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- Nombre de pages542
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.43 kg
- Dimensions13,2 cm × 18,6 cm × 3,8 cm
- ISBN978-2-265-11445-6
- EAN9782265114456
- Date de parution11/02/2016
- ÉditeurFleuve Noir
Résumé
Dans le bocal de verre, à la place des cornichons, des doigts humains. Et sur l'étiquette cette mention : "Pervers au vinaigre. Tu ne toucheras pas aux enfants avec des pensées sales". En ce mois d'octobre finissant, les semaines se suivent et ne se ressemblent pas sous le ciel de la capitale. L'artiste contemporain Ivo est soufflé par une explosion en pleine performance. Quant à l'objet de son étude, La Joconde, elle s'est purement et simplement volatilisée.
Tout porte à croire que ces méfaits sont signés Ockham, personnage dérangeant qui se met en scène dans des vidéos délirantes, entièrement habillé de latex rouge. Mais que recherche-t-il au juste ? L'argent ? Le geste politique ? Flatter son ego surdimensionné ? Une nouvelle occasion pour Mallock de se ronger les méninges, avec cet acharnement qui fait de lui plus qu'un commissaire : un véritable extralucide auquel aucun tordu ne résiste...
Tout porte à croire que ces méfaits sont signés Ockham, personnage dérangeant qui se met en scène dans des vidéos délirantes, entièrement habillé de latex rouge. Mais que recherche-t-il au juste ? L'argent ? Le geste politique ? Flatter son ego surdimensionné ? Une nouvelle occasion pour Mallock de se ronger les méninges, avec cet acharnement qui fait de lui plus qu'un commissaire : un véritable extralucide auquel aucun tordu ne résiste...
Dans le bocal de verre, à la place des cornichons, des doigts humains. Et sur l'étiquette cette mention : "Pervers au vinaigre. Tu ne toucheras pas aux enfants avec des pensées sales". En ce mois d'octobre finissant, les semaines se suivent et ne se ressemblent pas sous le ciel de la capitale. L'artiste contemporain Ivo est soufflé par une explosion en pleine performance. Quant à l'objet de son étude, La Joconde, elle s'est purement et simplement volatilisée.
Tout porte à croire que ces méfaits sont signés Ockham, personnage dérangeant qui se met en scène dans des vidéos délirantes, entièrement habillé de latex rouge. Mais que recherche-t-il au juste ? L'argent ? Le geste politique ? Flatter son ego surdimensionné ? Une nouvelle occasion pour Mallock de se ronger les méninges, avec cet acharnement qui fait de lui plus qu'un commissaire : un véritable extralucide auquel aucun tordu ne résiste...
Tout porte à croire que ces méfaits sont signés Ockham, personnage dérangeant qui se met en scène dans des vidéos délirantes, entièrement habillé de latex rouge. Mais que recherche-t-il au juste ? L'argent ? Le geste politique ? Flatter son ego surdimensionné ? Une nouvelle occasion pour Mallock de se ronger les méninges, avec cet acharnement qui fait de lui plus qu'un commissaire : un véritable extralucide auquel aucun tordu ne résiste...
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
4.5/5

4/5
“ Superbe et addictif! ”
http://alombredunoyer.com/2016/02/11/le-principe-de-parcimonie-mallock/
Le principe de parcimonie est le tome 5 des Chroniques Barbares de Mallock. C’est avec ce dernier ouvrage que je découvre l’auteur. Je mets à l’aise rapidement les futurs lecteurs : je n’ai éprouvé aucune difficulté de compréhension ni d’immersion dans l’équipe du commissaire Amédée Mallock. Il est donc tout à fait possible de démarrer avec cette enquête sans connaitre le passé de l’équipe, même si à l’instar de toute série, je suppose que lire les enquêtes dans l’ordre chronologique apporte un plus.
« Il en découle le fameux principe du « rasoir d’Ockham », reprit le grand Kabyle en levant la paume de sa main droite pour signifier qu’il n’en-avait-pas-fini-silence-dans-la-classe ! On retrouve ce raisonnement chez tous les designers : « les sis best » ou « less is more ». Ce que certains ont appelé le « principe de parcimonie », la recherche permanente de la synthèse la plus… « légère » »
Avec la réception de cet opus démarrent les interrogations mais surtout l’envie de savoir : que signifie ce titre ? Que représente cette couverture, soit dit en passant qui est magnifique ?
