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  • Nombre de pages366
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.376 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 2,4 cm
  • ISBN979-10-226-0456-7
  • EAN9791022604567
  • Date de parution25/08/2016
  • CollectionBibliothèque Hispano-Américain
  • ÉditeurMétailié
  • TraducteurFrançois Gaudry

Résumé

Fonctionnaire à la mairie de Cuernavaca, Jesús Pastrana est un employé modèle qui aspire à des fonctions politiques pour mettre en pratique ses idéaux de légalité et de justice. Il est tellement rigoureux dans ses fonctions de contrôleur fiscal du gouvernement municipal que ses ennemis politiques l'ont baptisé "le sacristain". Malgré la corruption ambiante il a su se tenir à l'écart des factions qui utilisent le pouvoir à des fins personnelles.
Et il pense qu'il peut accéder à la mairie. Mais la ville est une poudrière dont tous les niveaux ont été infiltrés par les narcotrafiquants. La vie quotidienne est ponctuée par les échanges de coups de feu, la découverte de cadavres décapités, les cartels se disputent la place. Comment un homme disposé à défendre ses convictions jusqu'au bout peut-il se battre sur ce terrain miné ? Jesús va se retrouver dos au mur, pris entre les pouvoirs institutionnels et le crime organisé : menaces de mort, tentatives de corruption, scandales médiatiques, enlèvements, vengeances sanglantes...
Mais il découvre l'amour de sa vie, un amour interdit et scandaleux, fatal pour la réputation d'un homme politique. Avec un humour ravageur, cruel comme la réalité qu'il décrit avec un incroyable sens du suspense, Enrique Serna écrit un roman d'amour fou où la morale des apparences s'effondre devant l'ouragan de la passion.
Fonctionnaire à la mairie de Cuernavaca, Jesús Pastrana est un employé modèle qui aspire à des fonctions politiques pour mettre en pratique ses idéaux de légalité et de justice. Il est tellement rigoureux dans ses fonctions de contrôleur fiscal du gouvernement municipal que ses ennemis politiques l'ont baptisé "le sacristain". Malgré la corruption ambiante il a su se tenir à l'écart des factions qui utilisent le pouvoir à des fins personnelles.
Et il pense qu'il peut accéder à la mairie. Mais la ville est une poudrière dont tous les niveaux ont été infiltrés par les narcotrafiquants. La vie quotidienne est ponctuée par les échanges de coups de feu, la découverte de cadavres décapités, les cartels se disputent la place. Comment un homme disposé à défendre ses convictions jusqu'au bout peut-il se battre sur ce terrain miné ? Jesús va se retrouver dos au mur, pris entre les pouvoirs institutionnels et le crime organisé : menaces de mort, tentatives de corruption, scandales médiatiques, enlèvements, vengeances sanglantes...
Mais il découvre l'amour de sa vie, un amour interdit et scandaleux, fatal pour la réputation d'un homme politique. Avec un humour ravageur, cruel comme la réalité qu'il décrit avec un incroyable sens du suspense, Enrique Serna écrit un roman d'amour fou où la morale des apparences s'effondre devant l'ouragan de la passion.

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1 Coup de cœur
de nos libraires
Mathieu LartaudDecitre Grenoble
4/5
Une folie baroque contagieuse!!!
Dans la poudrière de Cuernavaca au Mexique, Jesus Pastrana, l'incoruptible mène une vie sans saveur qu'il accepte bon gré mal gré....Jusqu'au jour ou il brigue l'investiture à la mairie...Et là tout vole en éclats, il tombe follement amoureux de leslie, un travesti aussi beau qu'égocentrique, qui n'est autre que le frère jumeau du baron d'un des deux cartels locaux.... Tout en subtilité, et avec un humour noir décapant, Enrique Serna dresse le portrait sans concession d'une société mexicaine au abois, jonglant à merveille avec les registres, les tons, d'une tragi-comédie grotesque et jubilatoire à cette histoire d'amour sulfureuse à la beauté poignante. La double vie de jésus est à la fois un roman foisonnant, haut en couleur, qui sait nous tenir en haleine ainsi qu'une satire politique & sociale furieusement passionnante !!!
Dans la poudrière de Cuernavaca au Mexique, Jesus Pastrana, l'incoruptible mène une vie sans saveur qu'il accepte bon gré mal gré....Jusqu'au jour ou il brigue l'investiture à la mairie...Et là tout vole en éclats, il tombe follement amoureux de leslie, un travesti aussi beau qu'égocentrique, qui n'est autre que le frère jumeau du baron d'un des deux cartels locaux.... Tout en subtilité, et avec un humour noir décapant, Enrique Serna dresse le portrait sans concession d'une société mexicaine au abois, jonglant à merveille avec les registres, les tons, d'une tragi-comédie grotesque et jubilatoire à cette histoire d'amour sulfureuse à la beauté poignante. La double vie de jésus est à la fois un roman foisonnant, haut en couleur, qui sait nous tenir en haleine ainsi qu'une satire politique & sociale furieusement passionnante !!!
  • Mexique

