De la bienveillance envers soi-même
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- Nombre de pages103
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.086 kg
- Dimensions11,1 cm × 17,8 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-37168-204-7
- EAN9782371682047
- Date de parution15/02/2017
- ÉditeurUPPR Editions
Résumé
Disposition naturelle qui tend librement vers le bien, la bienveillance est aussi cette vertu politiquement hyper-correcte que notre société convoque pour justifier les injonctions les plus nauséeuses : "sois bienveillant" , "agis avec bienveillance" , "adopte un management bienveillant" , jusqu'au fameux impératif indigeste : l'incontournable "regard bienveillant" . Or, nous dit Elsa Godart, le sentiment d'humanité ne se décrète pas et le danger des injonctions, c'est que, bien souvent, on les applique sans les penser.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux "devoirs-être" nous engageant finalement à "être" vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux "devoirs-être" nous engageant finalement à "être" vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.
Disposition naturelle qui tend librement vers le bien, la bienveillance est aussi cette vertu politiquement hyper-correcte que notre société convoque pour justifier les injonctions les plus nauséeuses : "sois bienveillant" , "agis avec bienveillance" , "adopte un management bienveillant" , jusqu'au fameux impératif indigeste : l'incontournable "regard bienveillant" . Or, nous dit Elsa Godart, le sentiment d'humanité ne se décrète pas et le danger des injonctions, c'est que, bien souvent, on les applique sans les penser.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux "devoirs-être" nous engageant finalement à "être" vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.
Aussi demande-t-elle : que vaut la bienveillance quand elle est expression d'une injonction derrière laquelle il est facile de se cacher pour agir sans réfléchir ? Loin de renoncer à la bienveillance, Elsa Godart propose ici de penser l'impensé de la bienveillance, ce dernier bastion de notre humaine condition dans un monde où les valeurs ont chuté dans l'innommable. Aussi nous invite-t-elle à faire tomber le masque de notre conscience morale hypocrite et mielleuse pour agir en amitié avec les autres et avec soi-même, le renoncement aux "devoirs-être" nous engageant finalement à "être" vraiment.
La bienveillance envers soi-même devient par là le chemin d'une ouverture à soi et au monde ouverture qui prend la forme tendre d'une authentique rencontre.