Mémoires

Par : Barras

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  • Nombre de pages512
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.284 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-7152-2947-1
  • EAN9782715229471
  • Date de parution28/01/2010
  • CollectionLe Temps retrouvé
  • ÉditeurMercure de France

Résumé

Le nom d'un seul être symbolise rarement une époque. C'est pourtant le cas de Barras : il demeure l'homme du Directoire, régime sans grande autorité, succédant à la Terreur et dont la liberté de moeurs a été jugée sévèrement. Il passe surtout pour l'amant de Joséphine de Beauharnais qu'il a jetée dans les bras de Bonaparte, dont il a assuré la carrière avant que celui-ci ne l'évince du pouvoir. Aventurier, jouisseur corrompu, vivant dans un luxe effréné, cet aristocrate provençal rallié à la Révolution s'impose comme l'un de ceux qui mirent fin au pouvoir de Robespierre et permirent à la République de survivre quatre ans encore, au long d'une sorte de principat exercé au milieu des orages, avant l'établissement du Consulat et de l'Empire.
Proche de la jeune génération romantique lorsqu'il se mit à écrire ses Mémoires, il prit conscience de l'intérêt romanesque de ses souvenirs : sa jeunesse aventureuse, ses relations avec Mme de La Motte dans l'affaire du Collier, sa visite chez Robespierre au printemps 1794, sa découverte horrifiée de l'enfant du Temple, le récit détaillé du 9 Thermidor, ses rencontres avec Mme de Staël, Talleyrand, Fouché...
Le nom d'un seul être symbolise rarement une époque. C'est pourtant le cas de Barras : il demeure l'homme du Directoire, régime sans grande autorité, succédant à la Terreur et dont la liberté de moeurs a été jugée sévèrement. Il passe surtout pour l'amant de Joséphine de Beauharnais qu'il a jetée dans les bras de Bonaparte, dont il a assuré la carrière avant que celui-ci ne l'évince du pouvoir. Aventurier, jouisseur corrompu, vivant dans un luxe effréné, cet aristocrate provençal rallié à la Révolution s'impose comme l'un de ceux qui mirent fin au pouvoir de Robespierre et permirent à la République de survivre quatre ans encore, au long d'une sorte de principat exercé au milieu des orages, avant l'établissement du Consulat et de l'Empire.
Proche de la jeune génération romantique lorsqu'il se mit à écrire ses Mémoires, il prit conscience de l'intérêt romanesque de ses souvenirs : sa jeunesse aventureuse, ses relations avec Mme de La Motte dans l'affaire du Collier, sa visite chez Robespierre au printemps 1794, sa découverte horrifiée de l'enfant du Temple, le récit détaillé du 9 Thermidor, ses rencontres avec Mme de Staël, Talleyrand, Fouché...