Michael Cunningham, né le 6 novembre 1952 aux Etats-Unis, est l'auteur de plusieurs best-sellers. Il étudie la littérature anglaise qu'il enseigne dans différents instituts, et parallèlement se lance dans l'écriture. Il écrit d'abord des nouvelles pour des revues puis des romans. Son premier roman, "La Maison du bout du monde" (1990) paraît en France en 1992 Il est suivi par "De chair et de sang" (1995) pour lequel il reçoit le Whiting Writers' Award ; ce titre sera édité en France en 2000. En 1999 il reçoit le prix Pulitzer pour "Les Heures", qui paraîtra en France en 2003. Depuis il a écrit "Le livre des jours" (2005 et 2006 en France) et "Crépuscule" en 2012. Dans tous ses romans transparaissent son amour pour la ville de New-York où il réside depuis de nombreuses années et sa difficulté à concilier liberté individuelle et vie familiale.
Snow Queen
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- Nombre de pages278
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.4 kg
- Dimensions14,1 cm × 22,5 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-7144-5862-9
- EAN9782714458629
- Date de parution19/03/2015
- ÉditeurBelfond
- TraducteurAnne Damour
Résumé
Avec toute la grâce et la subtilité qu'un lui connaît, Michael Cunningham nous offre une nouvelle plongée dans le New York des âmes perdues, l'histoire poignante d'hommes et de femmes en quête de transcendance, à travers l'amour et l'art. Un soir de novembre, alors qu'en pleine déprime amoureuse il traverse Central Park, Barren est témoin d'une lumière mysterieuse, un moment fugace de beauté pure, un instant suspendu, comme si quelqu'un, quelque part, le regardait avec bienveillance.
Une lumière qui lui évoque son frère, Tyler, cocaïnomane, musicien talentueux qui n'a jamais percé ; Beth, la fiancée de Tyler, qui se meurt d'un cancer ; Liz, leur amie commune, leur presque mère. Une lumière qui illumine aussi ses propres t'ailles, ses ambitions ratées, ses amours déçues. Une lumière comme une manifestation du sublime. Comme l'amour qui, malgré tout, unit ces êtres blessés. Ou le rappel que, si le temps passe et les rêves aussi, reste la tendresse.
Une lumière qui lui évoque son frère, Tyler, cocaïnomane, musicien talentueux qui n'a jamais percé ; Beth, la fiancée de Tyler, qui se meurt d'un cancer ; Liz, leur amie commune, leur presque mère. Une lumière qui illumine aussi ses propres t'ailles, ses ambitions ratées, ses amours déçues. Une lumière comme une manifestation du sublime. Comme l'amour qui, malgré tout, unit ces êtres blessés. Ou le rappel que, si le temps passe et les rêves aussi, reste la tendresse.
Avec toute la grâce et la subtilité qu'un lui connaît, Michael Cunningham nous offre une nouvelle plongée dans le New York des âmes perdues, l'histoire poignante d'hommes et de femmes en quête de transcendance, à travers l'amour et l'art. Un soir de novembre, alors qu'en pleine déprime amoureuse il traverse Central Park, Barren est témoin d'une lumière mysterieuse, un moment fugace de beauté pure, un instant suspendu, comme si quelqu'un, quelque part, le regardait avec bienveillance.
Une lumière qui lui évoque son frère, Tyler, cocaïnomane, musicien talentueux qui n'a jamais percé ; Beth, la fiancée de Tyler, qui se meurt d'un cancer ; Liz, leur amie commune, leur presque mère. Une lumière qui illumine aussi ses propres t'ailles, ses ambitions ratées, ses amours déçues. Une lumière comme une manifestation du sublime. Comme l'amour qui, malgré tout, unit ces êtres blessés. Ou le rappel que, si le temps passe et les rêves aussi, reste la tendresse.
Une lumière qui lui évoque son frère, Tyler, cocaïnomane, musicien talentueux qui n'a jamais percé ; Beth, la fiancée de Tyler, qui se meurt d'un cancer ; Liz, leur amie commune, leur presque mère. Une lumière qui illumine aussi ses propres t'ailles, ses ambitions ratées, ses amours déçues. Une lumière comme une manifestation du sublime. Comme l'amour qui, malgré tout, unit ces êtres blessés. Ou le rappel que, si le temps passe et les rêves aussi, reste la tendresse.