De beaux rêves. Obstacles philosophiques à une science de la conscience

Par : Daniel Dennett

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  • Nombre de pages218
  • PrésentationBroché
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-84162-162-0
  • EAN9782841621620
  • Date de parution11/06/2008
  • CollectionTiré à part
  • ÉditeurEclat (Editions de l')
  • TraducteurClaude Pichevin

Résumé

La conscience est un champ de bataille où s'affrontent les idées en un lequel planent encore, après des siècles, les ombres du Théâtre Cartésien. Les certitudes en apparence les plus fortes continuent de dispenser un brouillard que Daniel Dennett s'efforce allègrement de dissiper en s'attaquant aux contresens ou aux pseudo-évidences dont la plupart des débats sont inutilement encombrés. Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, après La Conscience, expliquée, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la " célébrité dans le cerveau ". " Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur officiel des programmes de la télévision d'État", écrit-il. La démocratie et l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un "médium de représentation. Elle a bien plus d'affinités avec le monde de la célébrité qu'avec celui du médium télévisuel "
La conscience est un champ de bataille où s'affrontent les idées en un lequel planent encore, après des siècles, les ombres du Théâtre Cartésien. Les certitudes en apparence les plus fortes continuent de dispenser un brouillard que Daniel Dennett s'efforce allègrement de dissiper en s'attaquant aux contresens ou aux pseudo-évidences dont la plupart des débats sont inutilement encombrés. Abandonnant le rêveur à ses rêves et le magicien à sa magie, Daniel Dennett poursuit ici, après La Conscience, expliquée, une entreprise de clarification qui tourne le dos aux convictions les plus tenaces, en faisant appel à un modèle qui ne s'en laisse pas conter, celui de la " célébrité dans le cerveau ". " Dans le cerveau, pas de Roi, pas de Contrôleur officiel des programmes de la télévision d'État", écrit-il. La démocratie et l'anarchie y sont autrement plus actives et efficaces. La conscience n'est pas un "médium de représentation. Elle a bien plus d'affinités avec le monde de la célébrité qu'avec celui du médium télévisuel "