En parcourant rapidement le fichier epub, je constate que le thriller est long (430 pages numériques, 540 dans la version papier) et découpé en 3 livres. Les chapitres sont courts dans l’ensemble, horodatés et chronologiques pour la plupart. Les dialogues, fréquents, alternent avec les descriptions, ce qui augure un rythme assez rapide de lecture. Le décor ainsi détaillé, entrons dans le vif du sujet.
« L’homme aime avant tout les certitudes. La vérité ou la découverte, le ciel, la mer, l’amour même, ne viennent que bien après. Les abîmes du doute ne sont pas faits pour lui. Bien au contraire. Ce sont ses certitudes, petites croyances ou grandes convictions, qui l’empêchent de trembler le matin et lui permettent, à la nuit venue, de s’allonger et de fermer enfin les yeux. »
Cela démarre fort avec le vol de la Joconde, au nez et à la barbe de tous les systèmes de sécurité et un artiste gravement blessé sur place. Et pourtant l’homme aime avant tout les certitudes comme l’écrit l’auteur et « la Joconde, dans sa prison de verre, est protégée à jamais des attaques des brigands ».
Le célèbre tableau réapparait le soir même, sous le rasoir d’un certain Ockham, qui la détruit avant de la mettre dans un bocal. Ça démarre très fort !
L’équipe d’Amédée Mallock (oui l’auteur et le commissaire ont le même patronyme !) qui a quitté le 36, quai des orfèvres pour le 13 est responsable de l'enquête. On suit en parallèle les minces avancées de cette dernière et les horreurs perpétrées par Ockham - le monstre habillé en polichinelle, terroriste mondialement connu autant adulé qu’haï - qu’on pourrait résumer par éliminer de la société à l’aide de son rasoir tout ce qui est inutile.
Il applique ainsi le principe de parcimonie sur les célébrités tels un homme politique, un religieux ou un philosophe. Il livre des bocaux avec un précepte chaque semaine au commissaire Mallock. Fait remarquable dans ce premier livre qui se termine par un drôle de rebondissement : il n’y a pas de meurtre.
« Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n’y a plus rien à ajouter, mais quand il n’y a plus rien à retrancher ».
Par la suite, l’horreur monte d’un cran avec l’assassinat sordide de Jo, une coéquipière de l’équipe de police puis des crimes de plus en plus insupportables. Il y a une véritable montée en puissance de l’horreur au fil des pages. Il est à noter, comme si cela ne suffisait pas, la présence de quelques chapitres disséminés par ci par là, sur un jeune Erwan et ses hallucinations ? sa vie ? où l’horreur atteint son paroxysme.
« L’avenir de l’homme est dans le moins. »
La crue décennale de la Seine vient ajouter une difficulté supplémentaire dans l’enquête mais noie un peu aussi le lecteur à mon sens. J’ai eu du mal à voir l’intérêt de cet événement dans le déroulé de l’histoire… mais j’ai apprécié la façon subtile dont c’était narré.
Enfin, un nouveau coup de théâtre à la fin du livre 2 nous met définitivement en mode « Mallock Addict ». Le livre 3 est haletant et rapidement dévoré tant le suspense devient intense. Une course contre la montre à en perdre son haleine ! J’en ai déjà trop raconté je m’arrête ici et vous laisse savourer l’intrigue et sa chute.
« Vol de Joconde, tentative de meurtre au Louvre, armée de tarés bossus en latex rouge et bec d’Ibis découpant au rasoir des morceaux d’humains, ça ressemblait plus à une BD de Blake et Mortimer ou à une enquête d’Harry Dickson qu’à une affaire classique du 36. Etait-ce dû à la nouvelle adresse, et à ce fameux 13[…] »
Le style est fluide et agréable à suivre. La plume de Mallock est remarquable tant elle est superbe. Elle est plutôt atypique dans le milieu du thriller; elle ressemble davantage à celle d’un roman « dit classique ». Elle est vive, visuelle, descriptive et même souvent poétique. Un vrai régal de lecture qui donne un atout décisif dans l’adoption de ce thriller ! On est véritablement happé par l’intrigue.
