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Il faudrait pouvoir nuancer la recommandation.
J'ai aimé le thème de départ (un cryptologue à qui on demande de déchiffrer un code dans un manuscrit inédit d'Einstein), l'intrigue, le déroulé de l'histoire, les personnages. Mais.... Je me suis énormément ennuyée à plusieurs reprises sur tous les longs développements des différentes théories scientifiques et mathématiques sur la naissance et le devenir de l'univers: les théorèmes du chao, de l'incomplétude, la physique quantique, le big bang.... Car soyons honnête, à moins d'être vraiment passionné par ces sujets et du coup
un minimum documenté, il est vraiment très difficile de se plonger avec plaisir dans ces explications qui sont peut-être indispensables (et encore, des formules édulcorées auraient suffit) à l'intrigue mais la dilue totalement dans un blabla scientifique.
Bref, oui je recommande car l'intrigue est intéressante mais à réserver à un public averti...
J'ai un peu du mal à recommander ou non ce livre.
De toutes les personnes qui ont essayé de le lire autour de moi, je suis la seule à être arrivé au bout.
Mais ce ne fut pas simple... Ce livre est... long... Long à lire, long à démarrer... Long. Et extrêmement compliqué au début: A vouloir mettre trop de personnages, à vouloir trop entrer dans le détail de leurs vies et personnalité, J-K Rowling se perd et nous perd pendant le premier tiers du livre. Si vous arrivez à vous accrocher et passer ce cap, il en reste une chronique sombre des petites villes anglaises, un brin déprimante
mais pas dénuée d'intérêt.
L'ensemble reste tout de même bien fade. Peut-être fallait-il être anglais pour l'apprécier pleinement.
Car oui, Richard Castle n'existe pas, c'est un personnage de série télévisé, écrivain qui a obtenu le droit de suivre une équipe de la police criminelle de New-York afin de faire des recherches pour ses prochains livre. Au fil des épisodes, il écrira plusieurs polars qui mettent en scène ces policiers. Et l'idée, de génie, a été de publier ces livres.... en vrai.
Alors d'accord, ce n'est pas de la grande littérature et sans doute pas le polar du siècle, mais l'histoire est plutôt bien ficelée. Mais surtout, le vrai plaisir de ce polar est de retrouver les personnages de la série,
le ton et l'esprit qu'on y apprécie. C'est aussi tout simplement avoir l'impression de lire les livres de quelqu'un que nous connaissons avec des personnages qui ne sont plus tout à fait des êtres de papier.
Pour ceux qui apprécie "Castle", un moyen de prolonger le plaisir.
Le filon des lapins crétins se décline aujourd'hui en bande dessinée. Mouai....
Comme ils n'ont aucun vocabulaire (ils ne connaissent que Bwaaaahhhhh), la BD se lit (?!) très vite. Si on y trouve deux trois bons gags, l'ensemble reste inintéressant.
Au final, le phénomène lapins crétins, qui fonctionne très bien en jeu vidéo, dessins animés ou publicité, s'avère n'être pas du tout adapté au monde du livre.
A oublier!
Du bon King
Dès les premiers chapitres, on se laisse embarquer dans cette histoire surprenante et très vite, on enchaine les pages tant on a envie de connaitre la suite.
Stephen King distille les indices et les pistes sans rien dévoiler de la suite, laissant le lecteur libre d'échafauder de nombreuses hypothèses. Bien entendu, il y a aussi la galerie de personnage avec son lot de héros et de méchants sans oublier les personnages un peu (voir beaucoup) fous que King imagine si bien.
Au final, bien que le déroulé de l'histoire ne soit pas exempt que quelques longueurs, on accroche facilement et à peine la dernière page du premier tome achevée, on ouvre le deuxième pour connaitre la suite.