Histoire et théologie des relations judéo-chrétiennes : un éclairage croisé
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- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- Poids0.272 kg
- Dimensions15,2 cm × 23,5 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-88918-390-6
- EAN9782889183906
- Date de parution15/01/2015
- ÉditeurParole et Silence
- PréfacierMireille Hadas-Lebel
Résumé
Au cours du Concile Vatican II, l'Eglise, "scrutant son propre mystère", redécouvrait son lien avec le judaïsme. L'impact sur les relations judéo-catholiques fut indéniable, notamment en France, même si cela n'alla pas sans réticences de part et d'autre, et l'asymétrie entre les interlocuteurs mit longtemps à s'estomper. Mais au-delà des manifestations de bonne volonté, une question fondamentale demeure encore en suspens : le dialogue est-il possible sur le plan théologique ? L'ouvrage collectif dirigé par Olivier Rota aborde, peut-être pour la première fois dans un cadre universitaire, cette question de fond.
Il souligne qu'un préalable d'une portée considérable a déjà été accompli : la dissociation entre histoire et théologie. L'apport de la nouvelle historiographie aussi bien juive que chrétienne de la période des origines du christianisme permet désormais de dépasser les thèmes de "rupture" et "substitution" et de redécouvrir comment judaïsme et christianisme se sont construits l'un face à l'autre à partir d'une souche commune.
C'est dans cette aspiration à une fraternité retrouvée, sans prétention à une quelconque supériorité d'un côté ou de l'autre, que les participants à cette riche journée d'étude mettent leur espérance d'une révolution théologique.
Il souligne qu'un préalable d'une portée considérable a déjà été accompli : la dissociation entre histoire et théologie. L'apport de la nouvelle historiographie aussi bien juive que chrétienne de la période des origines du christianisme permet désormais de dépasser les thèmes de "rupture" et "substitution" et de redécouvrir comment judaïsme et christianisme se sont construits l'un face à l'autre à partir d'une souche commune.
C'est dans cette aspiration à une fraternité retrouvée, sans prétention à une quelconque supériorité d'un côté ou de l'autre, que les participants à cette riche journée d'étude mettent leur espérance d'une révolution théologique.
Au cours du Concile Vatican II, l'Eglise, "scrutant son propre mystère", redécouvrait son lien avec le judaïsme. L'impact sur les relations judéo-catholiques fut indéniable, notamment en France, même si cela n'alla pas sans réticences de part et d'autre, et l'asymétrie entre les interlocuteurs mit longtemps à s'estomper. Mais au-delà des manifestations de bonne volonté, une question fondamentale demeure encore en suspens : le dialogue est-il possible sur le plan théologique ? L'ouvrage collectif dirigé par Olivier Rota aborde, peut-être pour la première fois dans un cadre universitaire, cette question de fond.
Il souligne qu'un préalable d'une portée considérable a déjà été accompli : la dissociation entre histoire et théologie. L'apport de la nouvelle historiographie aussi bien juive que chrétienne de la période des origines du christianisme permet désormais de dépasser les thèmes de "rupture" et "substitution" et de redécouvrir comment judaïsme et christianisme se sont construits l'un face à l'autre à partir d'une souche commune.
C'est dans cette aspiration à une fraternité retrouvée, sans prétention à une quelconque supériorité d'un côté ou de l'autre, que les participants à cette riche journée d'étude mettent leur espérance d'une révolution théologique.
Il souligne qu'un préalable d'une portée considérable a déjà été accompli : la dissociation entre histoire et théologie. L'apport de la nouvelle historiographie aussi bien juive que chrétienne de la période des origines du christianisme permet désormais de dépasser les thèmes de "rupture" et "substitution" et de redécouvrir comment judaïsme et christianisme se sont construits l'un face à l'autre à partir d'une souche commune.
C'est dans cette aspiration à une fraternité retrouvée, sans prétention à une quelconque supériorité d'un côté ou de l'autre, que les participants à cette riche journée d'étude mettent leur espérance d'une révolution théologique.