Price de Tesich, est, comme Karoo, un roman éponyme, mettant en scène un jeune homme aux prémisses de sa vie d'adulte.
La fin de ses études, le temps d'un été où les jours s'évaporent, va faire naître chez lui ces interrogations : où aller ? Que faire ? Qui être ?
Comme son père (qui lit le monde en cruciverbiste) dont il veut à tout prix s'éloigner, David Price va chercher à répondre à ces questions en tombant amoureux, avec un désir d'amour absolu qui le pousse à interpréter le réel.
Ce roman s'enfonce dans la psyché par strates, avant tout centré sur les personnages, leurs enfermements singuliers en eux-même et en leurs ressentis. Il s'instaure peu à peu entre eux une communication partielle, brisée, pleine de non-dits, de double sens, qui contamine la lecture même, comme une transe.
Price, c'est un livre visionnaire sur le destin. Pas le destin dont on est maître, que l'on prend à pleines mains, mais celui, familial, insidieux, où les mêmes schémas et tragédies se subissent et se répètent.
Price de Tesich, est, comme Karoo, un roman éponyme, mettant en scène un jeune homme aux prémisses de sa vie d'adulte.
La fin de ses études, le temps d'un été où les jours s'évaporent, va faire naître chez lui ces interrogations : où aller ? Que faire ? Qui être ?
Comme son père (qui lit le monde en cruciverbiste) dont il veut à tout prix s'éloigner, David Price va chercher à répondre à ces questions en tombant amoureux, avec un désir d'amour absolu qui le pousse à interpréter le réel.
Ce roman s'enfonce dans la psyché par strates, avant tout centré sur les personnages, leurs enfermements singuliers en eux-même et en leurs ressentis. Il s'instaure peu à peu entre eux une communication partielle, brisée, pleine de non-dits, de double sens, qui contamine la lecture même, comme une transe.
Price, c'est un livre visionnaire sur le destin. Pas le destin dont on est maître, que l'on prend à pleines mains, mais celui, familial, insidieux, où les mêmes schémas et tragédies se subissent et se répètent.