André Dhôtel est né en 1900 à Attigny dans les Ardennes. Enfant, il fait souvent l'école buissonnière et parcourt la campagne, comme le jeune héros de son futur ouvrage, "L'enfant qui disait n'importe quoi". Ses fréquentes escapades ne l'empêcheront pourtant pas de passer une licence de philosophie. En 1924, il part pour Athènes, où il demeurera quatre ans. Trois de ses livres, dont "L'Ile de la croix d'or", sont empreints de la lumière si particulière de la Grèce. En 1955, il obtient le prix Femina pour "Le pays où l'on n'arrive jamais" puis le grand prix de l'Académie française en 1974, et enfin le grand prix national des Lettres en 1975. André Dhôtel est mort à Paris en 1991.
Le club des cancres
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- Nombre de pages106
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.11 kg
- Dimensions11,5 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-7103-2781-3
- EAN9782710327813
- Date de parution08/11/2007
- ÉditeurTable Ronde (La)
- PostfacierJean-Claude Pirotte
Résumé
Pour les adultes, la drôle de guerre a commencé. Pour les cancres d'un collège de Normandie, proche de la mer, c'est l'heure de la fugue. Il s'agit en somme de se découvrir un destin au bout d'une pérégrination qui va les mener jusque dans les monts du Jura, à la recherche d'une parente improbable. Dans ce court et lumineux récit, il y a tout Dhôtel : paresse éblouie, goût de l'aventure, confiance et insoumission.
Et cette ironique leçon de morale : " Il y a un dieu pour les cancres. "
Et cette ironique leçon de morale : " Il y a un dieu pour les cancres. "
Pour les adultes, la drôle de guerre a commencé. Pour les cancres d'un collège de Normandie, proche de la mer, c'est l'heure de la fugue. Il s'agit en somme de se découvrir un destin au bout d'une pérégrination qui va les mener jusque dans les monts du Jura, à la recherche d'une parente improbable. Dans ce court et lumineux récit, il y a tout Dhôtel : paresse éblouie, goût de l'aventure, confiance et insoumission.
Et cette ironique leçon de morale : " Il y a un dieu pour les cancres. "
Et cette ironique leçon de morale : " Il y a un dieu pour les cancres. "