Versailles, côté jardins. Splendeurs et misères, de Louis XIV à la Révolution
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- Nombre de pages266
- PrésentationBroché
- Poids0.368 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,5 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-84734-771-5
- EAN9782847347715
- Date de parution01/05/2011
- ÉditeurTallandier
- PréfacierPatricia Bouchenot-Déchin
Résumé
Versailles et ses jardins symbolisent le faste et la puissance royale. Dans Derrière la façade : vivre
au château de Versailles au XVIIIe siècle (Perrin, 2008), William Ritchey Newton, grand spécialiste
du Versailles du XVIIIe siècle, avait fait découvrir aux lecteurs ce qui se cachait derrière l’or, les
miroirs et le marbre : ce labyrinthe de 226 appartements où un bon millier de personnes devaient
trouver un lit, se nourrir, se laver et se chauffer. Il s’attaque aujourd’hui aux dessous et aux anecdotes des jardins du Château. Il livre une chronique étonnante et vivante, évoquant tour à tour les jardiniers, les fontainiers, les gardes suisses et autres corps de métiers, les amusements que proposaient à ses visiteurs les jardins, leur évolution, etc. On apprend ainsi que les jardins n’étaient pas réservés à la famille royale et aux courtisans, ils étaient publics ; que l’accès aux bosquets fut limité car devenus de véritables lieux de débauche ; qu’il n’y avait d’ailleurs que deux garde-bosquets pour cet immense territoire. Au fil des pages et de courts chapitres où les petites histoires abondent, Newton nous livre de façon très rigoureuse et très amusante le côté « jardin » de Versailles.
Versailles et ses jardins symbolisent le faste et la puissance royale. Dans Derrière la façade : vivre
au château de Versailles au XVIIIe siècle (Perrin, 2008), William Ritchey Newton, grand spécialiste
du Versailles du XVIIIe siècle, avait fait découvrir aux lecteurs ce qui se cachait derrière l’or, les
miroirs et le marbre : ce labyrinthe de 226 appartements où un bon millier de personnes devaient
trouver un lit, se nourrir, se laver et se chauffer. Il s’attaque aujourd’hui aux dessous et aux anecdotes des jardins du Château. Il livre une chronique étonnante et vivante, évoquant tour à tour les jardiniers, les fontainiers, les gardes suisses et autres corps de métiers, les amusements que proposaient à ses visiteurs les jardins, leur évolution, etc. On apprend ainsi que les jardins n’étaient pas réservés à la famille royale et aux courtisans, ils étaient publics ; que l’accès aux bosquets fut limité car devenus de véritables lieux de débauche ; qu’il n’y avait d’ailleurs que deux garde-bosquets pour cet immense territoire. Au fil des pages et de courts chapitres où les petites histoires abondent, Newton nous livre de façon très rigoureuse et très amusante le côté « jardin » de Versailles.