Une nouvelle fois, Dedieu s’exprime avec brio dans cette courte parabole où l’humour féroce tutoie l’absurde.
De son style ramassé et cependant extrêmement soigné, il nous brosse le portrait d’un roi à la fois ridicule et pathétique,
assoiffé de violence, son seul désir résidant dans le fait de faire la guerre.
Son intention est étayée par un graphisme comme toujours très efficace, à la dominante de noir et blanc, renforcé néanmoins par des touches de jaune ou de rouge, relatives à la couronne du sieur, ou au sang versé par celui-ci…
La chute est, d’une certaine
façon, logique et morale, et, je le confirme, sans Dedieu, la littérature jeunesse ne serait pas aussi riche, ni pertinente et inspirée.
Dedieu...Sinon rien!
Une nouvelle fois, Dedieu s’exprime avec brio dans cette courte parabole où l’humour féroce tutoie l’absurde.
De son style ramassé et cependant extrêmement soigné, il nous brosse le portrait d’un roi à la fois ridicule et pathétique,
assoiffé de violence, son seul désir résidant dans le fait de faire la guerre.
Son intention est étayée par un graphisme comme toujours très efficace, à la dominante de noir et blanc, renforcé néanmoins par des touches de jaune ou de rouge, relatives à la couronne du sieur, ou au sang versé par celui-ci…
La chute est, d’une certaine façon, logique et morale, et, je le confirme, sans Dedieu, la littérature jeunesse ne serait pas aussi riche, ni pertinente et inspirée.