Manifeste de l'Eveil. Le Soûtra de l'Estrade de Houei-neng (638-713)
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- Nombre de pages288
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.168 kg
- Dimensions10,7 cm × 17,9 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-7578-2300-2
- EAN9782757823002
- Date de parution21/04/2011
- CollectionPoints. Sagesses
- ÉditeurPoints
Résumé
Le Soûtra de l’Estrade de Houei-neng (638-713) est le texte fondateur du Tch’an du Sud, école
bouddhiste de l’illumination subite. Il s’agit d’un texte bref, simple, humain, provocateur et décisif :
le mode d’emploi de l’ouverture infinie reconnue par l’homme comme son essence et son site
originaires. Dans ce parfait manifeste de l’Eveil, compilé par son disciple Fai-hai, le Sixième Patriarche Houeineng balaie en quelques mots les extrêmes tant de la phraséologie canonique que du silence obstiné des ignorants.
Car l’essentiel est de retrouver son Éveil originaire en voyant l’essence, c’est-à-dire de percevoir et devenir le fond de l’apparence, l’essence de tout et de chaque chose ; d’accéder à l’absolue absence d’être en soi, à l’insubstantialité du monde et du moi, en un mot, à la connaissance directe de la vacuité, Prajñaparamita.
Car l’essentiel est de retrouver son Éveil originaire en voyant l’essence, c’est-à-dire de percevoir et devenir le fond de l’apparence, l’essence de tout et de chaque chose ; d’accéder à l’absolue absence d’être en soi, à l’insubstantialité du monde et du moi, en un mot, à la connaissance directe de la vacuité, Prajñaparamita.
Le Soûtra de l’Estrade de Houei-neng (638-713) est le texte fondateur du Tch’an du Sud, école
bouddhiste de l’illumination subite. Il s’agit d’un texte bref, simple, humain, provocateur et décisif :
le mode d’emploi de l’ouverture infinie reconnue par l’homme comme son essence et son site
originaires. Dans ce parfait manifeste de l’Eveil, compilé par son disciple Fai-hai, le Sixième Patriarche Houeineng balaie en quelques mots les extrêmes tant de la phraséologie canonique que du silence obstiné des ignorants.
Car l’essentiel est de retrouver son Éveil originaire en voyant l’essence, c’est-à-dire de percevoir et devenir le fond de l’apparence, l’essence de tout et de chaque chose ; d’accéder à l’absolue absence d’être en soi, à l’insubstantialité du monde et du moi, en un mot, à la connaissance directe de la vacuité, Prajñaparamita.
Car l’essentiel est de retrouver son Éveil originaire en voyant l’essence, c’est-à-dire de percevoir et devenir le fond de l’apparence, l’essence de tout et de chaque chose ; d’accéder à l’absolue absence d’être en soi, à l’insubstantialité du monde et du moi, en un mot, à la connaissance directe de la vacuité, Prajñaparamita.