La mort du lieutenant Péguy. 5 septembre 1914
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages270
- PrésentationBroché
- Poids0.352 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN979-10-210-0431-3
- EAN9791021004313
- Date de parution09/01/2014
- ÉditeurTallandier
Résumé
"Tirez, tirez, nom de Dieu !" crie le lieutenant Charles Péguy à ses hommes cloués dans les betteraves par le terrible feu allemand : une balle en plein front le fait taire devant Villeroy, le 5 septembre 1914, à la veille du "miracle" de la Marne. Jean-Pierre Rioux revient sur le mobilisé en uniforme qui fait ses adieux aux siens et à ses amis du 2 au 4 août dans Paris pavoisé. Il détaille les cinq semaines au front, de Lorraine en "pays de France", face à l'invasion et aux premiers massacres.
Il suit à la trace le poète en pantalon rouge, le réserviste de quarante ans qui a voulu rester d'active, le patriote et le chrétien qui pressent la barbarie qui menace l'Europe. Au fil des pages, on découvre un Péguy inconnu, teigneux, atypique, parti vaillant, apaisé, et qui est tombé, il le disait lui-même, en "soldat de la République, pour le désarmement général, pour la dernière des guerres".
Ecrite d'une plume alerte et sûre, cette biographie, puisée aux meilleures sources, restitue un portrait tout en sensibilité d'un Péguy inclassable.
Il suit à la trace le poète en pantalon rouge, le réserviste de quarante ans qui a voulu rester d'active, le patriote et le chrétien qui pressent la barbarie qui menace l'Europe. Au fil des pages, on découvre un Péguy inconnu, teigneux, atypique, parti vaillant, apaisé, et qui est tombé, il le disait lui-même, en "soldat de la République, pour le désarmement général, pour la dernière des guerres".
Ecrite d'une plume alerte et sûre, cette biographie, puisée aux meilleures sources, restitue un portrait tout en sensibilité d'un Péguy inclassable.
"Tirez, tirez, nom de Dieu !" crie le lieutenant Charles Péguy à ses hommes cloués dans les betteraves par le terrible feu allemand : une balle en plein front le fait taire devant Villeroy, le 5 septembre 1914, à la veille du "miracle" de la Marne. Jean-Pierre Rioux revient sur le mobilisé en uniforme qui fait ses adieux aux siens et à ses amis du 2 au 4 août dans Paris pavoisé. Il détaille les cinq semaines au front, de Lorraine en "pays de France", face à l'invasion et aux premiers massacres.
Il suit à la trace le poète en pantalon rouge, le réserviste de quarante ans qui a voulu rester d'active, le patriote et le chrétien qui pressent la barbarie qui menace l'Europe. Au fil des pages, on découvre un Péguy inconnu, teigneux, atypique, parti vaillant, apaisé, et qui est tombé, il le disait lui-même, en "soldat de la République, pour le désarmement général, pour la dernière des guerres".
Ecrite d'une plume alerte et sûre, cette biographie, puisée aux meilleures sources, restitue un portrait tout en sensibilité d'un Péguy inclassable.
Il suit à la trace le poète en pantalon rouge, le réserviste de quarante ans qui a voulu rester d'active, le patriote et le chrétien qui pressent la barbarie qui menace l'Europe. Au fil des pages, on découvre un Péguy inconnu, teigneux, atypique, parti vaillant, apaisé, et qui est tombé, il le disait lui-même, en "soldat de la République, pour le désarmement général, pour la dernière des guerres".
Ecrite d'une plume alerte et sûre, cette biographie, puisée aux meilleures sources, restitue un portrait tout en sensibilité d'un Péguy inclassable.