Coup de coeur

Le château des étoiles Tome 1
1869 : la conquête de l'espace. Première partie

Par : Alex Alice

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  • Nombre de pages62
  • PrésentationRelié
  • FormatAlbum
  • Poids0.665 kg
  • Dimensions24,0 cm × 32,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-36981-013-1
  • EAN9782369810131
  • Date de parution24/09/2014
  • ÉditeurRue de Sèvres

Résumé

Et si la conquête des étoiles avait un siècle d'avance ? 1868. A bord de son ballon de haute altitude, la mère de Séraphin disparaît mystérieusement à la frontière de l'espace. Un an plus tard, une lettre anonyme révèle que son carnet de bord a été retrouvé... Séraphin et son père, échappant de justesse à un enlèvement, suivent la piste du carnet jusque dans les contreforts des Alpes. C'est là, à l'ombre d'un château de conte de fées, que le roi Ludwig de Bavière a entrepris la construction d'un engin spatial de cuivre et de bois qui s'apprête à changer le cours de l'Histoire.
Mêlant aventure à la Jules Verne, romantisme et humour, ce livre s'adresse aux rêveurs de toutes les générations et démontre, s'il le fallait, qu'il n'y a pas d'âge pour le merveilleux.
Et si la conquête des étoiles avait un siècle d'avance ? 1868. A bord de son ballon de haute altitude, la mère de Séraphin disparaît mystérieusement à la frontière de l'espace. Un an plus tard, une lettre anonyme révèle que son carnet de bord a été retrouvé... Séraphin et son père, échappant de justesse à un enlèvement, suivent la piste du carnet jusque dans les contreforts des Alpes. C'est là, à l'ombre d'un château de conte de fées, que le roi Ludwig de Bavière a entrepris la construction d'un engin spatial de cuivre et de bois qui s'apprête à changer le cours de l'Histoire.
Mêlant aventure à la Jules Verne, romantisme et humour, ce livre s'adresse aux rêveurs de toutes les générations et démontre, s'il le fallait, qu'il n'y a pas d'âge pour le merveilleux.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
David - 1Decitre Levallois-Perret
5/5
Une des meilleures séries jeunesse
Fin du XIXème siècle. Une scientifique tente de prouver l'existence de l'éther, substance constituante de l'espace, afin de l'utiliser comme carburant dans la conquête des étoiles, mais meurt dans la montgolfière qui la transportait... Son mari et son fils reprennent alors ses travaux, sous la protection de l'original roi de Bavière, et au beau milieux des intrigues politiques et autres ambitions de conquêtes voisines... Des illustration magnifiques toute en finesse, un scénario mature et merveilleux, un suspens haletant, une ambiance unique... Tout est là ! Une pépite, pour la jeunesse, mais pas que.
Fin du XIXème siècle. Une scientifique tente de prouver l'existence de l'éther, substance constituante de l'espace, afin de l'utiliser comme carburant dans la conquête des étoiles, mais meurt dans la montgolfière qui la transportait... Son mari et son fils reprennent alors ses travaux, sous la protection de l'original roi de Bavière, et au beau milieux des intrigues politiques et autres ambitions de conquêtes voisines... Des illustration magnifiques toute en finesse, un scénario mature et merveilleux, un suspens haletant, une ambiance unique... Tout est là ! Une pépite, pour la jeunesse, mais pas que.
  • ether
  • xixème