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5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
RECOMMANDÉ PAR LE SITE CULTURE-CHRONIQUE
Depuis “Au dessous du volcan” de Malcolm Lowry le Mexique a pris une place particulière dans la littérature mondiale. Mais Lowry était un anglais et s'était délibérément servi de ce pays comme toile de fond tragique pour son alter ego alcoolique, le consul Geoffrey. Reste que cet épisode littéraire a longtemps pesé comme une malédiction dans le ciel de la littérature mexicaine. Le roman “La double vie de Jesús” d'Enrique Serna ne rompt pas avec cette tradition en continuant d'entretenir cette atmosphère délétère pour les hommes mais excellente pour la littérature. Son auteur n’en est pas à son coup d’essai puisque trois de ses romans ont déjà été traduits en français. Il fait partie de ces écrivains qui taillent dans la chair de ses personnages et scrute les paradoxes qui les animent, faisant ressortir toute la cruauté de certaines situations avec un humour d’une incroyable férocité tout en conservant une réelle tendresse pour son personnage principal. “La double vie de Jesús” aurait pu être simplement un roman d’amour mais le réduire à cette seule occurrence serait évidemment simpliste, ce serait compter sans le talent littéraire de Séna. Son personnage, Jesús Pastrana, est un contrôleur fiscal au dessus de tout soupçon, un incorruptible au sein d’une mairie , celle de Cuernavaca, une ville de près de 400 000 habitants, où la corruption affecte chaque couloir, chaque bureau, à tous les niveaux de la hiérarchie municipale. En cela Jesùs n’a pas volé son prénom. Quand Pastrana décide de se présenter à la mairie de la ville, comme le chevalier blanc de la vie politique locale, sa vie va prendre un cours très différent de celui auquel il aurait pu s’attendre. Entre les fonctionnaires corrompus de la mairie, les narcotrafiquants qui ont infiltré chaque quartier de la ville, un adversaire politique qui possède une aura médiatique indéniable et une histoire d’amour passionnelle qui va se nouer avec une créature qu’il ne faudrait mieux pas fréquenter quand on veut gagner une élection dans un contexte particulièrement hostile, Pastrana devra affronter les pires travers de la société mexicaine ainsi que ses propres turpitudes. Jésús va vivre un véritable chemin de croix avec, pour seul allié, cet amour fou qui le dévore. Autour de lui les tentatives de corruption se multiplient, les menaces de morts, les enlèvements, les décapitations font basculer la campagne électorale dans une ambiance crépusculaire. Roman éminemment social “La double vie de Jesús” ne constitue pas seulement un réquisitoire contre les moeurs politiques au Mexique, c’est aussi un magnifique roman, merveilleusement traduit par François Gaudry, conjuguant réalisme et lyrisme. L’écriture d’Enrique Serna nous entraîne dans une fresque haute en couleur où il parait bien difficile de distinguer le bien et le mal à mesure que le récit avance. A la fin du roman toutes les boussoles explosent mais il se pourrait bien que Jesús obtienne le droit de ressusciter… Pas certain qu’après la lecture de la “La double vie de Jesús” vous envisagiez des vacances au Mexique mais vous aurez au moins la certitude d’avoir un grand roman dans votre bibliothèque. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Depuis “Au dessous du volcan” de Malcolm Lowry le Mexique a pris une place particulière dans la littérature mondiale. Mais Lowry était un anglais et s'était délibérément servi de ce pays comme toile de fond tragique pour son alter ego alcoolique, le consul Geoffrey. Reste que cet épisode littéraire a longtemps pesé comme une malédiction dans le ciel de la littérature mexicaine. Le roman “La double vie de Jesús” d'Enrique Serna ne rompt pas avec cette tradition en continuant d'entretenir cette atmosphère délétère pour les hommes mais excellente pour la littérature. Son auteur n’en est pas à son coup d’essai puisque trois de ses romans ont déjà été traduits en français. Il fait partie de ces écrivains qui taillent dans la chair de ses personnages et scrute les paradoxes qui les animent, faisant ressortir toute la cruauté de certaines situations avec un humour d’une incroyable férocité tout en conservant une réelle tendresse pour son personnage principal. “La double vie de Jesús” aurait pu être simplement un roman d’amour mais le réduire à cette seule occurrence serait évidemment simpliste, ce serait compter sans le talent littéraire de Séna. Son personnage, Jesús Pastrana, est un contrôleur fiscal au dessus de tout soupçon, un incorruptible au sein d’une mairie , celle de Cuernavaca, une ville de près de 400 000 habitants, où la corruption affecte chaque couloir, chaque bureau, à tous les niveaux de la hiérarchie municipale. En cela Jesùs n’a pas volé son prénom. Quand Pastrana décide de se présenter à la mairie de la ville, comme le chevalier blanc de la vie politique locale, sa vie va prendre un cours très différent de celui auquel il aurait pu s’attendre. Entre les fonctionnaires corrompus de la mairie, les narcotrafiquants qui ont infiltré chaque quartier de la ville, un adversaire politique qui possède une aura médiatique indéniable et une histoire d’amour passionnelle qui va se nouer avec une créature qu’il ne faudrait mieux pas fréquenter quand on veut gagner une élection dans un contexte particulièrement hostile, Pastrana devra affronter les pires travers de la société mexicaine ainsi que ses propres turpitudes. Jésús va vivre un véritable chemin de croix avec, pour seul allié, cet amour fou qui le dévore. Autour de lui les tentatives de corruption se multiplient, les menaces de morts, les enlèvements, les décapitations font basculer la campagne électorale dans une ambiance crépusculaire. Roman éminemment social “La double vie de Jesús” ne constitue pas seulement un réquisitoire contre les moeurs politiques au Mexique, c’est aussi un magnifique roman, merveilleusement traduit par François Gaudry, conjuguant réalisme et lyrisme. L’écriture d’Enrique Serna nous entraîne dans une fresque haute en couleur où il parait bien difficile de distinguer le bien et le mal à mesure que le récit avance. A la fin du roman toutes les boussoles explosent mais il se pourrait bien que Jesús obtienne le droit de ressusciter… Pas certain qu’après la lecture de la “La double vie de Jesús” vous envisagiez des vacances au Mexique mais vous aurez au moins la certitude d’avoir un grand roman dans votre bibliothèque. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
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