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  • Nombre de pages269
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.365 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-7144-7335-6
  • EAN9782714473356
  • Date de parution17/03/2016
  • ÉditeurBelfond

Résumé

En 1810 la Seine avait atteint lors de la grande crue de Paris son niveau maximal : 8.62 mètres sur l'échelle hydrométrique du pont d'Austerlitz. Aujourd'hui, la pluie tombe depuis trois jours dans la capitale. Les trois premiers jours les habitants de la grande ville ont râlé. Et puis, le soir du quatrième jour, l'alimentation électrique a été coupée. La plupart des arrondissements ont alors connu un black-out total faisant souffler un vent de panique sans précédent dans la population.
Le métro a été fermé. L'ensemble du vaste réseau sous-terrain des transports publics s'étant retrouvé noyé par des hectolitres d'eau sombre et glacée. Lorsque les premiers immeubles se sont effondrés et que la grande vague de boue a déferlé sur la ville, une véritable hystérie collective s'est emparée des parisiens et les pires exactions ont été commises. Au nom de la survie… La peur, puis la violence ont déferlé sur la ville.
Paris est dévastée et la plupart des habitants, du moins ceux qui ont la chance d'avoir encore un toit, se terrent chez eux en attendant que cette pluie démentielle cesse enfin… Sous le pont d'Austerlitz l'eau a atteint son record : 10.50. Un an plus tard, on sait que Paris ne sera plus jamais la même. Pour François Mallarmé qui a tout perdu dans cette catastrophe, sa femme et son enfant, la vie n'est qu'un long cauchemar.
Il continue tant bien que mal à faire son boulot de flic dans une ville où plus rien n'a de sens. Jusqu'au jour où une affaire de meurtres sordides le ramène à son cauchemar, au cœur même du Louvre,  dans ce musée qui pour le monde entier était le symbole de ce qui fut la plus belle ville du monde, et où même la Joconde a disparu….
En 1810 la Seine avait atteint lors de la grande crue de Paris son niveau maximal : 8.62 mètres sur l'échelle hydrométrique du pont d'Austerlitz. Aujourd'hui, la pluie tombe depuis trois jours dans la capitale. Les trois premiers jours les habitants de la grande ville ont râlé. Et puis, le soir du quatrième jour, l'alimentation électrique a été coupée. La plupart des arrondissements ont alors connu un black-out total faisant souffler un vent de panique sans précédent dans la population.
Le métro a été fermé. L'ensemble du vaste réseau sous-terrain des transports publics s'étant retrouvé noyé par des hectolitres d'eau sombre et glacée. Lorsque les premiers immeubles se sont effondrés et que la grande vague de boue a déferlé sur la ville, une véritable hystérie collective s'est emparée des parisiens et les pires exactions ont été commises. Au nom de la survie… La peur, puis la violence ont déferlé sur la ville.
Paris est dévastée et la plupart des habitants, du moins ceux qui ont la chance d'avoir encore un toit, se terrent chez eux en attendant que cette pluie démentielle cesse enfin… Sous le pont d'Austerlitz l'eau a atteint son record : 10.50. Un an plus tard, on sait que Paris ne sera plus jamais la même. Pour François Mallarmé qui a tout perdu dans cette catastrophe, sa femme et son enfant, la vie n'est qu'un long cauchemar.
Il continue tant bien que mal à faire son boulot de flic dans une ville où plus rien n'a de sens. Jusqu'au jour où une affaire de meurtres sordides le ramène à son cauchemar, au cœur même du Louvre,  dans ce musée qui pour le monde entier était le symbole de ce qui fut la plus belle ville du monde, et où même la Joconde a disparu….