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Fantastique !
Cette fin du XIXème est pour moi l'époque de tous les possibles. J'adore les récits qui prennent pour trame cette époque. Je suis donc un peu conquise d'avance par l'intrigue qui mêle mystère, découvertes scientifiques, aventure... Et ce ne sont pas les planches que l'on peut lire dans cette BD qui vont me repousser. Les dessins sont magnifiques !!! On dirait presque des aquarelles, des dessins à l'ancienne. C'est fin, c'est coloré avec des tons pastels ou un peu délavés, cela a un charme fou, une âme. On y retrouve une trace d'inspiration japonaise (studio Ghibli) à mon sens, même si c'est classique dans les lignes. Il y a des sentiments exprimés par et pour ce récit. Les sources d'inspiration sont clairement définies dans une présentation avant l'intrigue elle-même, elles sont celles de tous les gamins rêveurs que nous avons été un jour. Et puis il y a la folle imagination de chercheurs, de savants... Le scénario n'est pas complètement novateur (plutôt très classique), mais tellement bien mené que l'on suit. On se laisse prendre par l'histoire. On est transporté et on croit de nouveau à ce qui n'est pas possible, on retrouve notre crédulité d'enfant, on retrouve aussi ce qui est une force incroyable : ne plus avoir d'autre limite que nous-même. Les protagonistes sont imaginaires et réels. Retrouver Sisi dans ces pages ne me surprend guère. Sa personnalité et celle de son cousin s'y prête parfaitement. J'ai oublié la réalité durant ma lecture. Et même après que j'ai refermé cet album, j'avais encore dans la tête et devant mes yeux des images fantastiques.
Cette fin du XIXème est pour moi l'époque de tous les possibles. J'adore les récits qui prennent pour trame cette époque. Je suis donc un peu conquise d'avance par l'intrigue qui mêle mystère, découvertes scientifiques, aventure... Et ce ne sont pas les planches que l'on peut lire dans cette BD qui vont me repousser. Les dessins sont magnifiques !!! On dirait presque des aquarelles, des dessins à l'ancienne. C'est fin, c'est coloré avec des tons pastels ou un peu délavés, cela a un charme fou, une âme. On y retrouve une trace d'inspiration japonaise (studio Ghibli) à mon sens, même si c'est classique dans les lignes. Il y a des sentiments exprimés par et pour ce récit. Les sources d'inspiration sont clairement définies dans une présentation avant l'intrigue elle-même, elles sont celles de tous les gamins rêveurs que nous avons été un jour. Et puis il y a la folle imagination de chercheurs, de savants... Le scénario n'est pas complètement novateur (plutôt très classique), mais tellement bien mené que l'on suit. On se laisse prendre par l'histoire. On est transporté et on croit de nouveau à ce qui n'est pas possible, on retrouve notre crédulité d'enfant, on retrouve aussi ce qui est une force incroyable : ne plus avoir d'autre limite que nous-même. Les protagonistes sont imaginaires et réels. Retrouver Sisi dans ces pages ne me surprend guère. Sa personnalité et celle de son cousin s'y prête parfaitement. J'ai oublié la réalité durant ma lecture. Et même après que j'ai refermé cet album, j'avais encore dans la tête et devant mes yeux des images fantastiques.
  • Passionnant
  • XIXe siècle
  • Merveilleux
Quel beau rêve que celui d'Alex Alice
Alex Alice n’est pas un nom inconnu dans le domaine de la bande dessinée. De par « Le troisième testament » dont il a scénarisé les 7 tomes et dessiné les 4 premiers, il s’est fait connaître du grand public à travers un récit ésotérico-religieux qui avait pris ses lettres de noblesses dans les années 90 avant, de par la pléthore de titres, de passer, un peu comme le thriller en littérature, au rang de facilités éditoriales souvent bâclées. Passons ce débat pour aborder ce « Château des étoiles » bien loin de ces considérations scénaristiques. Alex Alice nous entraîne ici sur les traces de Jules Verne avec une technique de couleurs directes inédite pour lui. Le résultat est plutôt enthousiasmant. Pour ce qui est de l’histoire, nous suivons, fin XIX° siècle, Séraphin dont la mère s’est tuée en ballon stratosphérique à la poursuite de l’éther, censé pouvoir faire voyager dans l’espace. Séraphin et son père reçoivent un jour une lettre les informant que le journal de bord de Claire a été