Mémoires de Elizabeth Craven. Princesse de Berkley
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- Nombre de pages617
- PrésentationBroché
- Poids0.31 kg
- Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-7152-2875-7
- EAN9782715228757
- Date de parution16/10/2008
- CollectionLe Temps retrouvé
- ÉditeurMercure de France
- AnnotateurJean-Pierre Guicciardi
Résumé
Élizabeth Berkeley, née en 1750, près de Londres, était la plus jeune fille du comte de Berkeley. Très tôt, elle voyagea en France, elle connut de précoces succès. En 1767, elle épousa Guillaume, comte de Craven ; elle en eut sept enfants. Élizabeth retourna en France, parcourut l'Italie et l'Autriche... Elle savait observer et accumula des notes qu'elle devait utiliser plus tard. En 1781, séparée de son mari, elle se remit à voyager : la Crimée, la Grèce, la Turquie, la Russie, le Portugal et l'Espagne...
Plus tard, compromise par sa liaison avec le comte de Guines, ambassadeur de France à Londres, elle faillit être enfermée. À la mort de son second mari, en 1806, le margrave Christian, Élizabeth voyagea à nouveau, après une dernière grande passion, pour Tilly, cette fois ; et mourut à Naples en 1828, après avoir consacré ses vingt dernières années à la littérature. Mémoires mondains, certes, mais aussi mémoires de femme, ceux d'Élizabeth Craven, princesse de Berkeley, rejoignent des préoccupations très modernes sur l'indépendance et la liberté.
Toutes ces réflexions se croisent avec la peinture d'un être aventureux, aventurier, et la description d'un monde disparu qui nous fascine encore.
Plus tard, compromise par sa liaison avec le comte de Guines, ambassadeur de France à Londres, elle faillit être enfermée. À la mort de son second mari, en 1806, le margrave Christian, Élizabeth voyagea à nouveau, après une dernière grande passion, pour Tilly, cette fois ; et mourut à Naples en 1828, après avoir consacré ses vingt dernières années à la littérature. Mémoires mondains, certes, mais aussi mémoires de femme, ceux d'Élizabeth Craven, princesse de Berkeley, rejoignent des préoccupations très modernes sur l'indépendance et la liberté.
Toutes ces réflexions se croisent avec la peinture d'un être aventureux, aventurier, et la description d'un monde disparu qui nous fascine encore.
Élizabeth Berkeley, née en 1750, près de Londres, était la plus jeune fille du comte de Berkeley. Très tôt, elle voyagea en France, elle connut de précoces succès. En 1767, elle épousa Guillaume, comte de Craven ; elle en eut sept enfants. Élizabeth retourna en France, parcourut l'Italie et l'Autriche... Elle savait observer et accumula des notes qu'elle devait utiliser plus tard. En 1781, séparée de son mari, elle se remit à voyager : la Crimée, la Grèce, la Turquie, la Russie, le Portugal et l'Espagne...
Plus tard, compromise par sa liaison avec le comte de Guines, ambassadeur de France à Londres, elle faillit être enfermée. À la mort de son second mari, en 1806, le margrave Christian, Élizabeth voyagea à nouveau, après une dernière grande passion, pour Tilly, cette fois ; et mourut à Naples en 1828, après avoir consacré ses vingt dernières années à la littérature. Mémoires mondains, certes, mais aussi mémoires de femme, ceux d'Élizabeth Craven, princesse de Berkeley, rejoignent des préoccupations très modernes sur l'indépendance et la liberté.
Toutes ces réflexions se croisent avec la peinture d'un être aventureux, aventurier, et la description d'un monde disparu qui nous fascine encore.
Plus tard, compromise par sa liaison avec le comte de Guines, ambassadeur de France à Londres, elle faillit être enfermée. À la mort de son second mari, en 1806, le margrave Christian, Élizabeth voyagea à nouveau, après une dernière grande passion, pour Tilly, cette fois ; et mourut à Naples en 1828, après avoir consacré ses vingt dernières années à la littérature. Mémoires mondains, certes, mais aussi mémoires de femme, ceux d'Élizabeth Craven, princesse de Berkeley, rejoignent des préoccupations très modernes sur l'indépendance et la liberté.
Toutes ces réflexions se croisent avec la peinture d'un être aventureux, aventurier, et la description d'un monde disparu qui nous fascine encore.