La traversée des catastrophes. Philosophie pour le meilleur et pour le pire
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- Nombre de pages343
- PrésentationBroché
- Poids0.204 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7578-3663-7
- EAN9782757836637
- Date de parution24/10/2013
- CollectionPoints. Essais
- ÉditeurPoints
Résumé
Comment survivre à la vie ? Car la vie finit mal, se passe mal aussi parfois, avec ses ruptures, chagrins, deuils, maladies, fêlures, et avec la mort. Comment traverser ces catastrophes ? Avec l’aide de la foi, qui donne sens à ce qui n’est que souffrance ? Mais qu’en est-il de l’athée ? S’il veut être cohérent, il ne doit pas chercher à donner un sens à ces souffrances, à leur trouver une justification : il ne peut faire fond que sur l’absurdité de la vie.
Quelle fécondité trouver aux vies abîmées ? Comment penser la mort et la douleur ? Comme ce qui est étranger à la vie, comme ce qui ne la concerne pas ; sans pour autant faire comme si cela n’était rien. Il faudrait donc tenir ensemble la réalité terrifiante du malheur et la valeur absolue de la vie, qui seule importe. Un essai de philosophie athée rigoureuse, qui pose la question essentielle : à quoi bon vivre ?
Quelle fécondité trouver aux vies abîmées ? Comment penser la mort et la douleur ? Comme ce qui est étranger à la vie, comme ce qui ne la concerne pas ; sans pour autant faire comme si cela n’était rien. Il faudrait donc tenir ensemble la réalité terrifiante du malheur et la valeur absolue de la vie, qui seule importe. Un essai de philosophie athée rigoureuse, qui pose la question essentielle : à quoi bon vivre ?
Comment survivre à la vie ? Car la vie finit mal, se passe mal aussi parfois, avec ses ruptures, chagrins, deuils, maladies, fêlures, et avec la mort. Comment traverser ces catastrophes ? Avec l’aide de la foi, qui donne sens à ce qui n’est que souffrance ? Mais qu’en est-il de l’athée ? S’il veut être cohérent, il ne doit pas chercher à donner un sens à ces souffrances, à leur trouver une justification : il ne peut faire fond que sur l’absurdité de la vie.
Quelle fécondité trouver aux vies abîmées ? Comment penser la mort et la douleur ? Comme ce qui est étranger à la vie, comme ce qui ne la concerne pas ; sans pour autant faire comme si cela n’était rien. Il faudrait donc tenir ensemble la réalité terrifiante du malheur et la valeur absolue de la vie, qui seule importe. Un essai de philosophie athée rigoureuse, qui pose la question essentielle : à quoi bon vivre ?
Quelle fécondité trouver aux vies abîmées ? Comment penser la mort et la douleur ? Comme ce qui est étranger à la vie, comme ce qui ne la concerne pas ; sans pour autant faire comme si cela n’était rien. Il faudrait donc tenir ensemble la réalité terrifiante du malheur et la valeur absolue de la vie, qui seule importe. Un essai de philosophie athée rigoureuse, qui pose la question essentielle : à quoi bon vivre ?
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