"Après un tel combat / il faut aimer / l'eau noire / sans ride où / flotte l'O froid / parfait de la lune/" Dans une langue brûlante, à la croisée de l'intime et du politique, Joyce Carol Oates interroge et explore les contradictions d'une Amérique amnésique et malade. Qu'elle apostrophe "Marion Brando en enfer", s'interroge sur les dérives passées de la science ou martèle les raisons qui mènent les femmes à un avortement, ses poèmes disent la peur de la perte, le vide intérieur, la terre boueuse de sang et les hommes ivres de pouvoir.
"Après un tel combat / il faut aimer / l'eau noire / sans ride où / flotte l'O froid / parfait de la lune/" Dans une langue brûlante, à la croisée de l'intime et du politique, Joyce Carol Oates interroge et explore les contradictions d'une Amérique amnésique et malade. Qu'elle apostrophe "Marion Brando en enfer", s'interroge sur les dérives passées de la science ou martèle les raisons qui mènent les femmes à un avortement, ses poèmes disent la peur de la perte, le vide intérieur, la terre boueuse de sang et les hommes ivres de pouvoir.