Mémoires de Fléchier sur les Grands-Jours d'Auvergne (1665)
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- Nombre de pages368
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.195 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-7152-3564-9
- EAN9782715235649
- Date de parution30/10/2014
- CollectionLe Temps retrouvé
- ÉditeurMercure de France
- AnnotateurYves-Marie Bercé
Résumé
A l'hiver 1665, une commission juridique extraordinaire venue de Paris se transporte à Clermont. Il s'agit aux lendemains de la Fronde de rétablir l'ordre dans une région écartée et d'y affirmer l'autorité du pouvoir central. Un jeune abbé, réputé parmi les beaux esprits de Paris, se trouve par hasard faire partie de l'escorte des magistrats. C'est Esprit Fléchier (1632-1710), futur évêque de Nîmes.
Le journal où il consigne les travaux de la cour des Grands-Jours d'Auvergne aurait pu être un catalogue sinistre de crimes et de malheurs, mais la fantaisie de Fléchier l'a transformé en un recueil d'anecdotes malicieuses et pittoresques. Dans ce témoignage exceptionnel, le portrait d'une province lointaine contraste avec la description d'un tribunal souverain qui prétend purger le pays de ses criminels invétérés.
Le ton badin et précieux que Fléchier emploie pour rendre compte des épisodes les plus sordides confère à ce journal une double résonance : c'est à la fois un document littéraire original et l'illustration d'un moment majeur de l'histoire des institutions et de la société française au XVIIe siècle.
Le journal où il consigne les travaux de la cour des Grands-Jours d'Auvergne aurait pu être un catalogue sinistre de crimes et de malheurs, mais la fantaisie de Fléchier l'a transformé en un recueil d'anecdotes malicieuses et pittoresques. Dans ce témoignage exceptionnel, le portrait d'une province lointaine contraste avec la description d'un tribunal souverain qui prétend purger le pays de ses criminels invétérés.
Le ton badin et précieux que Fléchier emploie pour rendre compte des épisodes les plus sordides confère à ce journal une double résonance : c'est à la fois un document littéraire original et l'illustration d'un moment majeur de l'histoire des institutions et de la société française au XVIIe siècle.
A l'hiver 1665, une commission juridique extraordinaire venue de Paris se transporte à Clermont. Il s'agit aux lendemains de la Fronde de rétablir l'ordre dans une région écartée et d'y affirmer l'autorité du pouvoir central. Un jeune abbé, réputé parmi les beaux esprits de Paris, se trouve par hasard faire partie de l'escorte des magistrats. C'est Esprit Fléchier (1632-1710), futur évêque de Nîmes.
Le journal où il consigne les travaux de la cour des Grands-Jours d'Auvergne aurait pu être un catalogue sinistre de crimes et de malheurs, mais la fantaisie de Fléchier l'a transformé en un recueil d'anecdotes malicieuses et pittoresques. Dans ce témoignage exceptionnel, le portrait d'une province lointaine contraste avec la description d'un tribunal souverain qui prétend purger le pays de ses criminels invétérés.
Le ton badin et précieux que Fléchier emploie pour rendre compte des épisodes les plus sordides confère à ce journal une double résonance : c'est à la fois un document littéraire original et l'illustration d'un moment majeur de l'histoire des institutions et de la société française au XVIIe siècle.
Le journal où il consigne les travaux de la cour des Grands-Jours d'Auvergne aurait pu être un catalogue sinistre de crimes et de malheurs, mais la fantaisie de Fléchier l'a transformé en un recueil d'anecdotes malicieuses et pittoresques. Dans ce témoignage exceptionnel, le portrait d'une province lointaine contraste avec la description d'un tribunal souverain qui prétend purger le pays de ses criminels invétérés.
Le ton badin et précieux que Fléchier emploie pour rendre compte des épisodes les plus sordides confère à ce journal une double résonance : c'est à la fois un document littéraire original et l'illustration d'un moment majeur de l'histoire des institutions et de la société française au XVIIe siècle.