Dès le premier chapitre, dès les premières pages, c’est le mot viril qui me vient à la bouche pour qualifier ce livre. D’emblée, nous voilà catapultée sur le ring avec George dans le rôle du cogneur. L’ambiance, l’écriture, tout est brut, rugueux, âpre. L’univers est masculin ; pas de place pour les femmes dans ce livre…celle du bordel mise à part. Les deux premiers tiers du roman verront s’alterner les époques et les personnages.
De nos jours, C’est George, dit le mur, petit flic sur la fin, boxeur amateur par ailleurs que nous apprenons à connaitre. Non content de cogner, ou de se faire cogner, il se fait quelques billets en exécutant quelques contrats. Jusqu’au jour où….
En 1958, nous sommes en Algérie, Vareni échoue dans un centre de renseignements où l’on ne mégote pas sur la torture qu’il refuse. Deux ans…. Deux ans qu’il lui faudra faire !!! Rachid, le kabyle, lui est prisonnier. On y retrouve les « cocos », les salauds
A ce stade, c’est un peu la confusion, on ne sait pas trop comment l’auteur va s’en sortir.
Nous retrouvons, le mur, aux souvenirs perdus, Rachid le kabyle, et le marin…. Chacun en route vers Marseille qui pour se retrouver, ou se venger.
Si j’ai aimé le côté viril des débuts, le style percutant, si son côté glauque, et malsain ne m’a pas plus rebutée que cela, il a manqué sur la longueur une tension que j’attendais plus soutenue. C’est finalement en spectatrice lointaine que j’ai suivi tout cela, sans empathie , ni antipathie particulière. L’auteur a des qualités littéraires indéniables. Cette partie d’histoire de France, je l’avoue, ne me passionne guère, et ce depuis toujours. Est-ce la raison pour laquelle je suis restée relativement insensible ? Une forme de roman noir qui ne me convient pas ?
Dès le premier chapitre, dès les premières pages, c’est le mot viril qui me vient à la bouche pour qualifier ce livre. D’emblée, nous voilà catapultée sur le ring avec George dans le rôle du cogneur. L’ambiance, l’écriture, tout est brut, rugueux, âpre. L’univers est masculin ; pas de place pour les femmes dans ce livre…celle du bordel mise à part. Les deux premiers tiers du roman verront s’alterner les époques et les personnages.
De nos jours, C’est George, dit le mur, petit flic sur la fin, boxeur amateur par ailleurs que nous apprenons à connaitre. Non content de cogner, ou de se faire cogner, il se fait quelques billets en exécutant quelques contrats. Jusqu’au jour où….
En 1958, nous sommes en Algérie, Vareni échoue dans un centre de renseignements où l’on ne mégote pas sur la torture qu’il refuse. Deux ans…. Deux ans qu’il lui faudra faire !!! Rachid, le kabyle, lui est prisonnier. On y retrouve les « cocos », les salauds
A ce stade, c’est un peu la confusion, on ne sait pas trop comment l’auteur va s’en sortir.
Nous retrouvons, le mur, aux souvenirs perdus, Rachid le kabyle, et le marin…. Chacun en route vers Marseille qui pour se retrouver, ou se venger.
Si j’ai aimé le côté viril des débuts, le style percutant, si son côté glauque, et malsain ne m’a pas plus rebutée que cela, il a manqué sur la longueur une tension que j’attendais plus soutenue. C’est finalement en spectatrice lointaine que j’ai suivi tout cela, sans empathie , ni antipathie particulière. L’auteur a des qualités littéraires indéniables. Cette partie d’histoire de France, je l’avoue, ne me passionne guère, et ce depuis toujours. Est-ce la raison pour laquelle je suis restée relativement insensible ? Une forme de roman noir qui ne me convient pas ?