La nuit où Gérard retourna sa veste

Par : Jacques Lederer
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  • Nombre de pages197
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,4 cm × 1,9 cm
  • ISBN2-213-60438-X
  • EAN9782213604381
  • Date de parution18/08/1999
  • ÉditeurFayard

Résumé

Est-ce un péché d'être trop beau quand on mène la lutte des classes ? C'est une faille en tout cas. Le délégué Gérard l'apprendra à ses dépens en se laissant séduire par la sous-directrice des ressources humaines, la non moins sublime Marie-Cécile. Elle le trouve à son goût, cela ne fait aucun doute, le provoque, l'amène à douter de ses convictions, lui fait miroiter la possibilité d'une ascension sociale. Ils vont passer un contrat quelque peu pervers, à partir duquel tout pourrait arriver, jusqu'au moment où, aïe, aïe, aie, ce qui promettait d'être une rencontre, une vraie, va tourner à la totale déconfiture de Gérard. S'il a sa faille, elle a la sienne, cela fait trop pour deux personnes aussi dissemblables. Il ne lui restera plus qu'à re-retourner sa veste et à revenir chez les siens. Il pourra y méditer tout à loisir sur la vanité de se vouloir irréprochable. Ce roman a pour cadre une grande usine, lieu peu fréquenté par les lettres actuelles. En toile de fond, une galerie de portraits - enlevés avec verve montre qu'on peut rafraîchir la thématique littéraire sans tomber dans le roman social, tout en conservant intact le plaisir de la lecture.
Est-ce un péché d'être trop beau quand on mène la lutte des classes ? C'est une faille en tout cas. Le délégué Gérard l'apprendra à ses dépens en se laissant séduire par la sous-directrice des ressources humaines, la non moins sublime Marie-Cécile. Elle le trouve à son goût, cela ne fait aucun doute, le provoque, l'amène à douter de ses convictions, lui fait miroiter la possibilité d'une ascension sociale. Ils vont passer un contrat quelque peu pervers, à partir duquel tout pourrait arriver, jusqu'au moment où, aïe, aïe, aie, ce qui promettait d'être une rencontre, une vraie, va tourner à la totale déconfiture de Gérard. S'il a sa faille, elle a la sienne, cela fait trop pour deux personnes aussi dissemblables. Il ne lui restera plus qu'à re-retourner sa veste et à revenir chez les siens. Il pourra y méditer tout à loisir sur la vanité de se vouloir irréprochable. Ce roman a pour cadre une grande usine, lieu peu fréquenté par les lettres actuelles. En toile de fond, une galerie de portraits - enlevés avec verve montre qu'on peut rafraîchir la thématique littéraire sans tomber dans le roman social, tout en conservant intact le plaisir de la lecture.