Mallock le commissaire comme l'auteur réussit à nous faire ressentir les odeurs nauséabondes des rues de Paris immergées, à nous faire plonger par des mots et des phrases simples dans l'horreur pure (voire pire…) d'un acte aussi barbare qu'odieux ou dans l'anticipation terrifiante d'une prévision funèbre et sanguinolente (ah les rêves et les intuitions du commissaire…). Il prend un malin plaisir à lâcher quelques indices ou employer quelques phrases à double signification : en dire sans trop en dire pour appâter le lecteur. C’est du grand art !
On apprend enfin tout au long du livre à connaitre Mallock le commissaire, homme tourmenté au passé difficile. Des flashbacks dans les enquêtes passées, la perte de son fils Thomas qui serait, jusqu’à son dernier souffle, le supplice de Mallock », ses démons (le cigare, le whisky, …) mais aussi ses doutes et son manque de confiance en soi. Cela rend Amédée très attachant.
« Une angoisse chasse l’autre. En tout cas, chez Mallock, ç’avait toujours été comme ça. Il ne se souvenait pas d’un seul moment dans sa vie où les choses, autour de lui, s’étaient complètement apaisées. Il y avait toujours eu trop de pluie ou de vent, de froid qui givre ou de canicule qui brûle, toujours la sécheresse inquiétante dans les champs de son enfance, toujours les crues subites et les récoltes détruites. Chaque matin et chaque soir, son père regardait le ciel pour tenter de savoir d’où viendrait le prochain coup du sort. »
Vous l’aurez je pense compris, Le principe de parcimonie est un thriller réellement addictif, très prenant, dense, complexe, très noir, ultra-moderne (y aurait-il d'ailleurs une critique de notre société moderne dans cet opus? ;-) ) mais aussi culturel. Un vrai page-turner parfaitement et totalement maitrisé. Par moment, j’ai cru lire du Dan Brown, tant on voyage dans Paris (ses rues, ses cathédrales, ses musées…), on s’instruit (que cela soit dans le domaine de l’art, des sciences, de la religion ou des lettres) ... mais contrairement à Inferno par exemple, il y a ici une vraie intrigue aussi passionnante que travaillée.
« La cathédrale engloutie, vaisseau de pierre, se retrouvait au milieu de la partie la plus large du fleuve. Seine ou Amazone ? Quelle fabuleuse vision que ce navire conquistador enraciné en pleine jungle urbaine… cette titanesque caravelle flottant désormais sur une canopée liquide. »
Il était temps que je connaisse ce commissaire/auteur ! C’est une très belle découverte qui m’a vraiment donné envie de lire à la fois les précédents épisodes (j’ai déjà acheté les deux premiers tomes en version poche) mais également la suite. J’en redemande et recommande très fortement la lecture de cette histoire incroyable qui prend aux tripes !
4/5
http://alombredunoyer.com/2016/02/11/le-principe-de-parcimonie-mallock/
Le principe de parcimonie est le tome 5 des Chroniques Barbares de Mallock. C’est avec ce dernier ouvrage que je découvre l’auteur. Je mets à l’aise rapidement les futurs lecteurs : je n’ai éprouvé aucune difficulté de compréhension ni d’immersion dans l’équipe du commissaire Amédée Mallock. Il est donc tout à fait possible de démarrer avec cette enquête sans connaitre le passé de l’équipe, même si à l’instar de toute série, je suppose que lire les enquêtes dans l’ordre chronologique apporte un plus.
« Il en découle le fameux principe du « rasoir d’Ockham », reprit le grand Kabyle en levant la paume de sa main droite pour signifier qu’il n’en-avait-pas-fini-silence-dans-la-classe ! On retrouve ce raisonnement chez tous les designers : « les sis best » ou « less is more ». Ce que certains ont appelé le « principe de parcimonie », la recherche permanente de la synthèse la plus… « légère » »
Avec la réception de cet opus démarrent les interrogations mais surtout l’envie de savoir : que signifie ce titre ? Que représente cette couverture, soit dit en passant qui est magnifique ?
