Prix Nobel de Littérature
Mes grands contemporains
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- Nombre de pages285
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.376 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 2,2 cm
- ISBN979-10-210-2256-0
- EAN9791021022560
- Date de parution26/01/2017
- ÉditeurTallandier
- TraducteurAntoine Capet
- PréfacierFrançois Kersaudy
Résumé
Comme écrivain, Churchill est surtout connu pour ses magnifiques Mémoires des deux guerres mondiales. Mais dans l'entre-deux-guerres, les journaux et revues s'arrachaient ses articles, fréquemment repris ensuite sous forme de recueils. Ses Grands contemporains proposent une série de vignettes écrites d'une plume alerte, parfois au vitriol, souvent pleines d'humour, et toujours empreintes de ces tournures propres à Churchill qui ont fait et font toujours de lui un auteur à succès.
La présente sélection retient naturellement les grands Britanniques qu'il a côtoyés, dans le monde littéraire (Bernard Shaw, H.G.
Wells), militaire (Haig), diplomatique (Lawrence d'Arabie) ou politique (Georges V, Édouard VIII/duc de Windsor). Elle fait cependant la part belle aux étrangers. Sa charge contre Trotski, qu'il n'a jamais rencontré mais sans cesse combattu ; son portrait tout en nuances du Kaiser déchu, qui l'avait invité avant la guerre ; les réflexions sur le mime où le conduit son admiration de son ami Charlie Chaplin, n'ont rien perdu de leur actualité.
Par ailleurs, son numéro d'équilibriste quand il traite du « caporal Hitler » devenu tout-puissant chancelier d'Allemagne a acquis un intérêt accru avec le recul dont nous bénéficions. Enfin, la lucidité de son analyse des deux France, celle de Clemenceau à gauche, et celle de Foch à droite, reste d'une étonnante pertinence.
Wells), militaire (Haig), diplomatique (Lawrence d'Arabie) ou politique (Georges V, Édouard VIII/duc de Windsor). Elle fait cependant la part belle aux étrangers. Sa charge contre Trotski, qu'il n'a jamais rencontré mais sans cesse combattu ; son portrait tout en nuances du Kaiser déchu, qui l'avait invité avant la guerre ; les réflexions sur le mime où le conduit son admiration de son ami Charlie Chaplin, n'ont rien perdu de leur actualité.
Par ailleurs, son numéro d'équilibriste quand il traite du « caporal Hitler » devenu tout-puissant chancelier d'Allemagne a acquis un intérêt accru avec le recul dont nous bénéficions. Enfin, la lucidité de son analyse des deux France, celle de Clemenceau à gauche, et celle de Foch à droite, reste d'une étonnante pertinence.
Comme écrivain, Churchill est surtout connu pour ses magnifiques Mémoires des deux guerres mondiales. Mais dans l'entre-deux-guerres, les journaux et revues s'arrachaient ses articles, fréquemment repris ensuite sous forme de recueils. Ses Grands contemporains proposent une série de vignettes écrites d'une plume alerte, parfois au vitriol, souvent pleines d'humour, et toujours empreintes de ces tournures propres à Churchill qui ont fait et font toujours de lui un auteur à succès.
La présente sélection retient naturellement les grands Britanniques qu'il a côtoyés, dans le monde littéraire (Bernard Shaw, H.G.
Wells), militaire (Haig), diplomatique (Lawrence d'Arabie) ou politique (Georges V, Édouard VIII/duc de Windsor). Elle fait cependant la part belle aux étrangers. Sa charge contre Trotski, qu'il n'a jamais rencontré mais sans cesse combattu ; son portrait tout en nuances du Kaiser déchu, qui l'avait invité avant la guerre ; les réflexions sur le mime où le conduit son admiration de son ami Charlie Chaplin, n'ont rien perdu de leur actualité.
Par ailleurs, son numéro d'équilibriste quand il traite du « caporal Hitler » devenu tout-puissant chancelier d'Allemagne a acquis un intérêt accru avec le recul dont nous bénéficions. Enfin, la lucidité de son analyse des deux France, celle de Clemenceau à gauche, et celle de Foch à droite, reste d'une étonnante pertinence.
Wells), militaire (Haig), diplomatique (Lawrence d'Arabie) ou politique (Georges V, Édouard VIII/duc de Windsor). Elle fait cependant la part belle aux étrangers. Sa charge contre Trotski, qu'il n'a jamais rencontré mais sans cesse combattu ; son portrait tout en nuances du Kaiser déchu, qui l'avait invité avant la guerre ; les réflexions sur le mime où le conduit son admiration de son ami Charlie Chaplin, n'ont rien perdu de leur actualité.
Par ailleurs, son numéro d'équilibriste quand il traite du « caporal Hitler » devenu tout-puissant chancelier d'Allemagne a acquis un intérêt accru avec le recul dont nous bénéficions. Enfin, la lucidité de son analyse des deux France, celle de Clemenceau à gauche, et celle de Foch à droite, reste d'une étonnante pertinence.