retrouvé en Allemagne et les invitant à travailler sur la suite du projet de la mère de Séraphin. Le grand ordonnateur et argentier du projet de voyage dans l’espace n’est autre que le roi Louis II de Bavière, prisonnier de ses propres rêves et de la bataille qui l’oppose à Bismark. Si le premier voit dans la maîtrise de l’éther et la construction d’un vaisseau capable de voyager dans l’espace un moyen de plus pour s’évader et continuer à sombrer dans une excentricité fatale, le second y voit l’occasion d’avoir une arme de guerre inégalable et à nulle autre pareille. Ce tome 1 regroupe les 3 premiers volets de l’histoire publiés sous forme de journal. 3 autres volets sont à paraître et un deuxième tome les regroupant aussi. Il s’achève sur la construction de l’éthernef par le père de Séraphin qui aura entre temps tenté de déjouer un complot contre le roi. Ce roi si particulier est présenté ici avec une dose certaine d’affection, plus rêveur qu’excentrique d’ailleurs. Les premières planches, je l’avoue m’ont laissé sceptique, et puis la magie de Jules Verne prend et Alex Alice nous emmène où il veut, on le suit, on le croit, on gobe tout ce qu’il nous raconte, tout ce qu’il invente. La couleur directe donne une touche de douceur, de tendresse à l’histoire d’Alex Alice soulignée aussi par le personnage de Sophie, la jeune servante qui aide Séraphin, et de son demi-frère Hans qui, lui, semble échappé d’un dessin animé de Miyazaki. C’est une douce rêverie qu’il est heureux de savourer douillettement avant de s’endormir des étoiles plein la tête. Bonus : un entretien avec Alex Alice sur BDGEST. Lien vers mon blog : http://wp.me/p2X8E2-gD
Alex Alice n’est pas un nom inconnu dans le domaine de la bande dessinée. De par « Le troisième testament » dont il a scénarisé les 7 tomes et dessiné les 4 premiers, il s’est fait connaître du grand public à travers un récit ésotérico-religieux qui avait pris ses lettres de noblesses dans les années 90 avant, de par la pléthore de titres, de passer, un peu comme le thriller en littérature, au rang de facilités éditoriales souvent bâclées. Passons ce débat pour aborder ce « Château des étoiles » bien loin de ces considérations scénaristiques. Alex Alice nous entraîne ici sur les traces de Jules Verne avec une technique de couleurs directes inédite pour lui. Le résultat est plutôt enthousiasmant. Pour ce qui est de l’histoire, nous suivons, fin XIX° siècle, Séraphin dont la mère s’est tuée en ballon stratosphérique à la poursuite de l’éther, censé pouvoir faire voyager dans l’espace. Séraphin et son père reçoivent un jour une lettre les informant que le journal de bord de Claire a été retrouvé en Allemagne et les invitant à travailler sur la suite du projet de la mère de Séraphin. Le grand ordonnateur et argentier du projet de voyage dans l’espace n’est autre que le roi Louis II de Bavière, prisonnier de ses propres rêves et de la bataille qui l’oppose à Bismark. Si le premier voit dans la maîtrise de l’éther et la construction d’un vaisseau capable de voyager dans l’espace un moyen de plus pour s’évader et continuer à sombrer dans une excentricité fatale, le second y voit l’occasion d’avoir une arme de guerre inégalable et à nulle autre pareille. Ce tome 1 regroupe les 3 premiers volets de l’histoire publiés sous forme de journal. 3 autres volets sont à paraître et un deuxième tome les regroupant aussi. Il s’achève sur la construction de l’éthernef par le père de Séraphin qui aura entre temps tenté de déjouer un complot contre le roi. Ce roi si particulier est présenté ici avec une dose certaine d’affection, plus rêveur qu’excentrique d’ailleurs. Les premières planches, je l’avoue m’ont laissé sceptique, et puis la magie de Jules Verne prend et Alex Alice nous emmène où il veut, on le suit, on le croit, on gobe tout ce qu’il nous raconte, tout ce qu’il invente. La couleur directe donne une touche de douceur, de tendresse à l’histoire d’Alex Alice soulignée aussi par le personnage de Sophie, la jeune servante qui aide Séraphin, et de son demi-frère Hans qui, lui, semble échappé d’un dessin animé de Miyazaki. C’est une douce rêverie qu’il est heureux de savourer douillettement avant de s’endormir des étoiles plein la tête. Bonus : un entretien avec Alex Alice sur BDGEST. Lien vers mon blog : http://wp.me/p2X8E2-gD