En parcourant rapidement le fichier epub, je constate que le thriller est long (430 pages numériques, 540 dans la version papier) et découpé en 3 livres. Les chapitres sont courts dans l’ensemble, horodatés et chronologiques pour la plupart. Les dialogues, fréquents, alternent avec les descriptions, ce qui augure un rythme assez rapide de lecture. Le décor ainsi détaillé, entrons dans le vif du sujet.
« L’homme aime avant tout les certitudes. La vérité ou la découverte, le ciel, la mer, l’amour même, ne viennent que bien après. Les abîmes du doute ne sont pas faits pour lui. Bien au contraire. Ce sont ses certitudes, petites croyances ou grandes convictions, qui l’empêchent de trembler le matin et lui permettent, à la nuit venue, de s’allonger et de fermer enfin les yeux. »
Cela démarre fort avec le vol de la Joconde, au nez et à la barbe de tous les systèmes de sécurité et un artiste gravement blessé sur place. Et pourtant l’homme aime avant tout les certitudes comme l’écrit l’auteur et « la Joconde, dans sa prison de verre, est protégée à jamais des attaques des brigands ».
Le célèbre tableau réapparait le soir même, sous le rasoir d’un certain Ockham, qui la détruit avant de la mettre dans un bocal. Ça démarre très fort !
L’équipe d’Amédée Mallock (oui l’auteur et le commissaire ont le même patronyme !) qui a quitté le 36, quai des orfèvres pour le 13 est responsable de l'enquête. On suit en parallèle les minces avancées de cette dernière et les horreurs perpétrées par Ockham - le monstre habillé en polichinelle, terroriste mondialement connu autant adulé qu’haï - qu’on pourrait résumer par éliminer de la société à l’aide de son rasoir tout ce qui est inutile.
Il applique ainsi le principe de parcimonie sur les célébrités tels un homme politique, un religieux ou un philosophe. Il livre des bocaux avec un précepte chaque semaine au commissaire Mallock. Fait remarquable dans ce premier livre qui se termine par un drôle de rebondissement : il n’y a pas de meurtre.
« Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n’y a plus rien à ajouter, mais quand il n’y a plus rien à retrancher ».
Par la suite, l’horreur monte d’un cran avec l’assassinat sordide de Jo, une coéquipière de l’équipe de police puis des crimes de plus en plus insupportables. Il y a une véritable montée en puissance de l’horreur au fil des pages. Il est à noter, comme si cela ne suffisait pas, la présence de quelques chapitres disséminés par ci par là, sur un jeune Erwan et ses hallucinations ? sa vie ? où l’horreur atteint son paroxysme.
« L’avenir de l’homme est dans le moins. »
La crue décennale de la Seine vient ajouter une difficulté supplémentaire dans l’enquête mais noie un peu aussi le lecteur à mon sens. J’ai eu du mal à voir l’intérêt de cet événement dans le déroulé de l’histoire… mais j’ai apprécié la façon subtile dont c’était narré.
Enfin, un nouveau coup de théâtre à la fin du livre 2 nous met définitivement en mode « Mallock Addict ». Le livre 3 est haletant et rapidement dévoré tant le suspense devient intense. Une course contre la montre à en perdre son haleine ! J’en ai déjà trop raconté je m’arrête ici et vous laisse savourer l’intrigue et sa chute.
« Vol de Joconde, tentative de meurtre au Louvre, armée de tarés bossus en latex rouge et bec d’Ibis découpant au rasoir des morceaux d’humains, ça ressemblait plus à une BD de Blake et Mortimer ou à une enquête d’Harry Dickson qu’à une affaire classique du 36. Etait-ce dû à la nouvelle adresse, et à ce fameux 13[…] »
Le style est fluide et agréable à suivre. La plume de Mallock est remarquable tant elle est superbe. Elle est plutôt atypique dans le milieu du thriller; elle ressemble davantage à celle d’un roman « dit classique ». Elle est vive, visuelle, descriptive et même souvent poétique. Un vrai régal de lecture qui donne un atout décisif dans l’adoption de ce thriller ! On est véritablement happé par l’intrigue.
Mallock le commissaire comme l'auteur réussit à nous faire ressentir les odeurs nauséabondes des rues de Paris immergées, à nous faire plonger par des mots et des phrases simples dans l'horreur pure (voire pire…) d'un acte aussi barbare qu'odieux ou dans l'anticipation terrifiante d'une prévision funèbre et sanguinolente (ah les rêves et les intuitions du commissaire…). Il prend un malin plaisir à lâcher quelques indices ou employer quelques phrases à double signification : en dire sans trop en dire pour appâter le lecteur. C’est du grand art !
