L'Action française, culture, société, politique
Par : ,Formats :
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format Multi-format est :
- Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement
Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
- Nombre de pages434
- FormatMulti-format
- ISBN978-2-7574-2123-9
- EAN9782757421239
- Date de parution10/05/2019
- Protection num.NC
- Infos supplémentairesMulti-format incluant PDF avec W...
- ÉditeurPU du Septentrion
Résumé
De la Belle Époque à la Seconde Guerre mondiale, Charles Maurras et l'Action française constituent un pôle important de la vie politique et culturelle de la France. Le système doctrinal que propose le « nationalisme intégral », ses thèmes récurrents sont connus : l'hostilité à la Révolution, l'antirépublicanisme, l'antiparlementarisme, l'antilibéralisme, l'antisémitisme, l'anti-individualisme... Afin de mieux évaluer le degré d'imprégnation de la société française par le maurrassisme, les contributions réunies ici approfondissent l'examen d'aspects déjà abordés du mouvement d'extrême droite ; elles en interrogent d'autres, peu ou mal connus, par des approches socioculturelles.
Les études sur les divers héritages que le maurrassisme refuse ou revendique précèdent celles des milieux sociaux et religieux. L'analyse des sociabilités, des réseaux et des vecteurs de diffusion doctrinale, celle des régions où il est implanté, comme la mise en évidence des oppositions qu'il a rencontrées permettent de mieux prendre la mesure du magistère intellectuel de Charles Maurras. En même temps, elles conduisent à relativiser l'influence d'un mouvement que Pierre Nora qualifiait d'« envers de la République »
Les études sur les divers héritages que le maurrassisme refuse ou revendique précèdent celles des milieux sociaux et religieux. L'analyse des sociabilités, des réseaux et des vecteurs de diffusion doctrinale, celle des régions où il est implanté, comme la mise en évidence des oppositions qu'il a rencontrées permettent de mieux prendre la mesure du magistère intellectuel de Charles Maurras. En même temps, elles conduisent à relativiser l'influence d'un mouvement que Pierre Nora qualifiait d'« envers de la République »
De la Belle Époque à la Seconde Guerre mondiale, Charles Maurras et l'Action française constituent un pôle important de la vie politique et culturelle de la France. Le système doctrinal que propose le « nationalisme intégral », ses thèmes récurrents sont connus : l'hostilité à la Révolution, l'antirépublicanisme, l'antiparlementarisme, l'antilibéralisme, l'antisémitisme, l'anti-individualisme... Afin de mieux évaluer le degré d'imprégnation de la société française par le maurrassisme, les contributions réunies ici approfondissent l'examen d'aspects déjà abordés du mouvement d'extrême droite ; elles en interrogent d'autres, peu ou mal connus, par des approches socioculturelles.
Les études sur les divers héritages que le maurrassisme refuse ou revendique précèdent celles des milieux sociaux et religieux. L'analyse des sociabilités, des réseaux et des vecteurs de diffusion doctrinale, celle des régions où il est implanté, comme la mise en évidence des oppositions qu'il a rencontrées permettent de mieux prendre la mesure du magistère intellectuel de Charles Maurras. En même temps, elles conduisent à relativiser l'influence d'un mouvement que Pierre Nora qualifiait d'« envers de la République »
Les études sur les divers héritages que le maurrassisme refuse ou revendique précèdent celles des milieux sociaux et religieux. L'analyse des sociabilités, des réseaux et des vecteurs de diffusion doctrinale, celle des régions où il est implanté, comme la mise en évidence des oppositions qu'il a rencontrées permettent de mieux prendre la mesure du magistère intellectuel de Charles Maurras. En même temps, elles conduisent à relativiser l'influence d'un mouvement que Pierre Nora qualifiait d'« envers de la République »