Henri Vergès. Un chrétien dans la maison de l'Islam
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.25 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN2-84573-262-7
- EAN9782845732629
- Date de parution25/11/2004
- ÉditeurParole et Silence
- PréfacierHenri Teissier
Résumé
" Il était l'ami des moines de Tibhirine et homme profondément enraciné dans ce peuple algérien dont il percevait les richesses et les promesses ; il s'appelait Henri Vergès. C'était un petit Frère de Marie, un éducateur né qui était venu en Algérie comme on répond à un appel. Il en était à sa vingt-cinquième année de présence, ce qui lui avait valu diverses affectations. À Alger tout d'abord puis sur les hauts plateaux algériens. De nouveau à Alger, Mgr Tessier lui avait demandé de prendre la direction d'une bibliothèque sur les hauteurs de la Casba où il accueillait 1100 jeunes, garçons et filles, qui ne trouvaient pas dans leur appartement surpeuplé des conditions propices à leurs études. C'est là, un jour de mai 1994, au plus fort des fureurs homicides dont souffrait alors l'Algérie, que surgirent les fourriers de la terreur déguisés en policiers. Henri Vergès se savait menacé mais il n'avait pas renoncé. Ce n'était pas un inconscient. C'était un consentant. Un de ces êtres de foi qui voulait faire de sa vie un cinquième Évangile que tous pourraient lire à vie offerte. Une belle histoire comme Dieu sait en écrire. Dans le sang des martyrs pour commencer. Avec Henri Vergès périt une petite sœur de l'Assomption, abattue froidement elle aussi. "
" Il était l'ami des moines de Tibhirine et homme profondément enraciné dans ce peuple algérien dont il percevait les richesses et les promesses ; il s'appelait Henri Vergès. C'était un petit Frère de Marie, un éducateur né qui était venu en Algérie comme on répond à un appel. Il en était à sa vingt-cinquième année de présence, ce qui lui avait valu diverses affectations. À Alger tout d'abord puis sur les hauts plateaux algériens. De nouveau à Alger, Mgr Tessier lui avait demandé de prendre la direction d'une bibliothèque sur les hauteurs de la Casba où il accueillait 1100 jeunes, garçons et filles, qui ne trouvaient pas dans leur appartement surpeuplé des conditions propices à leurs études. C'est là, un jour de mai 1994, au plus fort des fureurs homicides dont souffrait alors l'Algérie, que surgirent les fourriers de la terreur déguisés en policiers. Henri Vergès se savait menacé mais il n'avait pas renoncé. Ce n'était pas un inconscient. C'était un consentant. Un de ces êtres de foi qui voulait faire de sa vie un cinquième Évangile que tous pourraient lire à vie offerte. Une belle histoire comme Dieu sait en écrire. Dans le sang des martyrs pour commencer. Avec Henri Vergès périt une petite sœur de l'Assomption, abattue froidement elle aussi. "