Oecuménisme et philosophie. Questions philosophiques pour renouveler le dialogue
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- Nombre de pages168
- PrésentationBroché
- Poids0.29 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,5 cm × 1,5 cm
- ISBN2-84573-212-0
- EAN9782845732124
- Date de parution01/04/2004
- CollectionSagesse et cultures
- ÉditeurParole et Silence
Résumé
Il était normal qu'en un premier temps le dialogue œcuménique ait mis l'accent sur ce que les chrétiens ont en commun. Dans un second temps, devant des difficultés persistantes, on a compris qu'il fallait faire porter l'effort sur la mise en évidence de la "différence fondamentale". Cette nouvelle étape ne signifie pas une régression, mais plutôt un processus de maturation. Il s'agit de repérer les facteurs qui jusqu'ici n'ont pas suffisamment été pris en considération dans le dialogue œcuménique doctrinal. Le Père Charles Morerod fait porter son analyse sur le facteur " qui a le plus clairement été laissé de côté ", le facteur philosophique. " C'est lorsqu'il pense le moins à la philosophie que le théologien en dépend le plus, parce qu'alors il philosophe à son insu ". L'examen ne porte pas sur un problème secondaire, ou marginal ; il touche à un thème central, celui de la nature du rapport entre Dieu et l'homme. Le développement de ce thème qui est le sujet principal de l'ouvrage est précédé de l'examen d'une question préalable : celle de la nature du dialogue œcuménique. L'ouvrage du P Morerod est de première importance. Il fera date dans l'histoire du dialogue oecuménique. Cardinal Georges Cottier
Il était normal qu'en un premier temps le dialogue œcuménique ait mis l'accent sur ce que les chrétiens ont en commun. Dans un second temps, devant des difficultés persistantes, on a compris qu'il fallait faire porter l'effort sur la mise en évidence de la "différence fondamentale". Cette nouvelle étape ne signifie pas une régression, mais plutôt un processus de maturation. Il s'agit de repérer les facteurs qui jusqu'ici n'ont pas suffisamment été pris en considération dans le dialogue œcuménique doctrinal. Le Père Charles Morerod fait porter son analyse sur le facteur " qui a le plus clairement été laissé de côté ", le facteur philosophique. " C'est lorsqu'il pense le moins à la philosophie que le théologien en dépend le plus, parce qu'alors il philosophe à son insu ". L'examen ne porte pas sur un problème secondaire, ou marginal ; il touche à un thème central, celui de la nature du rapport entre Dieu et l'homme. Le développement de ce thème qui est le sujet principal de l'ouvrage est précédé de l'examen d'une question préalable : celle de la nature du dialogue œcuménique. L'ouvrage du P Morerod est de première importance. Il fera date dans l'histoire du dialogue oecuménique. Cardinal Georges Cottier