Max Weber (1864-1920), économiste allemand, père de la sociologie contemporaine. Né dans une riche famille de la bourgeoise protestante allemande, M. Weber entame des études en Droit et accède au poste de professeur d'Histoire de droit romain et de droit commercial à Berlin (1893) puis à Fribourg (1894). Souffrant de dépression nerveuse, il visite l'Italie et le sud de la France, et c'est à la suite de ce voyage qu'il réoriente ses recherches vers la sociologie dont il fonde en 1909, avec G. Tönnies et G. Simmel, la Société allemande de sociologie. Les années 1915-1919 sont pour Weber une grande période d'activité intellectuelle avec la publication de ses travaux sur la sociologie comparative des religions mondiales. Il meurt peu après avoir obtenu la première chaire de sociologie à Munich. Mal connue en France, la pensée wébérienne s'appuie le processus de rationalisation de la modernité occidentale par de nombreux exemples historiques.
La ville
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- Nombre de pages269
- PrésentationBroché
- Poids0.43 kg
- Dimensions15,6 cm × 24,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-7071-7804-6
- EAN9782707178046
- Date de parution02/10/2014
- CollectionPolitique et sociétés
- ÉditeurLa Découverte
- TraducteurAurélien Berlan
- PostfacierYves Sintomer
Résumé
Les éditions La Découverte ont entrepris, depuis quelques années, un travail de traduction d'inédits et de retraduction des principaux ouvrages de Max Weber, qui se fonde sur l'édition allemande de référence, et qui se poursuivra dans les années à venir. La Ville est la retraduction de l'un des textes les plus célèbres du fondateur de la sociologie allemande. Max Weber y défend une thèse forte : au même titre que le capitalisme et l'État moderne, la ville, ou plus exactement la « ville-commune » (la ville lieu de production artisanale, industrielle et marchande, mais aussi la ville autogouvernée par ses « bourgeois-citoyens ») constitue la troisième grande contribution fondamentale de l'Occident à l'histoire mondiale.
Soigneusement retraduit et édité à partir de l'édition critique allemande, le volume publié par les éditions La Découverte facilitera l'accès des lecteurs par un travail éditorial soigné (introduction de nombreux paragraphes et sous-titres, notes de bas de page pour toutes les références non immédiatement évidentes, etc.).
Une double présentation (préface et postface) soulignera l'actualité de l'œuvre et en précisera ses notions principales : l'articulation de divers types de luttes sociales (de classe, mais aussi de groupes constitutés autour d'un statut particulier, notamment professionnel) ; la question de la spécificité de l'Occident dans le processus historique de mondialisation de l'autre. Le livre devrait s'imposercomme un ouvrage de référence prescrit en sociologie, en urbanisme, en histoire et en sciences politiques. Un ouvrage qui fait suite au beau succès critique et de librairie (3 000 exemplaires vendus à ce jour) de La Domination (janvier 2014)
Une double présentation (préface et postface) soulignera l'actualité de l'œuvre et en précisera ses notions principales : l'articulation de divers types de luttes sociales (de classe, mais aussi de groupes constitutés autour d'un statut particulier, notamment professionnel) ; la question de la spécificité de l'Occident dans le processus historique de mondialisation de l'autre. Le livre devrait s'imposercomme un ouvrage de référence prescrit en sociologie, en urbanisme, en histoire et en sciences politiques. Un ouvrage qui fait suite au beau succès critique et de librairie (3 000 exemplaires vendus à ce jour) de La Domination (janvier 2014)
Les éditions La Découverte ont entrepris, depuis quelques années, un travail de traduction d'inédits et de retraduction des principaux ouvrages de Max Weber, qui se fonde sur l'édition allemande de référence, et qui se poursuivra dans les années à venir. La Ville est la retraduction de l'un des textes les plus célèbres du fondateur de la sociologie allemande. Max Weber y défend une thèse forte : au même titre que le capitalisme et l'État moderne, la ville, ou plus exactement la « ville-commune » (la ville lieu de production artisanale, industrielle et marchande, mais aussi la ville autogouvernée par ses « bourgeois-citoyens ») constitue la troisième grande contribution fondamentale de l'Occident à l'histoire mondiale.
Soigneusement retraduit et édité à partir de l'édition critique allemande, le volume publié par les éditions La Découverte facilitera l'accès des lecteurs par un travail éditorial soigné (introduction de nombreux paragraphes et sous-titres, notes de bas de page pour toutes les références non immédiatement évidentes, etc.).
Une double présentation (préface et postface) soulignera l'actualité de l'œuvre et en précisera ses notions principales : l'articulation de divers types de luttes sociales (de classe, mais aussi de groupes constitutés autour d'un statut particulier, notamment professionnel) ; la question de la spécificité de l'Occident dans le processus historique de mondialisation de l'autre. Le livre devrait s'imposercomme un ouvrage de référence prescrit en sociologie, en urbanisme, en histoire et en sciences politiques. Un ouvrage qui fait suite au beau succès critique et de librairie (3 000 exemplaires vendus à ce jour) de La Domination (janvier 2014)
Une double présentation (préface et postface) soulignera l'actualité de l'œuvre et en précisera ses notions principales : l'articulation de divers types de luttes sociales (de classe, mais aussi de groupes constitutés autour d'un statut particulier, notamment professionnel) ; la question de la spécificité de l'Occident dans le processus historique de mondialisation de l'autre. Le livre devrait s'imposercomme un ouvrage de référence prescrit en sociologie, en urbanisme, en histoire et en sciences politiques. Un ouvrage qui fait suite au beau succès critique et de librairie (3 000 exemplaires vendus à ce jour) de La Domination (janvier 2014)