Louis Laneau prisonnier et mystique. Itinéraire spirituel à travers son traité sur la divinisation
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- Nombre de pages252
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.324 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-88959-153-4
- EAN9782889591534
- Date de parution13/02/2020
- CollectionStudium Notre-Dame de vie
- ÉditeurParole et silence
- PréfacierFrançoise Fauconnet-Buzelin
Résumé
350 ans après la fondation de l'Eglise en Thaïlande (1669-2019), cet ouvrage vient faire découvrir Louis Laneau qui a été évêque du Siam et peut à juste titre être considéré comme le fondateur de cette Eglise. D'autre part un colloque, organisé par Françoise Buzelin, le Père Emmanuel Pisani et Mme Catherine Marin, aura lieu en avril 2020 à l'Institut Catholique de Paris portant sur Louis Laneau. La redécouverte de Louis Laneau comme figure clé des débuts des Missions Etrangères a lieu depuis quelques années.
Avec Laneau, la théologie de la divinisation n'est pas un exercice de rhétorique, mais l'expression d'une théologie vécue. L'érudition de Laneau, l'équilibre de sa théologie, malgré ou grâce aux circonstances qui entourent cet écrit, anticipent beaucoup d'apports de Vatican II. Laneau se révèle un authentique maître spirituel, qui anticipe avec trois siècles d'avance certains des apports de Vatican II, notamment l'appel universel des baptisés à la vie mystique, l'importance de la vie spirituelle pour les missionnaires, la place des laïcs dans la mission.
A l'heure où le pape lance un appel à reconsidérer la mission dans l'Eglise pour écouter les appels de l'Esprit pour notre temps, il est bon de relire la manière dont l'Eglise au XVIIe siècle a traversé un autre changement radical dans la conception de la mission universelle.
Avec Laneau, la théologie de la divinisation n'est pas un exercice de rhétorique, mais l'expression d'une théologie vécue. L'érudition de Laneau, l'équilibre de sa théologie, malgré ou grâce aux circonstances qui entourent cet écrit, anticipent beaucoup d'apports de Vatican II. Laneau se révèle un authentique maître spirituel, qui anticipe avec trois siècles d'avance certains des apports de Vatican II, notamment l'appel universel des baptisés à la vie mystique, l'importance de la vie spirituelle pour les missionnaires, la place des laïcs dans la mission.
A l'heure où le pape lance un appel à reconsidérer la mission dans l'Eglise pour écouter les appels de l'Esprit pour notre temps, il est bon de relire la manière dont l'Eglise au XVIIe siècle a traversé un autre changement radical dans la conception de la mission universelle.
350 ans après la fondation de l'Eglise en Thaïlande (1669-2019), cet ouvrage vient faire découvrir Louis Laneau qui a été évêque du Siam et peut à juste titre être considéré comme le fondateur de cette Eglise. D'autre part un colloque, organisé par Françoise Buzelin, le Père Emmanuel Pisani et Mme Catherine Marin, aura lieu en avril 2020 à l'Institut Catholique de Paris portant sur Louis Laneau. La redécouverte de Louis Laneau comme figure clé des débuts des Missions Etrangères a lieu depuis quelques années.
Avec Laneau, la théologie de la divinisation n'est pas un exercice de rhétorique, mais l'expression d'une théologie vécue. L'érudition de Laneau, l'équilibre de sa théologie, malgré ou grâce aux circonstances qui entourent cet écrit, anticipent beaucoup d'apports de Vatican II. Laneau se révèle un authentique maître spirituel, qui anticipe avec trois siècles d'avance certains des apports de Vatican II, notamment l'appel universel des baptisés à la vie mystique, l'importance de la vie spirituelle pour les missionnaires, la place des laïcs dans la mission.
A l'heure où le pape lance un appel à reconsidérer la mission dans l'Eglise pour écouter les appels de l'Esprit pour notre temps, il est bon de relire la manière dont l'Eglise au XVIIe siècle a traversé un autre changement radical dans la conception de la mission universelle.
Avec Laneau, la théologie de la divinisation n'est pas un exercice de rhétorique, mais l'expression d'une théologie vécue. L'érudition de Laneau, l'équilibre de sa théologie, malgré ou grâce aux circonstances qui entourent cet écrit, anticipent beaucoup d'apports de Vatican II. Laneau se révèle un authentique maître spirituel, qui anticipe avec trois siècles d'avance certains des apports de Vatican II, notamment l'appel universel des baptisés à la vie mystique, l'importance de la vie spirituelle pour les missionnaires, la place des laïcs dans la mission.
A l'heure où le pape lance un appel à reconsidérer la mission dans l'Eglise pour écouter les appels de l'Esprit pour notre temps, il est bon de relire la manière dont l'Eglise au XVIIe siècle a traversé un autre changement radical dans la conception de la mission universelle.