La bataille de Dunkerque. 26 mai-4 juin 1940, comment l'armée française a sauvé l'Angleterre
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.168 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,8 cm × 1,3 cm
- ISBN979-10-210-4886-7
- EAN9791021048867
- Date de parution06/05/2021
- CollectionTexto
- ÉditeurTallandier
Résumé
Mai 1940. Les alliés sont pris en étau au nord de la ligne Boulogne-Sedan et contraints de se replier vers Dunkerque où 400000 hommes s'entassent dans l'espoir de s'échapper par la mer. Convaincu de la défaite, le gouvernement britannique lance l'opération Dynamo : le rembarquement des troupes débute le 26 mai 1940. 350000 combattants alliés sont évacués sous le feu ennemi. Côté anglais, c'est un incroyable succès ; côté allemand, une occasion manquée de terrasser la Grande-Bretagne dès 1940.
A partir d'archives et de témoignages, Dominique Lormier balaie les clichés et défend la thèse que c'est à la résistance acharnée de l'armée française que l'on doit l'évacuation de plus de 240000 soldats britanniques, permettant à l'Angleterre de poursuivre la guerre. Un hommage tardif, mais mérité, aux combattants français.
A partir d'archives et de témoignages, Dominique Lormier balaie les clichés et défend la thèse que c'est à la résistance acharnée de l'armée française que l'on doit l'évacuation de plus de 240000 soldats britanniques, permettant à l'Angleterre de poursuivre la guerre. Un hommage tardif, mais mérité, aux combattants français.
Mai 1940. Les alliés sont pris en étau au nord de la ligne Boulogne-Sedan et contraints de se replier vers Dunkerque où 400000 hommes s'entassent dans l'espoir de s'échapper par la mer. Convaincu de la défaite, le gouvernement britannique lance l'opération Dynamo : le rembarquement des troupes débute le 26 mai 1940. 350000 combattants alliés sont évacués sous le feu ennemi. Côté anglais, c'est un incroyable succès ; côté allemand, une occasion manquée de terrasser la Grande-Bretagne dès 1940.
A partir d'archives et de témoignages, Dominique Lormier balaie les clichés et défend la thèse que c'est à la résistance acharnée de l'armée française que l'on doit l'évacuation de plus de 240000 soldats britanniques, permettant à l'Angleterre de poursuivre la guerre. Un hommage tardif, mais mérité, aux combattants français.
A partir d'archives et de témoignages, Dominique Lormier balaie les clichés et défend la thèse que c'est à la résistance acharnée de l'armée française que l'on doit l'évacuation de plus de 240000 soldats britanniques, permettant à l'Angleterre de poursuivre la guerre. Un hommage tardif, mais mérité, aux combattants français.