Jean XXIII. Un pape inattendu

Par : Yves Chiron

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  • Nombre de pages459
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.599 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 3,5 cm
  • ISBN979-10-210-0738-3
  • EAN9791021007383
  • Date de parution27/04/2017
  • ÉditeurTallandier

Résumé

Le court pontificat de Jean XXIII (1958-1963) a bouleversé l'histoire de l'Eglise catholique. Sa mort, le 3 juin 1963, fut suivie d'un concert unanime d'éloges. Même le dirigeant soviétique Khrouchtchev adressa au Vatican un télégramme assurant qu'il garderait "un bon souvenir" de ce pape qui a oeuvré "au renforcement de la paix". Il est resté aussi comme le pape qui a ouvert en 1962 le concile Vatican II, "l'événement ecclésial le plus important du XXe siècle" dira un de ses successeurs, Benoît XVI.
Son procès de béatification et de canonisation a renouvelé la connaissance qu'on pouvait avoir du "pape au sourire". Parallèlement, ont été connus les Carnets qu'il a tenus tout au long de sa vie (10 gros volumes, inédits en français). Cette masse de notes personnelles, qui couvre les années 1905-1963, est importante pour appréhender et mieux comprendre cet homme d'Eglise qui fut successivement séminariste, prêtre, aumônier militaire, professeur de séminaire, visiteur apostolique en Bulgarie, délégué apostolique en Turquie pendant la Seconde Guerre mondiale, nonce à Paris dans les heures difficiles de la Libération et de l'épuration, patriarche de Venise, pape enfin.
Jean XXIII appartient à cette génération qui jusque dans les années 1920 voyageait à dos d'âne et en carriole, qui aura connu les débuts de l'automobile, puis a commencé à utiliser l'avion pour ses déplacements. C'est aussi cette génération qui aura connu les deux guerres mondiales, vu la naissance du cinéma, de la radio, des satellites et des missions dans l'espace. Dans ce monde en mouvement, Jean XXIII aura été un grand spirituel en même temps qu'un homme d'Eglise ouvert au monde.
Le court pontificat de Jean XXIII (1958-1963) a bouleversé l'histoire de l'Eglise catholique. Sa mort, le 3 juin 1963, fut suivie d'un concert unanime d'éloges. Même le dirigeant soviétique Khrouchtchev adressa au Vatican un télégramme assurant qu'il garderait "un bon souvenir" de ce pape qui a oeuvré "au renforcement de la paix". Il est resté aussi comme le pape qui a ouvert en 1962 le concile Vatican II, "l'événement ecclésial le plus important du XXe siècle" dira un de ses successeurs, Benoît XVI.
Son procès de béatification et de canonisation a renouvelé la connaissance qu'on pouvait avoir du "pape au sourire". Parallèlement, ont été connus les Carnets qu'il a tenus tout au long de sa vie (10 gros volumes, inédits en français). Cette masse de notes personnelles, qui couvre les années 1905-1963, est importante pour appréhender et mieux comprendre cet homme d'Eglise qui fut successivement séminariste, prêtre, aumônier militaire, professeur de séminaire, visiteur apostolique en Bulgarie, délégué apostolique en Turquie pendant la Seconde Guerre mondiale, nonce à Paris dans les heures difficiles de la Libération et de l'épuration, patriarche de Venise, pape enfin.
Jean XXIII appartient à cette génération qui jusque dans les années 1920 voyageait à dos d'âne et en carriole, qui aura connu les débuts de l'automobile, puis a commencé à utiliser l'avion pour ses déplacements. C'est aussi cette génération qui aura connu les deux guerres mondiales, vu la naissance du cinéma, de la radio, des satellites et des missions dans l'espace. Dans ce monde en mouvement, Jean XXIII aura été un grand spirituel en même temps qu'un homme d'Eglise ouvert au monde.