Au coeur de l'enfer. Témoignage d'un sonderkomando d'Auschwitz 1944
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.19 kg
- Dimensions12,1 cm × 18,0 cm × 1,6 cm
- ISBN979-10-210-4090-8
- EAN9791021040908
- Date de parution07/11/2019
- CollectionTexto
- ÉditeurTallandier
- PréfacierPierre-Emmanuel Dauzat
- TraducteurBatia Baum
Résumé
Zalmen Gradowski appartenait à un Sonderkommando, ces déportés, juifs pour la plupart, chargés d'assurer le fonctionnement des chambres à gaz et des crématoires d'Auschwitz-Birkenau. Témoins des opérations de gazage, les membres de ces "équipes spéciales" étaient régulièrement exécutés. Seul Zalmen Gradowski raconte l'indicible. S'élève alors une voix qui s'adresse à l'humanité entière depuis le seuil de la mort, une voix qui, aux confins de l'horreur, refuse d'être réduite au silence.
Rédigé en 1944 et enfoui dans le sol à quelques pas du crématoire III, ce manuscrit livre une réflexion d'une étonnante lucidité sur la destruction systématique de la vie et du monde juif. Ne pas lire Gradowski, c'est le priver de sépulture une seconde fois.
Rédigé en 1944 et enfoui dans le sol à quelques pas du crématoire III, ce manuscrit livre une réflexion d'une étonnante lucidité sur la destruction systématique de la vie et du monde juif. Ne pas lire Gradowski, c'est le priver de sépulture une seconde fois.
Zalmen Gradowski appartenait à un Sonderkommando, ces déportés, juifs pour la plupart, chargés d'assurer le fonctionnement des chambres à gaz et des crématoires d'Auschwitz-Birkenau. Témoins des opérations de gazage, les membres de ces "équipes spéciales" étaient régulièrement exécutés. Seul Zalmen Gradowski raconte l'indicible. S'élève alors une voix qui s'adresse à l'humanité entière depuis le seuil de la mort, une voix qui, aux confins de l'horreur, refuse d'être réduite au silence.
Rédigé en 1944 et enfoui dans le sol à quelques pas du crématoire III, ce manuscrit livre une réflexion d'une étonnante lucidité sur la destruction systématique de la vie et du monde juif. Ne pas lire Gradowski, c'est le priver de sépulture une seconde fois.
Rédigé en 1944 et enfoui dans le sol à quelques pas du crématoire III, ce manuscrit livre une réflexion d'une étonnante lucidité sur la destruction systématique de la vie et du monde juif. Ne pas lire Gradowski, c'est le priver de sépulture une seconde fois.