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" Tout ce que je laisse après moi (...) doit être brûlé sans restriction et sans être lu ". Ainsi Kafka demandait à son exécuteur testamentaire de détruire ses manuscrits, dont celui, inachevé, intitulé Le Château. On y rencontre un homme, K, face au chaos de la bureaucratie. Les personnages, incapables d'agir, s'obstinent dans une confusion absurde. Plus que tous ses autres textes, c'est ce roman qui installe la définition du mot " kafkaïen ".
mystérieux
lien vers ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/le-chateau-franz-kafka.html
extrait de ma chronique:
Résumé : K est un arpenteur qui tente de faire son métier. Mais pour cela, il doit réussir à parvenir au château, lieu inaccessible rempli de différents fonctionnaires dont le mystérieux Klamme. Les situations toutes plus absurdes les unes que les autres s’enchaînent sans répit avec des personnages tous aussi loufoques. Un enfer kafkaïen, insolvable et irrésolu...
Le mot de la fin : Une fois encore mon interprétation de cet ouvrage dépend de ma connaissance de la biographie de l'écrivain.Kafka se savait mourant de la tuberculose au moment de la rédaction de ce roman. L'énigme du château me semble être le questionnement pré-mortem d'un humain tourmenté par la vie mais, effrayé par la mort. Le château est un lieu impénétrable, des personnes y travaillent mais n'apportent pas de réponse satisfaisante ni concrète (...)