"Celui qui donne". Le don d'après saint Thomas d'Aquin

Par : Louis-Marie Rineau
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  • Nombre de pages704
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.018 kg
  • Dimensions15,2 cm × 23,4 cm × 3,5 cm
  • ISBN978-2-88918-507-8
  • EAN9782889185078
  • Date de parution08/11/2018
  • CollectionBibliothèque revue thomiste
  • ÉditeurParole et Silence
  • PréfacierLuc-Thomas Somme

Résumé

La question du don intéresse de nombreuses disciplines, bien au-delà de l'aire théologique. Est-il possible de donner, ou bien la gratuité n'est-elle qu'un fantasme, plus ou moins innocent ? A tout le moins, un quelconque "don de soi" n'est-il pas intrinsèquement contradictoire ? Phénomène remarquable, philosophes et théologiens peuvent répondre différemment à cette double question, tout en s'accordant sur un point : la métaphysique ne permet guère de penser le don.
Pour y accéder, il faut la mâtiner de dialectique, de personnalisme ou de phénoménologie — voire en sortir, aussi résolument que possible. Enquêter sur le don chez saint Thomas d'Aquin semble donc une entreprise vaine. C'est pourquoi elle s'impose. Au terme, il se pourrait qu'elle fournisse quelques réponses, et même une autre question, plus vaste encore : celle de sa vanité supposée.
La question du don intéresse de nombreuses disciplines, bien au-delà de l'aire théologique. Est-il possible de donner, ou bien la gratuité n'est-elle qu'un fantasme, plus ou moins innocent ? A tout le moins, un quelconque "don de soi" n'est-il pas intrinsèquement contradictoire ? Phénomène remarquable, philosophes et théologiens peuvent répondre différemment à cette double question, tout en s'accordant sur un point : la métaphysique ne permet guère de penser le don.
Pour y accéder, il faut la mâtiner de dialectique, de personnalisme ou de phénoménologie — voire en sortir, aussi résolument que possible. Enquêter sur le don chez saint Thomas d'Aquin semble donc une entreprise vaine. C'est pourquoi elle s'impose. Au terme, il se pourrait qu'elle fournisse quelques réponses, et même une autre question, plus vaste encore : celle de sa vanité supposée.