Beau roman qui mêle habilement plusieurs intrigues avec des protagonistes aux caractéristiques propres, uniques et caractères bien trempés. Des duos se forment, des équipes, on s'épaule mutuellement pour des raisons diverses, mais l'important, c'est d'arriver au bout.
On ne s'ennuie pas durant cette lecture. On y découvre aussi un Paris à la fois trés proche de ce que l'on connaît de nos jours et en même temps assez éloigné car certaines mentalités ont tout de même évoluer depuis 1880. Heureusement aurait-on envie de crier !!! Tout n'est point parfait cependant mais ceci est un autre débat.
Le lecteur peut se laisser transporter via la plume de l'auteur qui croque bien l'époque et les décors.
Pour un peu, on s'y croirait dans l'atelier avec ces apprenties peintres. Ces rumeurs, ces humeurs, ses petites rancœurs.
Et le pendant masculin dans les bureaux dû commissaires ou dans les estaminets, plus viriles, plus violents, plus bruts..
Les murmures de la ville, les silences de la campagne, des antagonismes ? Possible, mais creusons un peu... Il y a des beaux personnages à découvrir, des lieux à imaginer...
La documentation est soignée et le rendu tout autant.
Je ne regrette pas ces heures passées dans ces pages.
Beau roman qui mêle habilement plusieurs intrigues avec des protagonistes aux caractéristiques propres, uniques et caractères bien trempés. Des duos se forment, des équipes, on s'épaule mutuellement pour des raisons diverses, mais l'important, c'est d'arriver au bout.
On ne s'ennuie pas durant cette lecture. On y découvre aussi un Paris à la fois trés proche de ce que l'on connaît de nos jours et en même temps assez éloigné car certaines mentalités ont tout de même évoluer depuis 1880. Heureusement aurait-on envie de crier !!! Tout n'est point parfait cependant mais ceci est un autre débat.
Le lecteur peut se laisser transporter via la plume de l'auteur qui croque bien l'époque et les décors.
Pour un peu, on s'y croirait dans l'atelier avec ces apprenties peintres. Ces rumeurs, ces humeurs, ses petites rancœurs.
Et le pendant masculin dans les bureaux dû commissaires ou dans les estaminets, plus viriles, plus violents, plus bruts..
Les murmures de la ville, les silences de la campagne, des antagonismes ? Possible, mais creusons un peu... Il y a des beaux personnages à découvrir, des lieux à imaginer...
La documentation est soignée et le rendu tout autant.
Je ne regrette pas ces heures passées dans ces pages.