On apprend enfin tout au long du livre à connaitre Mallock le commissaire, homme tourmenté au passé difficile. Des flashbacks dans les enquêtes passées, la perte de son fils Thomas qui serait, jusqu’à son dernier souffle, le supplice de Mallock », ses démons (le cigare, le whisky, …) mais aussi ses doutes et son manque de confiance en soi. Cela rend Amédée très attachant.
« Une angoisse chasse l’autre. En tout cas, chez Mallock, ç’avait toujours été comme ça. Il ne se souvenait pas d’un seul moment dans sa vie où les choses, autour de lui, s’étaient complètement apaisées. Il y avait toujours eu trop de pluie ou de vent, de froid qui givre ou de canicule qui brûle, toujours la sécheresse inquiétante dans les champs de son enfance, toujours les crues subites et les récoltes détruites. Chaque matin et chaque soir, son père regardait le ciel pour tenter de savoir d’où viendrait le prochain coup du sort. »
Vous l’aurez je pense compris, Le principe de parcimonie est un thriller réellement addictif, très prenant, dense, complexe, très noir, ultra-moderne (y aurait-il d'ailleurs une critique de notre société moderne dans cet opus? ;-) ) mais aussi culturel. Un vrai page-turner parfaitement et totalement maitrisé. Par moment, j’ai cru lire du Dan Brown, tant on voyage dans Paris (ses rues, ses cathédrales, ses musées…), on s’instruit (que cela soit dans le domaine de l’art, des sciences, de la religion ou des lettres) ... mais contrairement à Inferno par exemple, il y a ici une vraie intrigue aussi passionnante que travaillée.
« La cathédrale engloutie, vaisseau de pierre, se retrouvait au milieu de la partie la plus large du fleuve. Seine ou Amazone ? Quelle fabuleuse vision que ce navire conquistador enraciné en pleine jungle urbaine… cette titanesque caravelle flottant désormais sur une canopée liquide. »
Il était temps que je connaisse ce commissaire/auteur ! C’est une très belle découverte qui m’a vraiment donné envie de lire à la fois les précédents épisodes (j’ai déjà acheté les deux premiers tomes en version poche) mais également la suite. J’en redemande et recommande très fortement la lecture de cette histoire incroyable qui prend aux tripes !
4/5
“ Un thriller esthétique et magnifique ”
J'ai lu ce "thriller littéraire" comme le précise Mallock. Et il est vrai que le qualificatif est légitime : la plume est excessivement belle et envoutante. On est bien dans un beau roman, de très grande qualité.
Si vous êtes tentés pour lire cette cinquième "Chronique Barbare" indépendante des quatre autres, je vous la conseille assurément !
Sachez amis lecteurs que vous ne parcourrez pas vulgairement ce roman, mais vous le lirez en marquant des pauses d'admiration pour en apprécier chaque verbe, chaque dialogue, chaque phrase, chaque trait d'humour.
Si le roman traite au départ du vol de la Joconde, l'ouvrage de Mallock se révèle particulièrement artistique et esthétique, vous le lirez comme on visite un musée, en vous arrêtant sur chaque chapitre dépeint tel un tableau.
L'histoire est intelligente, les faits se tiennent, la logique est parfaite, le lecteur se laisse emporter, ou kidnapper. J'ai beaucoup aimé ce livre "policier", ce genre qui est tombé dans l'oubli aujourd'hui au profit de thrillers à la mécanique de "page-turner" bien huillée et qui fonctionne sur le lecteur malgré tout. Au bout du compte la plupart de ces romans que vous avez lus en un temps record ne vous laisse aucun souvenir, ni émotion.
Et là, pour ma première fois avec Mallock, je ne suis pas prête d'oublier !! J'ai même envie de lire les quatre Chroniques Barbares et de remonter le temps pour mieux connaître son oeuvre.
Car tout l'art de Mallock réside, grâce à son écriture à la fois puissante et enlevée, à restituer savamment et de façon moderne les lettres de noblesse au genre policier sans craindre de nous choquer.
