C’est dans un style clair, qu’Agnès Desarthe nous parle de la douleur de la mort, du manque.
Tout comme dans « mangez-moi », c’est un personnage avec un lourd passé ressenti comme une faute originelle, un personnage entre deux eaux qui semble se laisser porter par la vague. Jérôme ne sait pas exprimer ses sentiments ni même s’exprimer tout court malgré son métier d’agent immobilier. Un homme maladroit mais si séduisant aux dires de Vilno Smith une cliente anglaise, pardon, écossaise, tombée sous le charme.
La description des paysages m’a ramené à un autre auteur de l’est : Philippe Claudel
Agnès Desarthe nous sert des paraboles : l’enfant des bois, le prénom de Jérôme, Rosy, plantureux substitut maternel. L’inspecteur Cousinet, révélateur, lui dévoilera son passé pour mieux le faire renaître à la vie.
J’ai beaucoup aimé ce bouquin et je le relirai avec plaisir. Je pense que je vais l’inscrire comme coup de cœur
C’est dans un style clair, qu’Agnès Desarthe nous parle de la douleur de la mort, du manque.
Tout comme dans « mangez-moi », c’est un personnage avec un lourd passé ressenti comme une faute originelle, un personnage entre deux eaux qui semble se laisser porter par la vague. Jérôme ne sait pas exprimer ses sentiments ni même s’exprimer tout court malgré son métier d’agent immobilier. Un homme maladroit mais si séduisant aux dires de Vilno Smith une cliente anglaise, pardon, écossaise, tombée sous le charme.
La description des paysages m’a ramené à un autre auteur de l’est : Philippe Claudel
Agnès Desarthe nous sert des paraboles : l’enfant des bois, le prénom de Jérôme, Rosy, plantureux substitut maternel. L’inspecteur Cousinet, révélateur, lui dévoilera son passé pour mieux le faire renaître à la vie.
J’ai beaucoup aimé ce bouquin et je le relirai avec plaisir. Je pense que je vais l’inscrire comme coup de cœur