Aristote, mon père

Par : Annabel Lyon

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  • Nombre de pages236
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.338 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-7103-6985-1
  • EAN9782710369851
  • Date de parution28/08/2014
  • ÉditeurQuai Voltaire
  • TraducteurDavid Fauquemberg

Résumé

Pythias, la fille d'Aristote, a été élevée à l'égal des hommes. Elle fait figure d'exception à Athènes, puis en Macédoine où elle est contrainte de s'exiler : c'est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoque les collègues de son père par ses remarques pointues, et se rêve en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d'Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Phytias seule, en décalage avec cette société qui nie l'existence d'une conscience féminine, et l'oblige à se confronter à la réalité d'un monde dont elle s'était toujours tenue écartée.
Après Le Juste Milieu, qui évoquait la relation entre le jeune Alexandre le Grand et son précepteur Aristote, Annabel Lyon renouvelle le défi ambitieux d'écrire l'Antiquité d'une plume actuelle et spontanée. Aristote, mon père exhale le soufre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie.
Pythias, la fille d'Aristote, a été élevée à l'égal des hommes. Elle fait figure d'exception à Athènes, puis en Macédoine où elle est contrainte de s'exiler : c'est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoque les collègues de son père par ses remarques pointues, et se rêve en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d'Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Phytias seule, en décalage avec cette société qui nie l'existence d'une conscience féminine, et l'oblige à se confronter à la réalité d'un monde dont elle s'était toujours tenue écartée.
Après Le Juste Milieu, qui évoquait la relation entre le jeune Alexandre le Grand et son précepteur Aristote, Annabel Lyon renouvelle le défi ambitieux d'écrire l'Antiquité d'une plume actuelle et spontanée. Aristote, mon père exhale le soufre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 4 notes dont 2 avis lecteurs
3/5
Philosophiquement drôle, Drôlement philosophe
"Je lui demande : - Me sentirai-je seule, tu crois ? Il sourit. - Bien sûr. Cela t'effraie ? - Toi, tu te sens seul ? - Bien sûr. - Mais tu nous as, nous. - C'est vrai. J'ai Herpyllis pour quand j'ai froid, et Nico pour quand je veux rire. Et je t'ai toi, Pytho. J'attends pendant qu'il réfléchit. - Pour quand tu veux te souvenir de maman, dis-je, afin de nous ménager lui et moi. Il a l'air surpris. - Pour ça aussi, répond-il. Mais j'allais dire : je t'ai, ma Pytho, pour quand je veux penser à l'avenir." Annabel Lyon - Aristote, mon père - échange entre Aristote et sa fille Pythias
"Je lui demande : - Me sentirai-je seule, tu crois ? Il sourit. - Bien sûr. Cela t'effraie ? - Toi, tu te sens seul ? - Bien sûr. - Mais tu nous as, nous. - C'est vrai. J'ai Herpyllis pour quand j'ai froid, et Nico pour quand je veux rire. Et je t'ai toi, Pytho. J'attends pendant qu'il réfléchit. - Pour quand tu veux te souvenir de maman, dis-je, afin de nous ménager lui et moi. Il a l'air surpris. - Pour ça aussi, répond-il. Mais j'allais dire : je t'ai, ma Pytho, pour quand je veux penser à l'avenir." Annabel Lyon - Aristote, mon père - échange entre Aristote et sa fille Pythias
  • Drôle
  • Emouvant
Mouais...
Malheureusement je n'ai pas été tout à fait conquise par ce titre. Je n'ai pas lu le premier livre de Annabelle Lyon, qui traitait également de la vie d'Aristote, mais cela ne m'a pas posé de problème lors de ma lecture. Ce qui m'a posé problème c'est le style de l'auteur, certes fluide, mais justement un peu trop, pas assez travaillé. Et puis certaines répétitions volontaires laissent une sensation de style surfait... Ensuite je n'ai pas accroché à l'histoire, je n'ai pas ressenti d'empathie pour les personnages, bref, ce livre m'a laissé de marbre. Je n'ai pas détesté pour autant, mais j'avais l'impression d'être spectatrice de ma propre lecture, je pense que je suis passée à côté, tout simplement, peut-être le contexte n'a-t-il pas facilité les choses. J'ai en effet étudié longtemps la Grèce antique, alors j'étais parfois plus attentive aux références historiques qu'à l'histoire elle-même. Je peux d'ailleurs dire que ces références furent très agréables à lire, bien intégrées dans le livre, mais elles ont, à mon sens, pris le dessus sur le fond. Cela s'explique peut-être par mon attachement à l'histoire de la Grèce antique. E, bref, je dirais que j'ai été quelque peu déçue, et qu'il a manqué ce petit plus qui aurait surement fait la différence.
Malheureusement je n'ai pas été tout à fait conquise par ce titre. Je n'ai pas lu le premier livre de Annabelle Lyon, qui traitait également de la vie d'Aristote, mais cela ne m'a pas posé de problème lors de ma lecture. Ce qui m'a posé problème c'est le style de l'auteur, certes fluide, mais justement un peu trop, pas assez travaillé. Et puis certaines répétitions volontaires laissent une sensation de style surfait... Ensuite je n'ai pas accroché à l'histoire, je n'ai pas ressenti d'empathie pour les personnages, bref, ce livre m'a laissé de marbre. Je n'ai pas détesté pour autant, mais j'avais l'impression d'être spectatrice de ma propre lecture, je pense que je suis passée à côté, tout simplement, peut-être le contexte n'a-t-il pas facilité les choses. J'ai en effet étudié longtemps la Grèce antique, alors j'étais parfois plus attentive aux références historiques qu'à l'histoire elle-même. Je peux d'ailleurs dire que ces références furent très agréables à lire, bien intégrées dans le livre, mais elles ont, à mon sens, pris le dessus sur le fond. Cela s'explique peut-être par mon attachement à l'histoire de la Grèce antique. E, bref, je dirais que j'ai été quelque peu déçue, et qu'il a manqué ce petit plus qui aurait surement fait la différence.
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