J'ai beaucoup aimé les personnages, à commencer par le Commissaire Mallock, et aussi toute son équipe, leurs particularités ou singularités. Tout ce petit monde est extrêmement attachant et l'on se surprend à se retrouver avec eux, à enquêter comme eux, et à vouloir garder aussi le secret au sujet de cette sombre histoire.
Captivante.
J'ai lu ce "thriller littéraire" comme le précise Mallock. Et il est vrai que le qualificatif est légitime : la plume est excessivement belle et envoutante. On est bien dans un beau roman, de très grande qualité.
Si vous êtes tentés pour lire cette cinquième "Chronique Barbare" indépendante des quatre autres, je vous la conseille assurément !
Sachez amis lecteurs que vous ne parcourrez pas vulgairement ce roman, mais vous le lirez en marquant des pauses d'admiration pour en apprécier chaque verbe, chaque dialogue, chaque phrase, chaque trait d'humour.
Si le roman traite au départ du vol de la Joconde, l'ouvrage de Mallock se révèle particulièrement artistique et esthétique, vous le lirez comme on visite un musée, en vous arrêtant sur chaque chapitre dépeint tel un tableau.
L'histoire est intelligente, les faits se tiennent, la logique est parfaite, le lecteur se laisse emporter, ou kidnapper. J'ai beaucoup aimé ce livre "policier", ce genre qui est tombé dans l'oubli aujourd'hui au profit de thrillers à la mécanique de "page-turner" bien huillée et qui fonctionne sur le lecteur malgré tout. Au bout du compte la plupart de ces romans que vous avez lus en un temps record ne vous laisse aucun souvenir, ni émotion.
Et là, pour ma première fois avec Mallock, je ne suis pas prête d'oublier !! J'ai même envie de lire les quatre Chroniques Barbares et de remonter le temps pour mieux connaître son oeuvre.
Car tout l'art de Mallock réside, grâce à son écriture à la fois puissante et enlevée, à restituer savamment et de façon moderne les lettres de noblesse au genre policier sans craindre de nous choquer.
J'ai beaucoup aimé les personnages, à commencer par le Commissaire Mallock, et aussi toute son équipe, leurs particularités ou singularités. Tout ce petit monde est extrêmement attachant et l'on se surprend à se retrouver avec eux, à enquêter comme eux, et à vouloir garder aussi le secret au sujet de cette sombre histoire.
Captivante.
“ Un thriller comme je les aime. ”
C'est bien simple : j'ai A-DO-RÉ !!!
C'est le premier de la série MALLOCK que je lis. Il m'a donné envie de me plonger dans les précédents et de suivre les prochains !
Dès le début, on est plongé dans une enquête intéressante, bien documentée (et donc instructive) sur fond de catastrophe naturelle. Le suspens est tellement bien maintenu que l'on flippe comme dans un épisode d'Esprits Criminels.
On apprend des choses intéressantes, tant sur la ville de PARIS qu'au niveau des recherches psychologiques des personnages. Une écriture intelligente avec un style moderne qui joue avec les mots. Une fois commencé, j'ai eu bien du mal à m'arrêter avant la fin !
Si vous aimez les bons thrillers, je n'ai qu'un mot : FONCEZ !!! :)
C'est bien simple : j'ai A-DO-RÉ !!!
C'est le premier de la série MALLOCK que je lis. Il m'a donné envie de me plonger dans les précédents et de suivre les prochains !
Dès le début, on est plongé dans une enquête intéressante, bien documentée (et donc instructive) sur fond de catastrophe naturelle. Le suspens est tellement bien maintenu que l'on flippe comme dans un épisode d'Esprits Criminels.
On apprend des choses intéressantes, tant sur la ville de PARIS qu'au niveau des recherches psychologiques des personnages. Une écriture intelligente avec un style moderne qui joue avec les mots. Une fois commencé, j'ai eu bien du mal à m'arrêter avant la fin !
Si vous aimez les bons thrillers, je n'ai qu'un mot : FONCEZ !!! :)
A propos de Mallock

4/5
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Recueil Serial Lecteurs 2014. extraits gratuits
Harlan Coben, Karine Giebel, Claude Izner, Peter James, Mallock
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