Lecture très surprenante par son actualité, non sur la peine de mort supprimée en 1981, mais sur la dénonciation par un jeune homme de 26 ans des conditions d'incarcérations (galériens à l'époque, prisons surchargées aujourd'hui comment ne pas faire le parallèle), étonnant pour un texte de 200 ans ! Quant aux ficelles utilisées par Hugo contre la peine de mort, elles sont classiques: concentration sur les états d'âmes du condamné, victime et meurtre jamais mentionné. Cela rappelle les plaidoyers des opposants à la peine de mort qui n'évoquent jamais la peine des proches des victimes,
condamnés à vie eux....
Et pourtant si actuel.....
Lecture très surprenante par son actualité, non sur la peine de mort supprimée en 1981, mais sur la dénonciation par un jeune homme de 26 ans des conditions d'incarcérations (galériens à l'époque, prisons surchargées aujourd'hui comment ne pas faire le parallèle), étonnant pour un texte de 200 ans ! Quant aux ficelles utilisées par Hugo contre la peine de mort, elles sont classiques: concentration sur les états d'âmes du condamné, victime et meurtre jamais mentionné. Cela rappelle les plaidoyers des opposants à la peine de mort qui n'évoquent jamais la peine des proches des victimes, condamnés à vie eux....