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Cécile P. - 10 n'a pas fini de compléter son profil
Ce roman-poème dit la fulgurance du premier amour, la douleur passionnée qui embrase les corps et les cœurs. Malgré les non-dits impliqués par la forme, la beauté éthérée de la langue et son originalité en font un livre fort et prometteur (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/02/25/marie-lou-le-monde-marie-testu/)
Ce roman décalé oscille entre nature-writing et dérision de ce même genre, comme un clin d’œil de l'éditeur à son catalogue et une manière d’entériner sa mutation. Les deux héroïnes nous sont tantôt insupportables tantôt sympathiques, l'ironie des pages de Curtis adoucissant nos sentiments à leur égard (plus d'infos : https://pamolico.wordpress.com/2021/02/18/kingdomtide-rye-curtis/)
D'une noirceur illuminée exigeante
D'une rare richesse, ce roman graphique ne ressemble à aucun autre. Landis Blair croise ses hachures, les tisse en une trame solide qui donne tout son sens à la rédemption racontée par David L. Carlson. La culture et l'art y sont semblables à des lueurs dans les ténèbres de la cécité, de la solitude et de l'égarement. Le père transmet son éveil à son fils, tente de l'éloigner des erreurs que lui même a commises et son passé, ses rêves et ses visions, ses souvenirs et leur présent se mêlent en un ballet stupéfiant (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/02/26/laccident-de-chasse-david-l-carlson-landis-blair/)