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On voit bien que l'auteur s'est très (trop?) longuement documenté pour écrire son livre. Au début la structure du livre consiste en l'alternance d'un chapitre d'action et d'un chapitre de "réflexions" métaphysiques puis au fil du livre les chapitres de considérations physico-métaphysiques deviennent de plus en plus longs et ennuyeux, au détriment de l'action. Le livre se compare au "Da Vinci Code" (quelle référence...) mais en fait c'est bien plus mou, bien plus pompeux, bien plus lourd a digérer et, au final, bien plus ennuyeux, c'est dire !
De 2 choses l'une, soit on décide d'écrire un polar, soit on écrit un roman où les considérations psychologiques (pas particulièrement captivantes...) du héros servent de trames au récit. On ne peut pas faire les deux au risque de décevoir les adeptes de chaque style. Ajoutez à cela une intrigue aussi stimulante qu'un Agatha Christie sous somnifères et anti-dépresseurs et vous avez un livre qui vous tombera des mains dans un grand bruit tout mou...
Un personnage principal très attachant
Tout d'abord le cadre et l'ambiance, New York dans les années 1840, sont très intéressants à découvrir et sont très bien rendus. Mais plus que la description parfois un peu trop détaillée ("après avoir pris Baker Street, le héros s'engouffre dans la 42ème rue avant de bifurquer pour High Street...") du lieu et de l'épque, ce sont surtout les personnages qui sont très attachants et qui évoluent dans une intrigue policière particulièrement bien ficelée. On a hâte de retrouver Timothy Wilde dans de nouvelles aventures !