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Je n'ai pas aimé, malheureusement...
Un roman écrit à quatre mains, François Xavier Dillard et Anne-Laure Béatrix nous proposent un thriller complexe sous fond de roman post apocalyptique. Si comme je le dis plus haut, les premiers chapitres m'ont beaucoup plu, je n'ai en revanche pas aimé la suite. Je n'ai pas trouvé d'intérêt particulier à l'histoire que j'ai trouvée trop axée sur les complots politiques. Le récit est néanmoins rythmé et agréable à lire puisque je suis allée au bout de cette lecture, c'est vraiment dommage que l'histoire n'ait pas su m'intercepter davantage. ►Ma chronique complète : http://www.leslecturesdelily.com/2017/01/austerlitz-105-ecrit-par-anne-laure.html Mon blog : Les lectures de Lily (www.leslecturesdelily.com)
Un roman écrit à quatre mains, François Xavier Dillard et Anne-Laure Béatrix nous proposent un thriller complexe sous fond de roman post apocalyptique. Si comme je le dis plus haut, les premiers chapitres m'ont beaucoup plu, je n'ai en revanche pas aimé la suite. Je n'ai pas trouvé d'intérêt particulier à l'histoire que j'ai trouvée trop axée sur les complots politiques. Le récit est néanmoins rythmé et agréable à lire puisque je suis allée au bout de cette lecture, c'est vraiment dommage que l'histoire n'ait pas su m'intercepter davantage. ►Ma chronique complète : http://www.leslecturesdelily.com/2017/01/austerlitz-105-ecrit-par-anne-laure.html Mon blog : Les lectures de Lily (www.leslecturesdelily.com)
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Voilà un roman à quatre mains que se partage un maître du polar et une spécialiste de l’histoire de l’art en poste au musée du Louvre. Non, non ce n’est pas une plaisanterie et en plus le résultat est très réussi. Tout aurait pu partir du célèbre mot du président Mac Mahon visitant en 1875 des villes et des villages dévastés par la crue de la Garonne, et qui, en panne d'imagination avait lâché le célèbre: «Que d'eau, que d'eau…» Le préfet du département lui avait alors répondu: «Et encore, Monsieur le Président, vous n'en voyez que le dessus…!» Mais nos deux écrivains ont choisi de faire déborder la Seine. La catastrophe à lieu de nos jours et le fleuve va monter de 10,5 mètres sous le pont d’Austerlitz. En 1910 la crue de la Seine n’avait pas dépassé les 9 mètres, un mètre et demi de plus ce sont des millions d’hectolitres supplémentaires se répandent dans la totalité de la cité noyant les égouts et le métro et empêchant toute circulation dans la ville. Le scénario qui va progressivement se développer dans la capitale est au delà des pires hypothèse. Certains vont profiter de la panique générale et de la désorganisation des services de l’Etat et de la municipalité pour mettre la ville à sac. Toutes sortes d’exactions, de trafics et de chantages politiques vont alors ajouter au chaos général. Les musées voient certaines de leurs plus belles œuvres disparaitrent. Un flic, François Mallarmé, voit sa vie basculer quand il perd sa femme et sa fille lors de la submersion d’une rame de métro. Ecrasé par le chagrin il va devoir cependant faire face à une affaire de meurtres troublants et son enquête l’amènera dans l’un des lieux les plus emblématiques de la capitale : le musée du Louvres. L’atmosphère crépusculaire de cette catastrophe est rendue avec un réalisme tout à fait effrayant. On lit se roman les pieds dans l’eau, on patauge et on manque d’être emporté à tout moment. La collaboration entre les deux auteurs fonctionne à plein et le monde dans lequel il nous plonge est totalement apocalyptique. Heureusement que la police veille… On rêve d’une adaptation cinématographique. ARCHIBALD PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
Voilà un roman à quatre mains que se partage un maître du polar et une spécialiste de l’histoire de l’art en poste au musée du Louvre. Non, non ce n’est pas une plaisanterie et en plus le résultat est très réussi. Tout aurait pu partir du célèbre mot du président Mac Mahon visitant en 1875 des villes et des villages dévastés par la crue de la Garonne, et qui, en panne d'imagination avait lâché le célèbre: «Que d'eau, que d'eau…» Le préfet du département lui avait alors répondu: «Et encore, Monsieur le Président, vous n'en voyez que le dessus…!» Mais nos deux écrivains ont choisi de faire déborder la Seine. La catastrophe à lieu de nos jours et le fleuve va monter de 10,5 mètres sous le pont d’Austerlitz. En 1910 la crue de la Seine n’avait pas dépassé les 9 mètres, un mètre et demi de plus ce sont des millions d’hectolitres supplémentaires se répandent dans la totalité de la cité noyant les égouts et le métro et empêchant toute circulation dans la ville. Le scénario qui va progressivement se développer dans la capitale est au delà des pires hypothèse. Certains vont profiter de la panique générale et de la désorganisation des services de l’Etat et de la municipalité pour mettre la ville à sac. Toutes sortes d’exactions, de trafics et de chantages politiques vont alors ajouter au chaos général. Les musées voient certaines de leurs plus belles œuvres disparaitrent. Un flic, François Mallarmé, voit sa vie basculer quand il perd sa femme et sa fille lors de la submersion d’une rame de métro. Ecrasé par le chagrin il va devoir cependant faire face à une affaire de meurtres troublants et son enquête l’amènera dans l’un des lieux les plus emblématiques de la capitale : le musée du Louvres. L’atmosphère crépusculaire de cette catastrophe est rendue avec un réalisme tout à fait effrayant. On lit se roman les pieds dans l’eau, on patauge et on manque d’être emporté à tout moment. La collaboration entre les deux auteurs fonctionne à plein et le monde dans lequel il nous plonge est totalement apocalyptique. Heureusement que la police veille… On rêve d’une adaptation cinématographique. ARCHIBALD PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE)
Austerlitz 10.5
3/5
Anne-Laure Béatrix, François-Xavier Dillard
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