La fille du bourreau Tome 1
Céleste

Par : Céline Knidler

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  • Nombre de pages381
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.216 kg
  • Dimensions10,9 cm × 17,8 cm × 2,2 cm
  • ISBN979-10-414-1443-7
  • EAN9791041414437
  • Date de parution26/04/2024
  • CollectionLes Grands Romans
  • ÉditeurPoints

Résumé

Et si la fille d'un bourreau pouvait changer l'Histoire de France ? Et si la fille du bourreau pouvait changer l'Histoire de France ? Paris, 1649. Le carrosse de la famille royale, fuyant les révoltes dans la capitale, bascule dans la Seine. In extremis, Céleste Clercy, la fille du bourreau, sauve le jeune Louis XIV de la noyade. Par cet acte de bravoure, et malgré elle, Céleste lui révèle son plus lourd secret, provoquant une alliance inattendue.
Mais l'impensable rencontre de la fille du bourreau avec le magistrat Nicolas Fouquet bouleverse tout. Une saga éblouissante dans le Paris du XVIIe siècle aux premiers rayons du Roi-Soleil. "Un mélange d'histoire et de romance". Livre Hebdo Céline Knidler est née en 1983 à Paris. La Fille du bourreau est son troisième roman.
Et si la fille d'un bourreau pouvait changer l'Histoire de France ? Et si la fille du bourreau pouvait changer l'Histoire de France ? Paris, 1649. Le carrosse de la famille royale, fuyant les révoltes dans la capitale, bascule dans la Seine. In extremis, Céleste Clercy, la fille du bourreau, sauve le jeune Louis XIV de la noyade. Par cet acte de bravoure, et malgré elle, Céleste lui révèle son plus lourd secret, provoquant une alliance inattendue.
Mais l'impensable rencontre de la fille du bourreau avec le magistrat Nicolas Fouquet bouleverse tout. Une saga éblouissante dans le Paris du XVIIe siècle aux premiers rayons du Roi-Soleil. "Un mélange d'histoire et de romance". Livre Hebdo Céline Knidler est née en 1983 à Paris. La Fille du bourreau est son troisième roman.

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Une héroïne intrépide
La nuit du 5 au 6 janvier 1649, le carrosse royal chute dans la Seine. Le jeune Louis XIV, futur roi de France, risque la noyade. Il est alors sauvé par Céleste, La fille du bourreau. De cet événement, une complicité naît entre les deux enfants. Tous deux cachent la réalité de leur cœur. Sur les épaules de Louis, pèse son avenir. Celles de sa nouvelle amie sont écrasées par l’ostracisme qui frappe sa famille, en raison du métier de son père. Sous ses habits de garçon, Céleste ne peut être elle-même. Sa lignée est un assujettissement, sa condition féminine, un fardeau funeste. Son seul compagnon est son frère, Joachim. Leur père a conscience que « sans mère, sans amis, ils n’ont déjà pas la vie facile.» (p. 15) Plus tard, l’un d’entre eux récupérera la charge paternelle. Pourtant élevés avec amour, ils ne peuvent contrarier le destin. Dans le pays, la révolte gronde. Le Parlement conteste l’autorité royale et le pouvoir croissant du Cardinal Mazarin. Frondeurs et gardes du roi s’affrontent. Céline Knidler dépeint parfaitement le climat explosif du royaume, le déroulement des événements et les positions de chaque camp. Les batailles bloquent les approvisionnements et la famine sévit. J’ai été captivée par la force de la narration : les faits historiques sont vulgarisés et intégrés au récit. Le roi Louis XIV, alors qu’il n’est qu’un enfant, tient une place importante dans le récit. Alors que je me le représentais comme un souverain orgueilleux et autoritaire, j’ai été surprise de découvrir un être facétieux et tendre. J’ai, aussi été fascinée par la description des fonctions du bourreau. Céleste est intrépide et maligne. Avec Joachim, elle multiplie les ruses pour améliorer l’ordinaire du foyer. Mais les deux chenapans sont rattrapés par leurs actions… La jeune fille perçoit alors le poids de la dualité entre sa véritable nature et les apparences. Le travestissement de la vérité lui est de plus en plus difficile. Elle sait que son existence en dépend, mais elle formule de nouveaux rêves. Son combat intérieur est touchant. J’ai aimé l’évolution progressive de ses aspirations et de sa personnalité. Le changement est imperceptible pour ses proches, mais immense pour elle. Elle conserve son audace, mais elle la colore de sentiments nouveaux pour elle. Malheureusement, son secret entrave ses rêves. J’ai adoré cette héroïne : elle est passionnée, intelligente ; elle est déchirée entre les lois inébranlables de son époque et ses espoirs, teintés d’humanisme et de modernité. Je suis impatiente de la retrouver dans L’envolée, qui paraîtra en 2024. J’ai adoré La fille du bourreau.
La nuit du 5 au 6 janvier 1649, le carrosse royal chute dans la Seine. Le jeune Louis XIV, futur roi de France, risque la noyade. Il est alors sauvé par Céleste, La fille du bourreau. De cet événement, une complicité naît entre les deux enfants. Tous deux cachent la réalité de leur cœur. Sur les épaules de Louis, pèse son avenir. Celles de sa nouvelle amie sont écrasées par l’ostracisme qui frappe sa famille, en raison du métier de son père. Sous ses habits de garçon, Céleste ne peut être elle-même. Sa lignée est un assujettissement, sa condition féminine, un fardeau funeste. Son seul compagnon est son frère, Joachim. Leur père a conscience que « sans mère, sans amis, ils n’ont déjà pas la vie facile.» (p. 15) Plus tard, l’un d’entre eux récupérera la charge paternelle. Pourtant élevés avec amour, ils ne peuvent contrarier le destin. Dans le pays, la révolte gronde. Le Parlement conteste l’autorité royale et le pouvoir croissant du Cardinal Mazarin. Frondeurs et gardes du roi s’affrontent. Céline Knidler dépeint parfaitement le climat explosif du royaume, le déroulement des événements et les positions de chaque camp. Les batailles bloquent les approvisionnements et la famine sévit. J’ai été captivée par la force de la narration : les faits historiques sont vulgarisés et intégrés au récit. Le roi Louis XIV, alors qu’il n’est qu’un enfant, tient une place importante dans le récit. Alors que je me le représentais comme un souverain orgueilleux et autoritaire, j’ai été surprise de découvrir un être facétieux et tendre. J’ai, aussi été fascinée par la description des fonctions du bourreau. Céleste est intrépide et maligne. Avec Joachim, elle multiplie les ruses pour améliorer l’ordinaire du foyer. Mais les deux chenapans sont rattrapés par leurs actions… La jeune fille perçoit alors le poids de la dualité entre sa véritable nature et les apparences. Le travestissement de la vérité lui est de plus en plus difficile. Elle sait que son existence en dépend, mais elle formule de nouveaux rêves. Son combat intérieur est touchant. J’ai aimé l’évolution progressive de ses aspirations et de sa personnalité. Le changement est imperceptible pour ses proches, mais immense pour elle. Elle conserve son audace, mais elle la colore de sentiments nouveaux pour elle. Malheureusement, son secret entrave ses rêves. J’ai adoré cette héroïne : elle est passionnée, intelligente ; elle est déchirée entre les lois inébranlables de son époque et ses espoirs, teintés d’humanisme et de modernité. Je suis impatiente de la retrouver dans L’envolée, qui paraîtra en 2024. J’ai adoré La fille du bourreau.
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