De Kaboul à Paris. Témoignage bouleversant d'un médecin franco-afghan en temps de guerre (1960-2010)
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- Nombre de pages118
- PrésentationBroché
- Poids0.215 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-940515-13-4
- EAN9782940515134
- Date de parution01/05/2014
- ÉditeurEmbrasure
Résumé
Le pays d'où je viens est une tragédie qui se nomme Afghanistan. Il est au creux du désespoir, en pleine guerre depuis plus de trente cinq ans. Le code d'honneur afghan refuse de s'accommoder de l'échec et du malheur. Même dans la détresse et face à une superpuissance - l'Empire britannique puis l'Union soviétique, et maintenant les Etats-Unis - l'Afghan garde la tête haute. Les Afghans ne sont pas des terroristes.
Ils sont victimes de terrorisme. Ma trajectoire d'Afghan, représente un demi-siècle d'une vie partagée entre la France et l'Afghanistan. Alors que j'étais médecin lieutenant-colonel chef de service durant les premières années de l'invasion soviétique et de la guerre civile (1979-1981) à l'hôpital militaire de l'armée nationale afghane à Kaboul, - qui soigne dans le plus grand secret, le Chef d'Etat, les membres de gouvernement, et le corps diplomatique de Kaboul, - mon éjection dans le tourbillon de la guerre a totalement redistribué les cartes de ma vie.
Avoir vécu la répression sous les régimes totalitaires, la route de l'exil vers la passe de Khybar, réputée pour être très dangereuse, puis le Pakistan où j'ai offert mes services aux réfugiés afghans, j'ai ensuite repris le chemin de l'espérance en 1982 en renversant les montagnes et en traversant les mers pour atteindre la France, et revoir tous les lieux, les places et les cafés que je fréquentais durant mes études (1970-1978) à Paris.
Ils sont victimes de terrorisme. Ma trajectoire d'Afghan, représente un demi-siècle d'une vie partagée entre la France et l'Afghanistan. Alors que j'étais médecin lieutenant-colonel chef de service durant les premières années de l'invasion soviétique et de la guerre civile (1979-1981) à l'hôpital militaire de l'armée nationale afghane à Kaboul, - qui soigne dans le plus grand secret, le Chef d'Etat, les membres de gouvernement, et le corps diplomatique de Kaboul, - mon éjection dans le tourbillon de la guerre a totalement redistribué les cartes de ma vie.
Avoir vécu la répression sous les régimes totalitaires, la route de l'exil vers la passe de Khybar, réputée pour être très dangereuse, puis le Pakistan où j'ai offert mes services aux réfugiés afghans, j'ai ensuite repris le chemin de l'espérance en 1982 en renversant les montagnes et en traversant les mers pour atteindre la France, et revoir tous les lieux, les places et les cafés que je fréquentais durant mes études (1970-1978) à Paris.
Le pays d'où je viens est une tragédie qui se nomme Afghanistan. Il est au creux du désespoir, en pleine guerre depuis plus de trente cinq ans. Le code d'honneur afghan refuse de s'accommoder de l'échec et du malheur. Même dans la détresse et face à une superpuissance - l'Empire britannique puis l'Union soviétique, et maintenant les Etats-Unis - l'Afghan garde la tête haute. Les Afghans ne sont pas des terroristes.
Ils sont victimes de terrorisme. Ma trajectoire d'Afghan, représente un demi-siècle d'une vie partagée entre la France et l'Afghanistan. Alors que j'étais médecin lieutenant-colonel chef de service durant les premières années de l'invasion soviétique et de la guerre civile (1979-1981) à l'hôpital militaire de l'armée nationale afghane à Kaboul, - qui soigne dans le plus grand secret, le Chef d'Etat, les membres de gouvernement, et le corps diplomatique de Kaboul, - mon éjection dans le tourbillon de la guerre a totalement redistribué les cartes de ma vie.
Avoir vécu la répression sous les régimes totalitaires, la route de l'exil vers la passe de Khybar, réputée pour être très dangereuse, puis le Pakistan où j'ai offert mes services aux réfugiés afghans, j'ai ensuite repris le chemin de l'espérance en 1982 en renversant les montagnes et en traversant les mers pour atteindre la France, et revoir tous les lieux, les places et les cafés que je fréquentais durant mes études (1970-1978) à Paris.
Ils sont victimes de terrorisme. Ma trajectoire d'Afghan, représente un demi-siècle d'une vie partagée entre la France et l'Afghanistan. Alors que j'étais médecin lieutenant-colonel chef de service durant les premières années de l'invasion soviétique et de la guerre civile (1979-1981) à l'hôpital militaire de l'armée nationale afghane à Kaboul, - qui soigne dans le plus grand secret, le Chef d'Etat, les membres de gouvernement, et le corps diplomatique de Kaboul, - mon éjection dans le tourbillon de la guerre a totalement redistribué les cartes de ma vie.
Avoir vécu la répression sous les régimes totalitaires, la route de l'exil vers la passe de Khybar, réputée pour être très dangereuse, puis le Pakistan où j'ai offert mes services aux réfugiés afghans, j'ai ensuite repris le chemin de l'espérance en 1982 en renversant les montagnes et en traversant les mers pour atteindre la France, et revoir tous les lieux, les places et les cafés que je fréquentais durant mes études (1970-1978) à Paris.