Ma vie de geisha

Par : Mineko Iwasaki

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  • Nombre de pages349
  • FormatPoche
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-253-11216-X
  • EAN9782253112167
  • Date de parution12/01/2005
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurIsabelle Chapman

Résumé

" On a dit de moi que j'étais la plus grande geisha de ma génération. Certes, j'ai recueilli les plus beaux succès. Mon destin a été jalonné d'extraordinaires défis et de merveilleuses gratifications. Et pourtant les astreintes de ce qui est plus qu'une profession - un véritable sacerdoce - m'ont finalement poussée à l'abandonner... Il est temps de lever les voiles du mystère qui plane autour de la vie des geishas. Je veux briser un silence vieux de trois cents ans. Je vous invite à me suivre dans le monde des fleurs et des saules, le monde de Gion-Kobu. " Voici le témoignage exceptionnel de celle qui fut, à maints égards, la dernière incarnation d'un art de vivre séculaire. Jugée digne de devenir l'héritière de la " maison de geishas " la plus prisée de Kyoto, Mineko Iwasaki décide de quitter ses parents pour les sauver de la misère. On lui apprend la danse, la musique, la calligraphie, la discipline. Mais elle découvre peu à peu, derrière les kimonos de soie et les réceptions prestigieuses - où magnats de l'industrie, monstres sacrés du cinéma et têtes couronnées se disputent sa compagnie -, que la condition des geishas, peu instruites et soumises au bon vouloir de leurs clients, n'évolue pas dans le japon post-féodal...
" On a dit de moi que j'étais la plus grande geisha de ma génération. Certes, j'ai recueilli les plus beaux succès. Mon destin a été jalonné d'extraordinaires défis et de merveilleuses gratifications. Et pourtant les astreintes de ce qui est plus qu'une profession - un véritable sacerdoce - m'ont finalement poussée à l'abandonner... Il est temps de lever les voiles du mystère qui plane autour de la vie des geishas. Je veux briser un silence vieux de trois cents ans. Je vous invite à me suivre dans le monde des fleurs et des saules, le monde de Gion-Kobu. " Voici le témoignage exceptionnel de celle qui fut, à maints égards, la dernière incarnation d'un art de vivre séculaire. Jugée digne de devenir l'héritière de la " maison de geishas " la plus prisée de Kyoto, Mineko Iwasaki décide de quitter ses parents pour les sauver de la misère. On lui apprend la danse, la musique, la calligraphie, la discipline. Mais elle découvre peu à peu, derrière les kimonos de soie et les réceptions prestigieuses - où magnats de l'industrie, monstres sacrés du cinéma et têtes couronnées se disputent sa compagnie -, que la condition des geishas, peu instruites et soumises au bon vouloir de leurs clients, n'évolue pas dans le japon post-féodal...

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4/5
sur 5 notes dont 1 avis lecteur
Ma vie de geisha
D'abord, j'avais lu le livre "Geisha", d'Arthur Golden, racontant la vie d'une geisha. Emballée par cette lecture, je m'empressai d'en faire une critique sur ce blog. Très vite, j'ai réçu des commentaires m'affirmant que la geisha ayant fourni les informations à l'écrivain américain n'avait pas été satisfaite de ce qu'il en avait fait: en effet, elle jugait sa vision de la geisha beaucoup trop sexuelle, trop teintée de ce fantasme européen qui prend la geisha pour une prostituée, alors que ce n'est pas le cas. Mineko Iwasaki, l'une des plus grande geishas de son époque, décide donc de mettre les choses au clair en écrivant ses propres mémoires. Lorsqu'on connaît les raisons qui ont poussé Mineko Iwasaki à écrire cet ouvrage, on perçoit à quel point il éclaire sous un autre angle le roman de Golden. Ceci dit, ce fait n'est mentionné nulle part, rendant la lecture de "ma vie de geisha" totalement indépendante de "geisha", d'Arthur Golden. C'est intéressant, passionnant même, de découvrir "le monde des fleurs et des saules", ce monde si particulier sans équivalent occidental que nous avons tant de mal à apréhender...
D'abord, j'avais lu le livre "Geisha", d'Arthur Golden, racontant la vie d'une geisha. Emballée par cette lecture, je m'empressai d'en faire une critique sur ce blog. Très vite, j'ai réçu des commentaires m'affirmant que la geisha ayant fourni les informations à l'écrivain américain n'avait pas été satisfaite de ce qu'il en avait fait: en effet, elle jugait sa vision de la geisha beaucoup trop sexuelle, trop teintée de ce fantasme européen qui prend la geisha pour une prostituée, alors que ce n'est pas le cas. Mineko Iwasaki, l'une des plus grande geishas de son époque, décide donc de mettre les choses au clair en écrivant ses propres mémoires. Lorsqu'on connaît les raisons qui ont poussé Mineko Iwasaki à écrire cet ouvrage, on perçoit à quel point il éclaire sous un autre angle le roman de Golden. Ceci dit, ce fait n'est mentionné nulle part, rendant la lecture de "ma vie de geisha" totalement indépendante de "geisha", d'Arthur Golden. C'est intéressant, passionnant même, de découvrir "le monde des fleurs et des saules", ce monde si particulier sans équivalent occidental que nous avons tant de mal à apréhender...