En Provence, le temps d'un été tout s'embrase...
Des saisons à travailler, récolter, des lavandes aux oliviers, des hommes et des femmes, "abricots du rebut", "vilains petits fruits tout piqué ", baladent leur existence, en marge, de boulot en boulot . De ce labeur...Des corps et des âmes en errance, s'usent et s’abîment, des vies se brûlent d'amour et de désir, et l'ivresse d'un soir, de tous les soirs, semble le seul remède, la seule fuite à cette existence sans boussole, violente, mais à l'humanité si criante..
Et au milieu...Rosa, Mounia, deux femmes, lumineuses, tout en contrastes, si différentes, porté par ce feu intérieur, incandescent, cet indicible besoin de liberté et d'espérance, qui les traverse, tel une urgence difficile à contenir.
De cette écriture si viscérale, intime et charnelle ou la poésie se fait rugueuse, le rythme urgent et acéré, Catherine poulain signe, après le Grand Marin, un second roman au souffle étourdissant, qui brûle d'une intensité tragique diablement fiévreuse !!!
On s'émeut, on s'accroche à cette humanité saisonnière vacillante, à ces désirs cognés de violence...ces paysages lacérés d'un soleil éblouissant...
Le Coeur blanc est Un Grand livre...Beau et terriblement bouleversant !!!
En Provence, le temps d'un été tout s'embrase...
Des saisons à travailler, récolter, des lavandes aux oliviers, des hommes et des femmes, "abricots du rebut", "vilains petits fruits tout piqué ", baladent leur existence, en marge, de boulot en boulot . De ce labeur...Des corps et des âmes en errance, s'usent et s’abîment, des vies se brûlent d'amour et de désir, et l'ivresse d'un soir, de tous les soirs, semble le seul remède, la seule fuite à cette existence sans boussole, violente, mais à l'humanité si criante..
Et au milieu...Rosa, Mounia, deux femmes, lumineuses, tout en contrastes, si différentes, porté par ce feu intérieur, incandescent, cet indicible besoin de liberté et d'espérance, qui les traverse, tel une urgence difficile à contenir.
De cette écriture si viscérale, intime et charnelle ou la poésie se fait rugueuse, le rythme urgent et acéré, Catherine poulain signe, après le Grand Marin, un second roman au souffle étourdissant, qui brûle d'une intensité tragique diablement fiévreuse !!!
On s'émeut, on s'accroche à cette humanité saisonnière vacillante, à ces désirs cognés de violence...ces paysages lacérés d'un soleil éblouissant...
Le Coeur blanc est Un Grand livre...Beau et terriblement bouleversant !!!