigrane, la carte des voies à emprunter pour inverser la tendance - et fonder l'entreprise du XXIe- siècle.
Traité de codétermination
Olivier Favereau, Collectif Collectif, Jean-Louis Beffa, Marylise Léon
E-book
43,99 €