Incurable romantisme ?. La pandémie culturelle qui défie la nouvelle évangélisation
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- Nombre de pages241
- PrésentationBroché
- Poids0.37 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-88918-166-7
- EAN9782889181667
- Date de parution28/03/2013
- CollectionCommunio
- ÉditeurParole et Silence
Résumé
Le romantisme n'est pas fini : c'est une affection chronique qui affecte l'imaginaire collectif en Occident. Même persuadés que rien n'est plus comme avant, nous restons sous l'emprise des principes intellectuels, artistiques et moraux qui se sont imposés à partir d'environ 1500, où les poètes anglais remplacent le héros par le "génie" créateur de lui-même comme inspirateur et modèle. La littérature et les arts sont désormais lancés dans une perpétuelle fuite en avant, où il ne s'agit plus d'explorer la condition humaine, mais de la renouveler par le défi, comme Baudelaire l'a saisi le premier.
L'imaginaire ainsi façonné en Occident a résisté au positivisme scientiste et aux idéologies qui tentaient de rétablir des paradigmes sans mystère ni tragique. Mais la quête éperdue de sensations inédites, facilitée par le développement des techniques de production et de diffusion, a privé le verbe de sa puissance d'évocation poétique et abouti à un snobisme élitiste. D'où et comment renaîtra un peu de cette poésie dont l'homme a besoin, parce qu'elle contribue à son honneur et même à son bonheur ? Ce défi est également lancé à " l'Eglise ".
La "nouvelle" évangélisation doit en tenir compte, ne pas miser sur le romantisme moribond qui réduit la foi à une adhésion subjective et rappeler qu'elle est un a "donné" dans la dynamique de l'élection où Dieu agrège à son Peuple les nations baptisées.
L'imaginaire ainsi façonné en Occident a résisté au positivisme scientiste et aux idéologies qui tentaient de rétablir des paradigmes sans mystère ni tragique. Mais la quête éperdue de sensations inédites, facilitée par le développement des techniques de production et de diffusion, a privé le verbe de sa puissance d'évocation poétique et abouti à un snobisme élitiste. D'où et comment renaîtra un peu de cette poésie dont l'homme a besoin, parce qu'elle contribue à son honneur et même à son bonheur ? Ce défi est également lancé à " l'Eglise ".
La "nouvelle" évangélisation doit en tenir compte, ne pas miser sur le romantisme moribond qui réduit la foi à une adhésion subjective et rappeler qu'elle est un a "donné" dans la dynamique de l'élection où Dieu agrège à son Peuple les nations baptisées.
Le romantisme n'est pas fini : c'est une affection chronique qui affecte l'imaginaire collectif en Occident. Même persuadés que rien n'est plus comme avant, nous restons sous l'emprise des principes intellectuels, artistiques et moraux qui se sont imposés à partir d'environ 1500, où les poètes anglais remplacent le héros par le "génie" créateur de lui-même comme inspirateur et modèle. La littérature et les arts sont désormais lancés dans une perpétuelle fuite en avant, où il ne s'agit plus d'explorer la condition humaine, mais de la renouveler par le défi, comme Baudelaire l'a saisi le premier.
L'imaginaire ainsi façonné en Occident a résisté au positivisme scientiste et aux idéologies qui tentaient de rétablir des paradigmes sans mystère ni tragique. Mais la quête éperdue de sensations inédites, facilitée par le développement des techniques de production et de diffusion, a privé le verbe de sa puissance d'évocation poétique et abouti à un snobisme élitiste. D'où et comment renaîtra un peu de cette poésie dont l'homme a besoin, parce qu'elle contribue à son honneur et même à son bonheur ? Ce défi est également lancé à " l'Eglise ".
La "nouvelle" évangélisation doit en tenir compte, ne pas miser sur le romantisme moribond qui réduit la foi à une adhésion subjective et rappeler qu'elle est un a "donné" dans la dynamique de l'élection où Dieu agrège à son Peuple les nations baptisées.
L'imaginaire ainsi façonné en Occident a résisté au positivisme scientiste et aux idéologies qui tentaient de rétablir des paradigmes sans mystère ni tragique. Mais la quête éperdue de sensations inédites, facilitée par le développement des techniques de production et de diffusion, a privé le verbe de sa puissance d'évocation poétique et abouti à un snobisme élitiste. D'où et comment renaîtra un peu de cette poésie dont l'homme a besoin, parce qu'elle contribue à son honneur et même à son bonheur ? Ce défi est également lancé à " l'Eglise ".
La "nouvelle" évangélisation doit en tenir compte, ne pas miser sur le romantisme moribond qui réduit la foi à une adhésion subjective et rappeler qu'elle est un a "donné" dans la dynamique de l'élection où Dieu agrège à son Peuple les nations baptisées.